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algerie,libye chamaillerie atomique

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  • #31
    mon message ne s'adresser pas a toi parceque d'habitude je te zappe .
    pour le departement je ne suis pas français mais je connains tres bien les wilaya algerien de 1 a 48.
    terbah.

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    • #32
      bien, laissons donc les attaques personnelles de cote et ma question reste toujours sans reponse

      l'Algérie est un pays souverain, fini le temps ou on lui faisait le leçon.

      Si un problème de frontières est soulever entre la Libye et nôtre pays c'est aux deux gouvernements qu'incombe la responsabilité de le résoudre .
      L'ONU et la cour internationale n'ont donc pas de mot a dire dans les affaires territoriales entre 2 pays parce que l'Algerie est souveraine? (tous les pays sont souverains...)

      oui ou non suffirait...
      Dernière modification par ayoub7, 31 octobre 2007, 17h21.

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      • #33
        Ayoub7 qui parle tout d'un coup de l'ONU... comme quoi il faut suivre leurs recommendations... Le comble !
        La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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        • #34
          DZbond,

          mmm, interessant, donc on ne devrait pas suivre les recommendations de l'ONU ou de la cour internationale? tres tres interessant...

          et pourquoi donc?

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          • #35
            le marocain

            Tant qu'il y a pas dépôt de plainte, cher voisin, de l'une des partie du conflits ,les deux instances n'ont pas la droit d'intervenir ou de donner leur avis !

            L'arbitrage international ne fait pas dans l'ingérence

            Je prendrai le temps de te répondre plus profondément tout à l'heure ou je t'expliquerai quelles sont les prérogatives et les compétences d'une institution internationale .

            J'aime pas les réponses raccourcis et simplistes

            un peu de lecture pour toi
            La naissance d'un tribunal pas comme les autres

            Consciente qu'une paix durable ne pourra pas échapper au devoir de justice dans les Balkans, la communauté internationale, par la voix des Nations unies, a donné naissance en février 1993 à une juridiction pénale pas comme les autres : le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY). Par la Résolution 808 du 22 février 1993, le Conseil de Sécurité de l'ONU a décidé "la création d'un Tribunal international pour juger les personnes présumées responsables de violations graves du droit international humanitaire commises sur le territoire de l'ex-Yougoslavie depuis 1991". Cette décision, qualifiée d'historique à l'époque, est intervenue dans le cadre du Chapitre 7 de la Charte des Nations unies relative au maintien et au renforcement de la paix. Pour la première fois donc, depuis les procès de Nuremberg et de Tokyo au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la communauté internationale a mis en place une juridiction pénale capable de poursuivre et de juger les responsables de crimes et d'exactions commis sur le territoire de l'ex-Yougoslavie en battant en brèche les sacro-saints principes de souveraineté nationale et de raison d'Etat qui prévalent depuis longtemps sur la scène internationale. A défaut d'avoir pu éviter les massacres perpétrés dans les premières guerres de l'ex-Yougoslavie, l'ONU a ainsi donné naissance à une juridiction extraterritoriale dotée de pouvoirs propres et d'un budget spécifique.

            Un tribunal aux compétences étendues

            Les prérogatives du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie sont définies par la résolution 827 adoptée le 22 mai 1993 par le Conseil de sécurité portant sur les statuts du Tribunal. Composé aujourd'hui de 14 juges indépendants, le Tribunal s'est vu attribuer de larges compétences concernant les violations des droits de l'homme les plus graves. Les crimes de génocide, les crimes de guerre et les crimes contre l'humanité commis sur le territoire de l'ex-Yougoslavie sont de la compétence du Tribunal de La Haye. A ces domaines de compétence qui font du Tribunal une juridiction d'exception, les membres du Conseil de sécurité lui ont donné une primauté sur les juridictions nationales afin qu'il puisse juger et poursuivre les criminels de guerre au-delà des frontières nationales. Depuis son instauration, et après un sentiment d'impuissance sur l'application de ses actes d'accusation, le Tribunal a rendu huit verdicts, dont un acquittement. A ce jour, ce Tribunal d'exception a jugé près de 61 personnes, mais parmi elles, 30 condamnés courent toujours, cachés ou bénéficiant de protections sur le territoire de la République serbe. Mais, la décision la plus emblématique du Tribunal, dévoilée récemment à la presse et à l'opinion internationale, a été l'acte d'accusation, en pleine guerre du Kosovo, porté contre Slobodan Milosevic, ainsi que quatre autres dirigeants politiques importants, proches du président. Accusé de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité, le chef de Belgrade est le premier président en exercice d'un Etat souverain à être mis en cause par un Tribunal extraterritorial. Cette accusation, basée sur des témoignages de réfugiés Kosovars et de documents transmis par les pays de l'OTAN, illustre la montée en puissance du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie, capable de s'attaquer à des chefs d'Etat en exercice.

