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L'Arabie préislamique

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  • #61
    @Hups

    Quelque soit l' aspect de l' islam il n' est pas sujet de cette discussion ...

    Dans une certaine mesure si, puisque l'élément arabe préislamique fait partie intégrante de l'histoire de l'Islam depuis ses débuts ; tant pour la religion au sens stricte que pour le reste des éléments qui le constituent.

    ... Je l' ai dis en reponse a un message qui affirmait avant que l arabe n' aurait pas exister sans islam et je m' arrete la ...

    Il a dis ce qui te semble pas juste sans savoir qu'il sort du sujet, tu as répondu par ce qui te semble juste en sachant que ca sortait du sujet, il devient donc du droit des autres de preciser ce qui leur semble juste sur ce point, que ca soit dans le sujet ou en dehors.

    ... Corection : j' ai dis 500 ans avant l' Islam et non avant J.-C. ...

    Et moi je pensais a 500 ans avant l'Hégire en écrivant "avant J.-C." ; cela nous amène donc aux alentours de l'an 100 av. J.-C. Ques c'est il passé d'important dans l'histoire d el'arabie en cette époque là pour que ca serve de commencement a notre sujet ?

    ... il est inutil de fixer une date quelconque s' il y des infos a une date plus anciens encore ca serait encore mieux.

    Bah justement, on a besoin d'un début du moment que l'on connais la fin de notre sujet qui est l'avènement de l'Islam; quand selon toi doit commencer l'histoire des Arabes et comment ?
    "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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    • #62
      Dans une certaine mesure si, puisque l'élément arabe préislamique fait partie intégrante de l'histoire de l'Islam depuis ses débuts ;

      Mais ici on parle de l' arabe avant 622.

      Il a dis ce qui te semble pas juste sans savoir qu'il sort du sujet, tu as répondu par ce qui te semble juste en sachant que ca sortait du sujet, il devient donc du droit des autres de preciser ce qui leur semble juste sur ce point, que ca soit dans le sujet ou en dehors.

      Bon c' est en dehors du sujet maintenant.

      Et moi je pensais a 500 ans avant l'Hégire en écrivant "avant J.-C." ; cela nous amène donc aux alentours de l'an 100 av. J.-C. Ques c'est il passé d'important dans l'histoire d el'arabie en cette époque là pour que ca serve de commencement a notre sujet ?

      Oublis ces 500 ans avant l' hegire, ou avant JC, ,ou avant l' Islam ou ...etc.
      Parlant tout simplement de l' hsitorie des arabe avant l' Islam.
      Dites seulement ce que vous connaissez sur cette peridoe independament du temps !!!!!!

      Bah justement, on a besoin d'un début du moment que l'on connais la fin de notre sujet qui est l'avènement de l'Islam; quand selon toi doit commencer l'histoire des Arabes et comment ?

      Donnes nous donc toi une reference et moi de ma part je l' accepte d' avance ou
      chaqu' un choisit une reference personelle, ou
      prenant reference mondiale ou
      regionale ou je ne sais quoi ...

      mais bon dieu je ne veux qu' une seul chose: savoir ce que faisait les arabes avant l' Islam ... du moins ce qu' on sait d' eux ! C' est simple pourtant ...
      Dernière modification par Invité, 05 novembre 2007, 14h15.

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      • #63
        @Hups

        Pas de problème, j'avais même entamé un topic entier concernant ce sujet il y'a d ecela des siècles, on s'était arrétés aux deux premiers épisodes à l'époque ... Les revoilà pour les curieux :
        Dernière modification par Harrachi78, 05 novembre 2007, 19h27.
        "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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        • #64
          1. Les Origines

          Les plus anciennes informations que nous ayons sur les Arabes proviennent des textes assyro-babyloniens. À partir du 11e s. av. J.-C., ceux-ci situent dans le désert syro-mésopotamien et le N.-O. de l'Arabie une population dénommée en akkadien ‘Aribi, ‘Arubu ou ‘Urbu. Certains passages anciens de la Bible nous renseignent aussi sur un peuple nommé en hébreu ‘Arab (‘Arbi au singulier) et qui occupait les mêmes régions décrites par le sources mésopotamiennes.

