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Les universités algériennes absentes des milles premières au niveau mondial

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  • #61
    Donc ne nous trompons pas de problèmes et ne bricolons pas encore une n'ieme fois
    Le problème que j'ai posé est réel. Revenir à un système qui a prouvé son efficience est peut être irréaliste mais je suis sûr d'une chose : les choses ne doivent et ne peuvent plus rester en l'état.

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    • #62
      je suis sûr d'une chose : les choses ne doivent et ne peuvent plus rester en l'état.
      On est d'accord là dessus biensur.

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      • #63
        Far,

        Je suis d'accord avec toi...
        Mais l'arabe à tous les niveaux, universitaire inclus et dans toutes les filières.

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        • #64
          Bachi

          Mais l'arabe à tous les niveaux, universitaire inclus et dans toutes les filières.
          Là, ça serai le rêve ... c'est pas facile, mais ça peut se faire si on y met la volonté (les perses y sont bien arrivés avec leurs langues)

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          • #65
            2- L'augmentation des salaires des professeurs: on les multiplient par 10 directement. Pour les maitres assistants on multiplient par 5 par exemple, et ainsi de suite. Si par malheur les balayeurs, les secrétaires et le reste de l'armada se plaignent ou font gréve... ben on les vire ou leur rentre dedans carrément avec la force publique: case prison direct. Le meme genre de réforme devra etre fait dans d'autres secteurs comme la santé: on paye un prof 50 briques si il le faut et l'infirmier, le récéptioniste ou le balayeur devra l'accepter et se taire. Il est 1000 fois plus difficile de former un nouveau professeur d'université responsable du département de thermo-dynamique de l'USTHB ou un professeur cardiologue chef de service d'un grand CHU que de former un balayeur, un infirmier ou une récéptioniste. Il faut que le savoir retrouve sa valeur. Celui qui a étudié doit etre payé grassement et respecté sérieusement et tout le monde doit l'accépter, parce que quand un prof d'université ou de médecine nous quitte, s'en va, c'est toute la population qui paiera longtemps la facture: qui va éduquer nos enfants? qui va nous soigner nous? Aujourd'hui un chouwaye qui fait des brochettes, un trabendiste qui raméne des chaussettes de Turquie narguent devant tout le monde un professeur qui a passé 12 ans à étudier à l'université! Quel genre d'exemple est ce que ca donne à nos jeunes ca? Quel genre de réves vont ils avoir?
            Bonjour 66
            Je comprends ce que tu veux dire, mais je ne pense pas que ce soit comme ça qu’on doit gouverner le pays. Une université a besoin de ses petites gens ordinaires pour fonctionner correctement, le resto U fonctionne seulement parce qu’il y a des cuisiniers, et du personnel pour le faire fonctionner correctement, un étudiant qui a faim et qui voit le resto U fermé, il étudiera moins bien qu’un étudiant rassasié, celui qui devra aller s’acheter un pain à l’extérieur va voir ses difficultés financières s’accroitre, un étudiant qui crève la faim c’est la crise sociale qui menace croit moi !
            Le salaire des universitaires, intéressant mais multiplier par dix directement ça se sera jamais vu au monde, en Europe la plupart des fonctions et des métiers fonctionnent selon une grille salariale, elle-même mis au point par les différents partenaires sociaux à l’intérieure des branches et des corps de métier. Je ne pense pas qu’un balayeur ait la prétention d’être meilleurs qu’un médecin, ça ressemble pas à notre conception sociale, les petites gens respectent beaucoup le médecin et le professeur. Jouer les métiers entre eux je ne pense pas que ce soit productif, si tu me dis qu’il faut renégocier les accords de branche et la grille des salaires de tout le secteur universitaire je te dirai ablagh oua zid. Les salariés de l’université devront êtres recrutés selon un contrat en dû forme et au lieu de faire du rentre dedans avec les forces de l’ordre, je vous propose plutôt un système où chacun sera noté, et cette évaluation donnera lieu à reconduction ou non du contrat. La notation incitera le personnel à êtres plus qualitatif, il comprendra qu’il est tenu à certaines performances et à un comportement décent et citoyen. Le salaire des universitaires devra sans nul doute évoluer vers une sérieuse augmentation, par exemple passer de 25 000 dinars (salaire que je prends en référence est celui d’un cousin vétérinaire qui donnait cours dans une université de l’est) à 65 000 dans un premier temps, puis avec la grille de salaire le faire évoluer au fil des années et de l’expérience de la personne, dans ton exemple, passer de 25/40 000D à 250/400 000D par mois, je crois que c’est pas réaliste. Les universitaires souvent sont des gens qui ont envie d’entreprendre et de faire des avancer dans leur domaine, c’est les moyens matériels qui manquent très souvent, moi je propose que l’on mette toutes les universités algériennes aux normes nord-americaines, dans le domaine scientifique on prend exemple sur le MITI par exemple, ou les universités allemandes, dans le domaine sociale je vois de bon ton l’exemple des universités canadiennes. Il suffit d’envoyer des délégations et des spécialistes étudier leur système et de rentrer appliquer ! En France le chômage est si élevé que l’UMP et les principaux partis politiques envoyèrent des délégations en GB, au Danemark pour étudier leur système et essayé de l’adapter à la France. Faisons de même, notre système est à la traîne, envoyons des gens étudier les principaux systèmes du monde, ceux des plus performants et adaptons les à notre Algérie. Il faut des microscopes électroniques dans nos universités techniques, avec un bon personnel d’encadrement et des gens qui savent lire la notice en anglais, des techniciens pour les réparer et des un programme d’utilisation qui permet à chaque chercheur d’y avoir accès facilement, il faut du crédit documentaire, il faut des bibliothèques avec toutes les publications mondiales, il faut de la video-conférence, il faut des moyens techniques comme une imprimerie universitaire, des photocopieurs en nombre, un intranet, l’internet haut débit, des colloques avec les savants étrangers, des voyages de remise à niveau de nos profs-chercheurs, il faut que chaque université ait un budget de fonctionnement conséquent qui lui permette de donner des conditions favorables à la recherche, en dessous de 80 millions de dollars pour chaque universités c’est perdu d’avance, le deniers devra être géré par des gens compétents et qui mettent pas la main dans le sac, il faut des labos biens pourvus et ayant du crédit pour mener des recherches, il faut travailler l’image du savant dans notre société, et pas faire que de la publicité pour Rebrab dans nos medias, on a besoin de voir nos chercheurs, des réalisations nationales, des voitures économiques mises au point dans nos labos, des chercheurs en train de travailler sur les biotechnologies, des satellites, des productions locales et des applications novatrices faites par nos jeunes, nos profs, nos chercheurs ! c’est tout un projet de société : une société qui est mature et qui a pris son destin en charge, si vous offrez rien à nos chercheurs, ils irons le trouver ailleurs, les universités européennes et américaines sont des sangsues, elles avalent tout ce qui est fait de par le monde et elles sont toujours à la recherche de cerveaux frais…

