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Les universités algériennes absentes des milles premières au niveau mondial

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  • #91
    Je pense que dire que l'université algérienne a un faible niveau est totalement faux.Je peux même dire que certaines ont de bonnes capacités.
    On voit aussi que beaucoup d'étudiants algériens en post-graduation réussissent en europe et même en amérique.Preuve que le niveau n'est pas aussi bas.
    Maintenant il faut reconnaitre que certains khobzistes ont pris le contrôle de la gestion universitaire et ils bloquent toute amélioration.
    Il est qd même impensable que l'université algérienne fait du mini de coopération avec d'autres établissements étrangers.Même entre elles, il n'y a aucune relation.Chaque khobziste veille sur son "acquis".

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    • #92
      Université algérienne : la toile d'araignée
      par Aïssa Hireche de QUOTIDIEN D'ORAN

      Parlant des enseignants issus de l'Université algérienne d'antan, la belle, la vraie, quelqu'un avait dit: « c'est une espèce en voie d'extinction ».
      En fait, beaucoup d'entre eux ont tiré leur révérence. Pour le reste, il en est - et ils sont nombreux - qui sont partis ailleurs. Une manière de mourir en quelque sorte. Parmi les autres, ceux qui continuent, tant bien que mal, à pousser comme ils peuvent ce corps inerte qu'est l'université aujourd'hui, il y a ceux qui ont déjà commencé à s'inscrire au registre des retraités et ceux qui, ne se sentant plus utiles dans une ère soulignée à l'encre de la médiocrité, se retirent tout simplement, une autre manière de s'éteindre. La relève ? Chacun a laissé ce qu'il a pu mais ils sont pratiquement tous ailleurs. Le petit nombre qui a préféré rester est dilué, totalement dilué dans l'océan de l'incompétence qui a commencé à déferler sur l'université depuis que l'ignorance s'est mise à éteindre la lumière de la science dans ce pays qui est le nôtre.



      QU'EN EST-IL DE NOTRE UNIVERSITE ?



      L'absence de maîtrise des concepts et la perte de la vue d'ensemble sont les deux failles principales qui caractérisent l'Université algérienne aujourd'hui; une université où, à force d'avoir banalisé les choses, on ne différencie plus le débat scientifique de la discussion de cafés du coin et où l'argumentaire, qui ne diffère d'ailleurs en rien des simples positions de principes, ne vise plus à convaincre mais seulement à brouiller et à... vaincre !

      Le mal est ancien. Il a commencé lors des années quatre-vingt, lorsque la démagogie des décideurs les avait conduits à instaurer les élections pour les postes de responsabilité. Ces élections, et à l'image de toutes les autres se déroulant dans notre pays, avaient alors conduit à l'émergence du tribalisme, du « douarisme », du « archisme » et du clanisme à l'intérieur de ce qui fut réellement un haut lieu du savoir. La loi du nombre ayant prévalu, les plus nombreux imposaient leurs choix au détriment des compétences et des aptitudes. Une opération biaisée, comme disent les statisticiens.

      Durant ces années quatre-vingt, l'incapacité propulsée à la tête de la majorité des instituts et des facultés avait annoncé le début d'une gestion catastrophique de l'Université algérienne. Une gestion sans implication et où l'informel allait prendre le pas sur le formel et l'officiel, étendant ainsi les possibilités d'intervention aux membres des clans, même lorsqu'ils ne faisaient pas partie de l'université elle-même. Une sorte de vision du dehors, comme diraient les littéraires.
      Et c'est durant ces années aussi que notre université allait connaître le comble de son malheur. La loi du nombre s'étant révélée payante pour les adeptes de l'à-peu-près et les apôtres du n'importe quoi, elle fut appliquée aux décisions scientifiques. Contre le bon sens et la pudeur, on votait alors la science dans les conseils scientifiques ! Et à main levée, en plus. Sans aucune gêne !

      Inconscients des futures implications de cette démarche, et ne pouvant discerner entre l'effet de foule et la décision scientifique, les pouvoirs publics se frottaient les mains, tout contents d'avoir introduit ce qu'ils appelaient « la démocratie » à l'université alors que, cependant, des thèses inadmissibles et indéfendables obtenaient, grâce au vote, l'aval des conseils scientifiques pour être soutenues, et la médiocrité gagnait ainsi, grâce au vote, le droit de s'introduire et de s'installer longuement, définitivement, dans les amphithéâtres et les salles de cours.