            Le Tribunal de La Haye ne jugera pas que les seconds couteaux, et, sous l'impulsion de Louise Arbour, il affiche sa volonté de juger les plus hauts responsables de crimes et d'assassinats. Aujourd'hui déjà, les enquêteurs du TPIY, une cinquantaine d'experts en médecine légale, quadrillent le territoire du Kosovo à la recherche de preuves infaillibles et de traces de génocide pour de futurs actes d'accusation à l'encontre des "seigneurs de la guerre". Cependant, si le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie parvient à rassembler des preuves et annoncer des actes d'accusation, il doit s'en remettre à la bonne volonté des Etats pour faire exécuter ses mandats d'arrêt car il ne dispose pas de pouvoir de police propre.

            Vers un Tribunal permanent ?

            La justice internationale prend ses marques grâce à la montée en puissance du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie. Se constitue petit à petit une jurisprudence en droit humanitaire international au fur et à mesure des verdicts prononcés par le Tribunal de La Haye. Même si de nombreux actes d'accusation restent encore lettre morte, les premières arrestations de criminels de guerre font monter la pression sur les personnes inculpées, et incitent les Etats à collaborer avec les juges du TPIY pour appliquer les mandats d'arrêt internationaux. Pouvant agir en toute indépendance, Louise Arbour, l'actuel procureur général du TPIY, a voulu privilégier l'accusation des plus hauts responsables dans les guerres de l'ex-Yougoslavie. En parvenant à inculper le président serbe en exercice, Slobodan Milosevic, et quatre de ses proches collaborateurs, elle a permis au Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie de retrouver sa crédibilité et sa légitimité aux yeux de l'opinion internationale. Fort de ce premier succès, la procureur général de La Haye encourage l'instauration d'une Cour Criminelle Internationale. Ce projet de Tribunal permanent est une tentative pour instaurer au niveau international une institution judiciaire extraterritoriale sur le modèle du TPIY à la seule différence qu'elle serait permanente et compétente dans tous les pays. Déjà en juin 1998, à Rôme, les Etats se sont mis d'accord sur la création de cette Cour Criminelle Internationale. Reste à faire évoluer ce projet dont l'objectif est de dissuader toutes nouvelles tentatives de dégradation des droits de l'homme. Un espoir dont Louise Arbour résume bien les enjeux : " L'institution d'un tribunal permanent chargé de juger les crimes les plus graves marquera le début d'une nouvelle ère : celle du triomphe des droits de la personne. Or, ce sont des droits qui transcendent la souveraineté nationale et rejoignent le concept d'une société solidaire universelle ".

            Julien NESSI

            Source : cyberscopie.
            “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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            • #36
              Apparamment on veut des bout de l'Algérie un peu partout!
              On pourrait dire la même chose pour la bande d'aouzou et le Tibesti, en territoire Tchadien, réclamée par la Libye. Apparemment le tracé des frontières n'arrange pas tout le monde.

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              • #37
                merci de me consacrer du temps pour m' "expliquer", merci aussi de me parler du tribunal penal international cree en 1993 et de me donner un peu de "lecture" a faire...

                Peux tu dans le meme cadre nous parler de la "Cour international de justice de Lahaie" qui est parfaitement en mesure de donner son avis sur les litiges internationaux et qui est competente a cet effet. Le "Tribunal penal international" est une instance de jugement concernant les droits de l'homme.

                Ah la la...
                Dernière modification par ayoub7, 31 octobre 2007, 17h49.

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                • #38
                  Que de sombres nuages se dressent devant l algerie depuis l arrivee du cocu

                  l algerie du temps de massinissa s etendait
                  d alexandrie a l atlantique
                  ok sortons les cartes
                  la france a rapiece notre territoire historique
                  et c est
                  pas des pays dans leur ensemble qui ont des chahids qui se comptent sur les bouts des doigts qui vont remettre en cause nos terres ancestrales et meme immemorieles liberees par le sang de gens dont on fetera dans bientot cinq heures le sacrifice supreme et dont nous algeriens leurs seront eternellement reconnaissant
                  les chiens galeux n ont qu a bien se tenir
                  Dernière modification par nacer-eddine06, 31 octobre 2007, 17h53.
                  The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                  Commentaire


                  • #39
                    L'Algerie a été le dernier pays du Maghreb à obtenir son indépendance et par là rafler la mise.

                    L'Algerie française se croyait éternelle et elle s'est dessinée ses propres frontieres en empiétant dans tous les pays limitrophes.