            rappelez-vous : prendre un engagement ferme pour l'enseignement de l'anglais, ça prend vingt ans mais au final c'est l'algerie qui sera gagnante

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            • #66
              Tamurt, au Maroc peut etre. Pas encore en Algerie. La syntaxe boiteuse de tes messages me fait penser que votre PaPa est drolement Friqué.
              Qu'est ce que vous avez tous à m'appeler Tamurt. C'est a en devenir carremment cacochine !!!!!!!!!!! .

              Non mais moi j'ai fais mes études au Maroc et en France et ça pas comme en Algérie. Moi je pense que c'est ton pére qui soit à beaucoup de frique ou soit n'en a pas pour t'envoyer à l'école car une majuscule a sa place en début de phrase ou en début d'un nom propre pas en plein milieu ou en fin de phrase cours élementaire 1ére année.

              Ne nous dispersons pas moi je dis qu'une chose c'est pas avec des salaires de misére que l'Algérie va garder ses profs et faire des étincelles.

              L'algérie ne l'a pas volé elle l'a bien mérité le classement et déjà gentil avec les facs algériennes.

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              • #67
                Le problème que j'ai posé est réel. Revenir à un système qui a prouvé son efficience est peut être irréaliste mais je suis sûr d'une chose : les choses ne doivent et ne peuvent plus rester en l'état.
                Jawzia si la société algérienne n'évolue pas la fac fera la même chose. Un sociéte violente donnera des citoyens violents et plein d'incivilités.