      Le nivellement par le bas était alors devenu la pratique courante et le « pourquoi pas moi » émergeait comme valeur nouvelle dans une université étourdie qui étonnait son monde et ne finissait pas d'en être déconcertée.
      La médiocrité se reproduisant toujours à une échelle plus grande, on devine ce qui arriva. Les connaissances transmises étant parfois douteuses, l'évaluation des étudiants perdit de son sérieux et la motivation de ces derniers tombait tout simplement et le plus naturellement du monde.
      Les concours n'étaient généralement pas honnêtes et les notes comportaient autant d'injustices que d'inconscience de la part de ceux qui, à travers la banalisation de la fonction de l'enseignant universitaire, se faufilaient doucement mais sûrement. L'université perdait ses idéaux et ses valeurs et aussi bien les étudiants que les enseignants y perdaient leurs repères.

      Aujourd'hui, et après avoir continué sur cette triste lancée, on en est à ne plus pouvoir rejoindre une salle de cours sans entendre les vulgarités les plus exécrables et à ne plus pouvoir rejoindre un amphi sans remarquer des comportements des plus détestables. L'enseignant n'a plus de statut dans son université, il ne diffère en rien du gardien, du vaguemestre, du veilleur de nuit ou du plombier ! L'étudiant qui quémande les notes demande à intégrer les conseils scientifiques. En tout cas, ceux qui avaient « tissé la toile d'araignée » l'avaient bien fait. Nous sommes tous pris au piège de la médiocrité et de l'insensé et il n'est plus possible, pour ceux qui le veulent encore, de tenter quelque chose.

      C'est aussi dans ces mêmes années quatre-vingt que l'enseignant s'était transformé en une machine à faire des contrôles et à effectuer des surveillances. Des partiels, un contrôle final, un contrôle de synthèse et autant de rattrapages que nécessaires.
      On s'évertuait alors à faciliter au maximum la « réussite » des étudiants en ne leur comptant que les notes qui les arrangeaient, oubliant que, en faisant cela, on les condamnait à être incapables de faire face à la vie active. Mais peu importait, les conseils scientifiques votaient bien, le nombre de sortants gonflait les chiffres officiels et la fierté du système avec ! Preuve que l'université fonctionnait selon les décideurs. Aujourd'hui, vingt ans après le début du massacre, le bilan est terrible. Le diplôme universitaire ne vaut rien ou presque. Le statut d'enseignant universitaire ne signifie rien ou presque. Nos étudiants ne comprennent rien ou presque. Nos enseignants ne transmettent rien ou presque.

      Déjà, à leur sortie des lycées, victimes d'une série de réformes mal pensées et peu prises au sérieux par leurs concepteurs mêmes, les étudiants n'ont pratiquement aucune formation. Jetés dans une université où plus personne ne sait ce qu'il a à y faire, ils sont encore victimes d'un système dont la confusion et la platitude se révèlent être les caractéristiques principales. Mais peu importe. Les flux se poussent les uns les autres, tout le monde réussit dans cette université qui ne peut plus rien donner.
      Il n'est donc point étonnant aujourd'hui de voir la formation dispensée par notre université dénuée de ces concepts qui font la science, de cette analyse qui imprègne la rigueur scientifique et, surtout, de cette vue d'ensemble qui assoit les connaissances et les solidifie. Ah la Gestalt !

      >>

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      • #93
        suite


        QUE FAIRE ?



        A ce rythme, notre université ne servira qu'à donner des bribes d'une culture générale dénuée de toute rigueur scientifique. Les enseignants croulent sous le poids du nombre, les étudiants sous celui de programmes conçus à la va-vite et personne, dans ce monde désarticulé, ne sait plus ce qu'il fait ou, encore moins, ce qu'il y a lieu de faire.
        Ceux qui ont encore l'illusion de servir à quelque chose ne cessent d'être déçus; les autres, c'est-à-dire ceux qui ont compris qu'ils ne sont plus utiles à rien, ceux-là ont préféré se retirer pour... s'éteindre doucement.
        Notre université restera ainsi et elle ne cessera de se détériorer, s'il y a encore possibilité de détérioration. A moins qu'elle subisse, dans les meilleurs délais, une véritable réforme qui visera, non pas ces soi-disant pôles d'excellence avec lesquels on essaie encore de mener les gens en barque, mais une véritable prise en charge qui consistera en son ouverture à la concurrence et à la compétitivité.
        Ne nous trompons pas. Bien avant et bien plus que les entreprises économiques, l'Université est aujourd'hui concernée par la compétitivité dans un environnement aux mutations si rapides et si profondes qu'elle a totalement ignorées depuis un quart de siècle et qui a fini par l'ignorer à son tour, la laissant là, incertaine et inquiète, perdue et sans forces.