          L'examen des noms propres des chefs des tribus de ce peuple tels que mentionnés par les textes akkadiens et assyriens montre que leur langue était effectivement l'arabe et ils devaient donc probablement se nommer eux-mêmes ‘Arab vu que cette dénomination revient à l’identique chez tous leurs voisins pour les désigner.

          En fait l’origine de ce mot dans les langues sémitique se rapporte le plus souvent à la notion de nomadisme et au désert ce qui laisse penser que le terme se spécialisa pour désigner les sémites restés dans le désert d’Arabie que quand la majeur partie de leurs cousins devinrent fondateurs ou membres de civilisations florissantes, comme en Syrie ou en Mésopotamie. De même, ce terme ‘arab sera par la suite le plus souvent appliqué aux tribus arabes bédouines alors que celles qui arrivaient d’une manière ou d’une autre à se fondre dans une civilisation ou à en créer une étaient désignés par une dénomination plus propre, selon les circonstances (Nabatéens, Palmyréniens, Saracènes, Sabéens …).

          Dès une très haute Antiquité (avant le 1er millénaire av. J.-C.) la région S-O de la péninsule arabique (Yémen et Hadramaout) était une zone ou se développa une brillante civilisation urbaine au tour de plusieurs royaumes (Saba, Maân, Dhofâr …). Si les dialectes en usage dans ces régions (le « sudarabique ») paraissent très proches de ceux pratiqués par les Arabes du N., ils en étaient assez distincts à la base ce qui laisse penser qu’ils constituèrent une langue distincte à un moment. Mais dès les alentours de l’an 500 av. J.-C. il devient pratiquement impossible de séparer l’histoire des deux régions et de leurs populations tellement elles s’entremêlent, leurs langues subissant pratiquement le même processus. Ce qui est toutefois curieux c’est le fait que ça soit la langue du N., celle des tribus nomades qui assimila celle des populations du S. qui étaient eux issus d’une haute civilisation.
          "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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          • #65
            2. L'époque Assyrienne

            En fait, l’entrée « officielle » des Arabes (ceux du N. du moins) dans l’histoire de l’Orient date exactement de l’an 845 av. J.-C. quand, selon des textes assyriens, un certain Gindibu à la tête d’une troupe de 1000 chameliers du « Pays d’Aribi », s’allia au roi araméen de Damas, Bir ‘Idri, contre le roi assyrien Salmanasar III dans la bataille de Qerqar.

            Environ un siècle plus tard (738 av. J.-C.), les annales du roi Tiglat-Pilessar III rapportent qu’une certaine Zabibée, « reine du pays d’Aribi », payait tribu à l’Assyrie. Cette dame serait originaire de l’oasis d’Adûmu (Dûmat al-Djandal, Arabie S.) où elle était grande prêtresse (« kahina ») de la tribu de Qedar. En 732 av. J.-C. ce même roi désigna un chef arabe du nom d’Idiba’il (Adbéel dans la Bible) comme gouverneur du « Pays de Mussri » (Madian et N. du Hedjaz) et l’installa a Gaza (Palestine) ; mais peu de temps après il doit soumettre une autre « reine du Pays d’Aribi », une certaine Samsi, qui se serait jointe a une nouvelle coalition regroupant encore le roi de Damas et de nombreuses tribus arabes citées dans les archives assyriennes : Mas’â (les « Massa » de la Bible), Temâ (l’oasis de Taymâa), Khayappa (de la région de Madian), Badana (dans l’oasis de Djandal) et Sabâ (les Sabéens du Yémen).

            En 715 av. J.-C. c’est au tour du roi assyrien Sargon II d’étaler ses victoires sur les quelques tribus arabes qui osaient lui causer des ennuis : Sabâ, Khayappa et encore la reine Samsi, mais aussi les Tamûdi (les Thamûd du Coran) et les Marsimâni (région d’Aqaba) qu’il dut mater péniblement.

            En 703 av. J.-C le roi de Babylone, Marduk-Appaliddina se révolte contre son suzerin assyrien Sennachérib et trouve dans les tribus arabes des alliés immédiats comme une autre « reine » du nom de Te’elkhunu, grande prêtresse des Qédar et son associé, Khaza’il « roi du pays d’Aribi ». Mais la révolte sera un échec pour le babylonien et ses alliés, à tel point que l’historien grec Hérodote considérera plus tard Sennachérib comme « roi des Arabes et des Assyriens ». En fait cette renommée est surtout due à la rude campagne qu’il mena contre les tribus arabes qui attaquaient ses territoires après avoir éliminé le danger de Babylone (-689). Te’elkhûnu et Khazâ’il devront alors fuir vers le S.