                Pour le matériel des étudiants venant d'Algérie disaient qu'il y avait un ordinateur pour 3 promotions d'éléves comme voulez vous travailler dans un tel contexte. Le retard des NTIC et de l'électronique en Algérie n'est pas étranger à cette chose.

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                • #68
                  our resituer le débat, je propose de distinguer les graduations universitaires et à mon avis elles n'obeissent pas aux mêmes besoins et aux mêmes contraintes..
                  -Première graduation (premier cycle) ou dit formation fondamentale
                  -Deuxième graduation (deuxième cycle) spécialisation
                  -Pots-graduation et troisième cycle avec l'école doctorale ou l'expertise dans un domaine.

                  Chaque niveau à mon avis souffre de ses pproblèmes propores et il est utile de mattre le doigt sur chaque problème..
                  Ainsi par exemple si on prend l'échec universitaire, il sera forcément conclu lorsque l'étudiant n'achève pas les 2 premiers cycles, de même si l'étudiant reçoit une formation rachitique pendant à l'issue de ces deux cycles, je ne vois pas comment on pourrait en faire un bon chercheur ou un bon expert...

                  Trouvez vous que la langue par exemple pourrait influencer la trajectoire d'un boon étudiant ou un -de toute façon- mauvais dès qu'il met ses fesses sur un banc d'amphi...

                  Par ailleurs, à chaque cycle correspond un profil d'enseignant adéquat, permettant de dispenser la bonne formation...ne constatons nous pas un mélange de profils ?

                  Le pôle d'excellence n'est il pas un premier remède pour capter les bonnes compétences et engendrer les bons profils ?

                  Quelle/s serai(en)t la/les mission/s assignées à l'université algérienne aujourd'hui ?

                  Dahlab yerhem babek va jouer ailleurs, tu fais trop de bruit ici...

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                  • #69
                    Le pôle d'excellence n'est il pas un premier remède pour capter les bonnes compétences et engendrer les bons profils ?
                    Je n'ai pas bien saisi l'idée...
                    voudrais-tu expliquer, please.

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                    • #70
                      Le pôle d'excellence n'est il pas un premier remède pour capter les bonnes compétences et engendrer les bons profils ?
                      Concentrer des spécialités complémentaires dans des pôles universitaires et mettre en concurrence les universités pour décrocher le trophée (titre de meilleur université dans tel domaine). Une concurrence interne à la place des ces universités hypermarché où on trouve de tout à bon marché mais de piètre qualité...
                      Naturellement le tout doit suivre et à commencer par les salaires qui ne doivent plus être accrochés selon une grille standard.

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                      • #71
                        je suis pour une arabisation à outrance de notre systeme educatif, notamment universitaire, en egypte tout se fait en arabe pourquoi pas en algerie, par contre dans les regions à majorité berbere ce sera tamazight, l'arabe en langue etrangère pour ceux qui veulent, anglais obligatoire pour tous.

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                        • #72
                          par contre dans les regions à majorité berbere ce sera tamazight, l'arabe en langue etrangère pour ceux qui veulent,
                          ah bon ? tamazight même à l'université ? bonne chance !
                          et la langue officielle du pays en langue etrangère ?
                          T'as fumé quelque chose ? c'est une blague j'éspère !

                          Restons dans le vif du sujet stp.

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                          • #73
                            bah quoi le berbere est une langue nationale, elle est pas reconnue c'est tout, sinon si on enseigne en arabe je ne vois pas où serai la difficulté avec le berbere, je suis sûr qu'on peut faire les cours les plus évolués avec cette langue, d'ailleurs elle utilise les mêmes caracteres que la langue turque, donc ça s'écrit en alphabet européen, plus facile que l'arabe

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                            • #74
                              dire que l'arabe est adéquate pour l'enseignement an arabe est une bétise