        Pour améliorer le niveau de notre football, nous ramenons des entraîneurs et des joueurs étrangers pour nos équipes alors que, comble de l'insanité, nous refusons de ramener des enseignants d'ailleurs au nom d'une algérianisation qui n'a mené qu'à l'étouffement des capacités de nos enseignants et de nos étudiants. Et dire que partout dans le monde, des Etats-Unis au Bénin, du Canada à la Mauritanie, les compétences qui ont cessé d'être fichées par nationalité sont courtisées et tout est mis en oeuvre pour les séduire. Il ne sert à rien d'applaudir aux infrastructures car le contenant ne signifie rien (ou presque) lorsqu'il n'est accompagné du contenu, car il ne s'agit pas d'avoir des bâtiments mais une université.
        La privatisation de l'université, parce qu'elle introduira l'esprit de compétitivité et bannira les « voyageurs clandestins », apparaît comme une éventuelle solution, à condition qu'elle ne signifie pas la cession de l'université aux marchands de légumes et aux importateurs de fripe. Le partenariat apparaît, lui aussi, comme autre solution à condition que cela ne se fasse pas dans le cadre d'approches restreintes, sentimentales ou d'humeurs.
        Que l'on opte pour l'une ou l'autre, voire pour d'autres solutions, une réflexion sérieuse est devenue plus que nécessaire pour sauver ce qui peut encore l'être car il est bien fini le temps de la démagogie qui ne nous a menés nulle part et qui ne nous mènera nulle part. Il est bien fini aussi le temps où l'Université peut dormir sur ses oreilles, les poings fermés, et laisser s'écouler les années et les décades. Le temps de slogans est dépassé, il est temps de suer !

        Lundi 18 juin 2007
        1620 fois lus

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        • #94
          salam tout le monde
          j'aimerais bien savoir si vous avez eu l'idée d'envoyer ce classement avec un mot a tous les recteurs de nos universités et tous les chefs de departements.. histoire de faire bouger les choses... comme le message envoyé a l'entv


          Bonne idée sinan

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          • #95
            Université algérienne : la toile d'araignée
            par Aïssa Hireche de QUOTIDIEN D'ORAN
            Tolkien, je ne connais pas la qualité de ce Monsieur, mais il assène de grosses contre-vérités.

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            • #96
              salam tout le monde
              j'aimerais bien savoir si vous avez eu l'idée d'envoyer ce classement avec un mot a tous les recteurs de nos universités et tous les chefs de departements.. histoire de faire bouger les choses... comme le message envoyé a l'entv
              Tu as leurs mail ? Elle est là la question
              La majorité des sites des universités ne fonctionnent même pas en plus

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              • #97
                Tolkien, je ne connais pas la qualité de ce Monsieur, mais il assène de grosses contre-vérités.
                salam jawsia
                justement dans ce post on peut rétablir la verité tout en denonçant tout ce qui va pas dans notre université

                dans un autre forum par exemple (algerien) les internautes se languissent d'une université capable de creer de la matière grise capable de creer des evolutions technique notables dans notre societe, nos chercheurs aérospatiaux actuellement ils sont tous formés au maroc, puis aprés avoir été diplomés des ecoles dectorales marocaines ils ont été embauchés dans l'agence spatiale algerienne, c'est un exemple, mais là ils vont pouvoir à leur tour former certains de nos jeunes interessés par l'espace, les satellites de telecommunications, l'aviation etc

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                • #98
                  Salut Tolkien.
                  Je suis entrain de reprendre l'article et vais montrer ce que le journaliste (je suppose que c'est sa qualité) enonce de manière erronée.

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                  • #99
                    je pense pas que soit un journaliste, c'est un article de la rubrique "débat" du quotidien d'oran

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                    • salut tout le monde

                      distro: Bonne idée sinan
                      alors aide moi à mobiliser tout le monde je pesne que c'est tres important. tu sais? ce qui manque en algerie c'est une dynamique generale et il faut la provoquer cette dynamique. onn peut penser à autres chose pas seulement la lettre,ça ne suffit une lettre..

                      farsolitaire: Tu as leurs mail ? Elle est là la question
                      La majorité des sites des universités ne fonctionnent même pas en plus


                      s'ils ont pas de mail on envoie des couriers postaux, il faut faire qulque chose .. ecrivez nous le texte et celui qui veut envoyer, le fait.

                      s'il vous plait faote quelque chose...