            Mais quelques temps après, les deux comparses entreront en conflit bientôt Khazâ’il devra se réfugier auprès du nouveau roi d’Assyrie, Assarhaddon. Celui-ci l’accueillera avec bienveillance, il lui livrera la belle Tabu’a, fille de la grande prêtresse Te’elkhunû, et le reconnaîtra comme chef de toute la tribu de Qedar, poste qu’il occupera jusqu’à sa mort (675 av. J.-C.) pour que lui succède son fils Uaite’ (ou Yata’).

            Un an plus tard Assarhaddon dut quand même mener campagne lui-même pour mater la révolte de deux autres tribus arabes dans la région du Wâdi Sirhan (Arabie S.). En fait, si le nouveau chef des Qedar, Uaite’ ibn Khazâ’il, commença par payer le tribu consenti par son père à l’Assyrie, il avait bien en tête l’idée de reprendre la traditionnelle politique anti-assyrienne des tribus Arabes du N.

            Ainsi, dès que le babylonien Shamash-Shumikin lança une nouvelle révolte contre l’Assyrie d’Assurbanipal, le chef arabe se joint a lui en attaquant les garnisons assyriennes au N. de l’Arabie et en Palestine. Mais Assurbanipal riposta aussitôt en ravageant les territoires de la tribu Qedar et de leurs alliés de sorte que Uaite’ se retrouva désavoué par les siens ; il sera alors capturé et envoyé à enchaîné à Ninive. La répression n’en sera pas moins dure puisque des tribus arabes entières seront exilées et déportées depuis l’Arabie vers les confins syro-mésopotamiens. Ca sera notamment le cas de la grande tribu des Qedar et celle des Nabayati (Nabatéens) qui seront installées dans les régions de Palmyre et au S. de Damas (Syrie) ; d’autres tribus arabes rebelles moins importantes seront quant a elles totalement exterminées.
            "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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            • #66
              Beh voila ! excellent. merci beacoup pour le texte.

              Maintenant qu' on a une idée generale sur ce qui est connu des arabes prehislamique j' aimerais bien preciser, concentrer et organiser la discussion sur 3 points:

              1- Discussion sur les arabes du Yemen
              2- Discussion sur ceux du nord, aussi bien des vasales des romaisn que ceux des perses
              3- l' expansion et distribution des tribus arabe apres la chutte du barrage du Maârib

              PS:
              Cette dame serait originaire de l’oasis d’Adûmu (Dûmat al-Djandal, Arabie S.) où elle était grande prêtresse (« kahina ») de la tribu de Qedar.

              Ma tribu maternelle a moi s' appelle Ouled Qedar
              Dernière modification par Invité, 05 novembre 2007, 21h33.

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              • #67
                Pourquoi parle t'on d'arabes du yémen quand on sait:
                1. que les langues sémitiques du yémen (famille sud arabique) ne font pas partie de la même branche sémitique que l'arabe.
                2. que le Yémen a une histoire propre et une culture propre.

                je ne comprend décidément pas pourquoi on veut constamment rapprocher arabes et yéménites.
                il m'avait semblé aussi que dans d'anciens textes sabéens, le terme "aribu" était utilisé pour désigner leur voisin nomade du nord, ce qui montrerait que les sabéens ne s'identifaient pas aux arabes.

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                • #68
                  Pourquoi parle t'on d'arabes du yémen

                  Parceque je veux parler ladessus.

                  1. que les langues sémitiques du yémen (famille sud arabique) ne font pas partie de la même branche sémitique que l'arabe.

                  Beh vas y expliques nous un peu. Fais nous un ptit exposé sur la question au lieu d' essayer de trouver coute que coute une raison pour ne pas parler des arabes prehislamique du tout.

                  2. que le Yémen a une histoire propre et une culture propre.

                  On veut la connaitre cette hitoire aussi. Vas y postes !

                  je ne comprend décidément pas pourquoi on veut constamment rapprocher arabes et yéménites.