                              je suis physiopathologie a l'université de nantes et franchement on a un peu de mal puisqu'on doit traiter tout les articles en anglais les rapports en francais
                              alors immaginez un algerien parlant deja pas tres bien francais ,devoir faire des recherche sur pubmed(un tres bon site américain)et ncbi
                              y a des algeriens dans notre filiere et qui étaient a l'université algerienne ,et malheurresement ils perdent 2ans dans les redoublement a cause de leur bas niveau
                              je suis arrivé avec un bac algérien ,a par en math j'ai eu des difficulté dans toutes les autres matieres biologique, c'est claire que j'avais pas le niveau
                              l'amitié est une chose rare,l'ami veritable est celui qui te demande d'etre toi meme.il t'aidera a survivre par l'amour qu'ilte porte

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                              • #75
                                L’université Houari- Boumediène s’explique

                                Les universités algériennes classées en piètre position en Afrique
                                L’université Houari- Boumediène s’explique



                                D’une étude menée par le Webometrics World Ranking, un laboratoire qui se définit comme un «groupe de travail» dédié à l'étude «quantitative» des données concernant la communication universitaire sur Internet., de cette étude, il ressort que nos «pôles universitaires» ne figurent qu’au bas du classement.
                                Suite à cela, les responsables de l’université algérienne Houari-Boumediène nous ont adressé un communiqué, dans lequel ils soulignent que «les limites de ce classement sont clairement expliquées dans la note méthodologique du même laboratoire». Toujours selon le communiqué, ce classement incite chaque pays se trouvant ou pas sur la liste à recourir à une introspection. « Le classement des 3 000 universités dans le monde présente incontestablement un intérêt et doit inciter chaque université, qui y figure ou qui n’y figure pas à une analyse interne.»
                                Pour rappel, selon le laboratoire espagnol, l’université de Tlemcen et celle de Batna, classées les premières à l’échelle nationale dans le domaine de la recherche scientifique, de la diffusion et de la participation aux colloques internationaux, occupent la 39e et la 48e place respectivement parmi les 100 universités classées au niveau africain, dans le domaine de la production de recherches, ainsi que leur rentabilité et leur efficacité dans les différents domaines scientifiques. Par ailleurs, l’université de Boumerdès est classée à la 69e et l’université des sciences technologiques Houari-Boumediène à la 72e suivie de l’université de Blida à la 74e place. Quant aux universités de Constantine, d’Oran, de Annaba et de Tizi Ouzou, la chance ne leur a pas été donnée d’être citées dans ce classement.
                                Ce bas degré est expliqué, selon le même communiqué, par la qualité des sites web des universités algériennes. «Dans le classement du laboratoire espagnol, la visibilité des activités scientifique sur le site Web de l’université et de certains moteurs de recherche joue un rôle essentiel. La qualité des sites des universités algériennes est très variable et ne correspond pas nécessairement aux activités scientifiques de chaque université.»
                                Cela dit, le communiqué avance comme indicateurs importants de l’activité scientifique, celui du nombre de thèses de doctorat d’Etat, de doctorats et de magistères soutenus. A titre d’exemple, il citera qu’en 2006, 39 doctorats et doctorats d’Etat et 167 magistères ont été soutenus à l’USTHB. Depuis 1990/ 1991 à ce jour, 354 doctorats d’Etat et doctorats ont été soutenus ainsi que 1 809 magistères et sur les six dernières années ce sont 193 doctorats et 909 magistères soutenus dans la même université, «ce qui indique une nette croissance», écrit-on. Un tableau détaillé sur le nombre des soutenances nous a été adressé également.
                                Afin de démontrer que chaque classement établi suit des critères précis, ledit communiqué informe qu’il existe d’autres classements, comme Acadamic Ranking of World Universities élaboré par la Shangai Jiao Tong University (Chine), qui avait fait un grand bruit en Europe et particulièrement en France (les universités américaines ont raflé toute la tête du classement), et ce à cause des critères utilisés, à l’image des prix Nobel obtenus ou les articles parus dans certaines revues. «Il va de soi que l’impact commercial de ces classements n’est pas négligeable, surtout pour les universités privées ou celles qui demandent des droits d’inscription élevés», renchérit-on.
                                Notons que ce classement s’est basé sur l’analyse comparée des recherches de chaque université sur quatre critères qui sont notamment, la qualité de la recherche, le rendement, la méthodologie et enfin l’efficacité ainsi que le nombre de livres, d’annales, d’interventions et de participations dans les colloques et séminaires scientifiques de par le monde.




                                14-06-2007
                                Saïda G.




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