                      aa++

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                      • Parlant des enseignants issus de l'Université algérienne d'antan, la belle, la vraie, quelqu'un avait dit: « c'est une espèce en voie d'extinction ».
                        J’imputerai ce commentaire sur une certaine nostalgie du temps passé. Il y a une bonne vingtaine d’années, lorsque j’écoutais du AC/Dc, du Led zeppelin mon père (allah yerhmou) traitait cette musique de débile. Aujourd’hui mes enfants traitent cette musique de ringarde et moi je qualifie la leur (Rnb, Rap….) de débile. Donc je zappe tout le paragraphe.
                        Le mal est ancien. Il a commencé lors des années quatre-vingt, lorsque la démagogie des décideurs les avait conduits à instaurer les élections pour les postes de responsabilité.
                        Pour bien comprendre la suite, il est utile de rappeler ces postes de responsabilités sujets à elections !
                        1. Le Recteur est-il élu ? Non, il est nommé par decret présidentiel sur proposition du ministre.
                        2. Un Doyen est-il élu ? Non, il est nommé par decret sur proposition du recteur.
                        3. Un Chef de département (anciennement directeur d’institut) est-il élu ? Non, il est nommé par le recteur sur proposition du Doyen de faculté
                        4. Les adjoints du chef de département sont-ils élus ? Non, il sont nommé sur proposition du chef de département.

                        Qui sont donc ces élus ? essentiellement les membres de deux structures ; Le comité scientifique (structure consultative rattachée à un département) et le conseil scientifique rattaché à la faculté.

                        Les membres de ces conseils sont élus par leurs pairs (les profs élus par des profs, des Maitres de conferences par des MC…)
                        Durant ces années quatre-vingt, l'incapacité propulsée à la tête de la majorité des instituts et des facultés avait annoncé le début d'une gestion catastrophique de l'Université algérienne.
                        Ceux qui ont été propulsés à la têtes des instituts et facultés ne le sont pas par le biais d’elections. Il faut chercher ailleurs. Première erreur.
                        Une gestion sans implication et où l'informel allait prendre le pas sur le formel et l'officiel, étendant ainsi les possibilités d'intervention aux membres des clans, même lorsqu'ils ne faisaient pas partie de l'université elle-même. Une sorte de vision du dehors, comme diraient les littéraires
                        J’avoue ne pas saisir (au-delà des mots que je saisi) le sens ou l’idée de l’auteur.
                        Et c'est durant ces années aussi que notre université allait connaître le comble de son malheur. La loi du nombre s'étant révélée payante pour les adeptes de l'à-peu-près et les apôtres du n'importe quoi, elle fut appliquée aux décisions scientifiques. Contre le bon sens et la pudeur, on votait alors la science dans les conseils scientifiques ! Et à main levée, en plus. Sans aucune gêne !
                        Pour avoir siégé dans un conseil scientifique, les décisions ont toujours été prises par consensus. Quelques fois après deux ou trois réunions. Rares sont les fois on a été appelé à voter (en fait je n’ai pas de souvenir d’un quelconque vote).
                        Inconscients des futures implications de cette démarche, et ne pouvant discerner entre l'effet de foule et la décision scientifique, les pouvoirs publics se frottaient les mains, tout contents d'avoir introduit ce qu'ils appelaient « la démocratie » à l'université alors que, cependant, des thèses inadmissibles et indéfendables obtenaient, grâce au vote, l'aval des conseils scientifiques pour être soutenues, et la médiocrité gagnait ainsi, grâce au vote, le droit de s'introduire et de s'installer longuement, définitivement, dans les amphithéâtres et les salles de cours.
                        Là, l’auteur pousse le bouchon trop loin et met à nu sa meconnaissance totale (ou sa mauvaise foi) sur le fonctionnement des CS.
                        Comment un candidat obtient-il la soutenabilité de son travail ? Deux cas de figure.
                        1. Mémoire de magister :
                        C’est a l’encadreur de présenter au CS, le mémoire et une attestation de soutenabilité de son « encadré ». Le CS n’a aucune autorité de contester la parole d’un encadreur. C’est le travail des membres de Jury, que le conseil scientifique désigne en fonction de la thématique abordée.

                        Les mémoires sont envoyés au membres de jury qui après lecture du mémoire, delivrent au président du jury (directement), le rapport de lecture. Ce dernier peut être favorable ou défavorable.

                        La soutenance b’aura lieu que si l’ensemble des rapports de lectures concluent à une soutenabilité du Travail.
                        On est donc loin de vote plaidé par le journaliste.