                    S'agissant du Maroc et confiant dans l'independance de l'Algerie (car il y a participé), il a ,par l'intermédiaire de Mohamed V (naïf sur ce coup) cru dans les promesses du GPRA que les frontieres seront retracées convenablement .

                    Mais il s'est gouré avec les Boumedienne et consorts qui ,non content de s'approprier ce qui ne leur appartient pas, lorgnent , par le biais d'un mouvement factice, sur le prolongement saharien du Maroc pour avoir accès à l'Atlantique.

                    Voilà la réalité des choses que la propagande FLN cache au peuple algerien et qui donne des réactions du genre "nous l'avons pris aux français , allez vous faire foutre".

                    Et ca parle de principes.

                    Commentaire


                    • #40
                      Tant qu'il y a pas dépôt de plainte, cher voisin, de l'une des partie du conflits ,les deux instances n'ont pas la droit d'intervenir ou de donner leur avis !

                      L'arbitrage international ne fait pas dans l'ingérence


                      L'imprévisible


                      ........................................

                      Pour le depot de plainte , l'adresse de l'ONU est connue.

                      L'ingerence algerienne dans l'affaire du sahara, c'est quoi à ton avis.?

                      Commentaire


                      • #41
                        chicha51


                        L'Algerie a été le dernier pays du Maghreb à obtenir son indépendance et par là rafler la mise.

                        L'Algerie française se croyait éternelle et elle s'est dessinée ses propres frontieres en empiétant dans tous les pays limitrophes.

                        S'agissant du Maroc et confiant dans l'independance de l'Algerie (car il y a participé), il a ,par l'intermédiaire de Mohamed V (naïf sur ce coup) cru dans les promesses du GPRA que les frontieres seront retracées convenablement .

                        Mais il s'est gouré avec les Boumedienne et consorts qui ,non content de s'approprier ce qui ne leur appartient pas, lorgnent , par le biais d'un mouvement factice, sur le prolongement saharien du Maroc pour avoir accès à l'Atlantique.

                        Voilà la réalité des choses que la propagande FLN cache au peuple algerien et qui donne des réactions du genre "nous l'avons pris aux français , allez vous faire foutre".
                        Et ca parle de principes.

                        s'est exactement sa,nous l'avons repris à la france donc allez vous f.... f....

                        ses terres nous l'avons pas eu gratuitement,rendez-nous nos morts qui se sont battues pour ces terres et nous vous rendrons vos terres d'ici là ,ne reclamer meme pas un grain de sable

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                        • #42
                          Un algérien, lorsqu'il dit que personne ne prendra un millimètre de notre terre, et bien faut le croire parce que sinon...
                          "Vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur. Vous avez le déshonneur et vous aurez la guerre."
                          W.C

                          Commentaire


                          • #43
                            Les frontières sont là pour rester. Si elles devaient être modifiées, ce serait à l'avantage de l'Algérie !
                            Le makoudien : 1956, 1962, etc... c'est du passé !

                            @chicha : Le Maroc a créé cette situation d'"ingérence" algérienne sur votre problème avec le S.O. Vous avez osé attaqué l'Algérie au lendemain d'une guerre douloureuse. On vous rend la pareille !
                            Dernière modification par DZmes Bond, 31 octobre 2007, 18h38.
                            La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

                            Commentaire


                            • #44
                              s'est exactement sa,nous l'avons repris à la france donc allez vous f.... f....

                              ses terres nous l'avons pas eu gratuitement,rendez-nous nos morts qui se sont battues pour ces terres et nous vous rendrons vos terres d'ici là ,ne reclamer meme pas un grain de sable
                              Le Moukoudian

                              ..........................

                              J'ai déjà dis que le Maroc aurait pu obtenir directement ses terres de la France en arrêtant , par exemple,de servir de bases de repli pour les moujahidines algeriens.

                              Mais ce n'est pas l'attitude des grandes nations .

                              Merci quant meme pour tes "propos délicats" .

                              Les marocains qui ont aidé la révolution algerienne apprécieront.

                              Meme si on s'y est habitué.

                              Commentaire


                              • #45
                                Meme si on s'y est habitué.
                                Alors pourquoi tu viens pleurer ici... si tu es habituée ? Tu crois qu'un forumiste va sortir soon crayon et dessiner une nouvelle frontière ?

                                Au fait, c'est quoi ce détournement de topic !? Le sujet est la frontière entre l'Algérie et la Lybie ! Certains transformeraient un sujet sur la peinture en sujet sur le S.O. Lachez-nous avec ce bout de désert !
                                Dernière modification par DZmes Bond, 31 octobre 2007, 18h47.
                                La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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