                        2. Doctorat
                        Même procédure. Sauf qu’avant de déposer auprès du conseil scientifique, il faut justifier (outre les communications dans des confs et séminaires) d’une publication dans une revue de « renommée établie ».
                        Les connaissances transmises étant parfois douteuses
                        Désolé mais c’est l’analyse de ce Monsieur Aissa … qui est plus que douteuse. Notre ami Aissa est quelque peu dépassé parce que la connaissance ne se transmet plus, elle se construit.
                        Mais peu importait, les conseils scientifiques votaient bien, le nombre de sortants gonflait les chiffres officiels et la fierté du système avec ! Preuve que l'université fonctionnait selon les décideurs.
                        Encore une autre contre-vérité. Le CS n’est concerné ni de près ni de loin avec les délibérations. Pas même le chef de département. C’est du ressort du Jury de délibération, constitué par les enseignants de l’année.
                        Nos étudiants ne comprennent rien ou presque. Nos enseignants ne transmettent rien ou presque.
                        Les exces ont ceci de fatidique : plus on en abuse moins c’est crédible. Il en est de l’extrait du dessus.

                        Bon je pourrai continuer ainsi jusque la fin. Je voudrai néanmoins rappeler une phrase du premier paragraphe de ce Monsieur Aissa .. ;
                        une université où, à force d'avoir banalisé les choses, on ne différencie plus le débat scientifique de la discussion de cafés du coin et où l'argumentaire, qui ne diffère d'ailleurs en rien des simples positions de principes, ne vise plus à convaincre mais seulement à brouiller et à... vaincre !
                        je pense que c’est la seule phrase censée enoncée par l’auteur. Le Hic est qu’elle caractérise bien son article : Une discussion de café.

                        PS: Pas d'amalgame. Je ne plaide pas l'odée que les choses "Aala Ahssan Ma youram". Bien au contraire. Mais les problèmes sont ailleurs. Si on ne les voit pas, c'est pas une raison pour en inventer.
                        Dernière modification par jawzia, 18 juin 2007, 23h20.

                        Commentaire


                        • Je suis partant sinan, je vais chercher sur le net, pour voir si on peut les joindre...

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                          • UNIVERSITES ALGERIENNES

















                            Université d'Oran http://www.univ-oran.dz/


                            Centre Universitaire de Béchar http://www.univ-bechar.dz/

                            Université Farhat Abbas Sétif http://www.univ-setif.dz/



                            Centre universitaire Dr. Moulay Tahar de Saïda http://www.univ-saida.dz/


                            Université Amar Telidji de Laghouat http://www.lagh-univ.dz/

                            Université de Biskra Génie mecanique http://dgm.univbiskra.net/

                            Université Mohamed Khider Biskra http://www.umkbiskra.net/


                            ECOLES ET INSTITUTS


                            Institut national de la planification et de la statistique http://www.inps-alger.dz/

                            Ecole Militaire Polytechnique http://www.emp.edu.dz/



                            Ecole Nationale Polytechnique http://www.enp.edu.dz/





                            Algerian Petroleum Institute http://www.iap.dz/index.php


                            LIENS









                            Dernière modification par Distro, 24 juin 2007, 12h30.

                            Commentaire


                            • J’imputerai ce commentaire sur une certaine nostalgie du temps passé. Il y a une bonne vingtaine d’années, lorsque j’écoutais du AC/Dc, du Led zeppelin mon père (allah yerhmou) traitait cette musique de débile. Aujourd’hui mes enfants traitent cette musique de ringarde et moi je qualifie la leur (Rnb, Rap….) de débile. Donc je zappe tout le paragraphe.

                              je fais pas parti de ta generation(dans les 20), j'ecoute led zepplin et pink floyd et je trouve aussi que la belle epoque de ta generation est en voi d'extinction... je suis de constantine et je connais pas mal d'etudiants en magester, ils parles aucune langues etrangere, il save pas utiliser un ordinateur, ils sont pas capable de rediger une lettre de motivation, ils ont reussi le concour de magester avec 5 de moyenne.....
                              en gros votre generation tres competante mais elle fait pas grande chose(ex: une publication par an, la hchouma)
                              notre generation ne sais pas grande chose et elle ne veut pas apprendre, on a la culture de la note et la fin justufie les moyens et ca peut aller trop loin cette fin qui justifie les moyens...

                              Commentaire


                              • merci distro pour les adresses des universités, rest mnt le text de la lettre qu'on va envoyer avec le classement.... qui pourait l'ecrire?

                                je voi ke les autres ne sont pas interessés, peut etre par ce qu il ya beacoup d'universitaires sur ce forum. ils ont raison d'avoir honte, bougez vous les gars c'est votre reputation qui est en jeu... et apres on vien nous parler du nif algerien, je pense ke le nif algerien est aussin en voie d'extinction

                                Commentaire

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