                  Parce que tout simplement les yeminites sont des arabes. Et ils sont arabes parceque ils se disent arabe et se considerent arabe. Et car comme a dit le prohphete (sas) arabe est celui qui parle l' arabe.

                  Et si tu crois que les luinguistes ont demontrés que les yemenites n' etainet pas arabe alors tu as tord. Tout simplement car ils ne peuvent absolument rien affirmer ladessus et une information sur une langue n' induit pas automatiqument une conclusion sur la race de celui qui la parle.

                  En plus les luinguistes n' ont demontrés rien du tout ! ils ont uniqument decelés dans la langue yeminites tres anciennes (il faut bien le souligner ) des mots et expressions qu' ils n' ont pas trouvées dans la langue arabe du Hijaz (relativemnt moderne ! remaruqe l' ecart du temps entre les objets comparés).

                  Et quand on sait que ces mots et signes ne depassent pas quelques symboles (la dizaine) sur la porte d' un, probablement, ancien temple yemenite alors comment tu peux decalrer ici que les luinguistes ont affirmer diffinitivement et d' une facon categorique la non arabité des yeminites.

                  Encore il n' est meme pas sûr que c' etaient des yemenites qui ont laissés ces ecrits sur le temple. Il se peut tres bien que ca soit une autre civilisation ou peuple de la region ou d' une autre region vu que le Yemen etait un pays tres convoités. Semites y en a aussi de l' autre coté de la mer c.à.d en Afrique que les arabes appelaient Habacha: Somalie et ethiopie. Et ces les Habachs à leurs apogée ont meme conquis le Yemen ( epoque de la legnede de Saif ibn dou Yazan) pendant tres longtemps. Alors ces signes pouvaient bien provenir d' eux et toutes ces conclusions seraient applicable sur les langues du Habacha et non du Yemen.

                  Devant le maque flagrant des docuements historiques et aracheologiques provenant de cette periode il est absolument eronés de se croire en mesure d' affirmer quoique ce soit a 100% !!!
                  On ne fait que des theories et des hypotheses et des theories pareilles il y en a plusieurs

                  Et d' ailleurs meme les luinguistes et historiens arabes anciens parlent des arabes des baîida, celle des arabes disparus, ils etainet conscient de cette legere difference de langue.

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                  • #69
                    @Hups

                    Maintenant qu' on a une idée generale sur ce qui est connu des arabes prehislamique j' aimerais bien preciser, concentrer et organiser la discussion sur 3 points ...

                    Il n'y a pas encore d'idée générale sur le sujet puisque les deux textes postés s'arrètent à l'époque assyrienne, soit la seconde moitié du 1er millénaire av. J.-C. ; il reste encore l'époque achéménide, puis héllénistique et encore la période romaine et sassanide pour qu'on arrive enfin à l'époque islamique qui marque la fin de notre sujet ; c'est donc bien plus vaste que tu ne semble le penser lol
                    "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                    • #70
                      @Marocain88

                      je ne comprend décidément pas pourquoi on veut constamment rapprocher arabes et yéménites ...

                      Je crois que ca serait un faux débat car même sans les "rapprocher" les deux se rapprochent d'eux même rien que par la géopgraphie et par l'histoire.

                      Séparer les Himyarites (Arabes du Yémen) des 'Adnânites (Arabes du N.) c'est comme tenter de séparer les Hébréux des Cananéens ! En fait même si Arabes du N. et Yéménites sont manifestement distincts par l'origine, ils se sont cotôyés si longtemps et leurs cultures se sont tellement entremelés qu'en définitif il devint impossible de les dissocier sur aucun plan, si ce n'est le mode de vie, et cela dès le 5e siècle av. J.-C. ; c'est tout de même 1000 ans avant l'islam !

                      Alors qu'on le veuille ou pas, l'apport des uns envers les autres fut si profond et se maintint si longtemps que leur histoire en devient forcément commune et ce n'est pas pour rien que la tradition arabe ancienne fait des 'Adnânites des "arabes arabisés" ('arab musta'riba) et des Himyarites des "arabes d'origine" ('arab 'âriba).

                      ... il m'avait semblé aussi que dans d'anciens textes sabéens, le terme "aribu" était utilisé pour désigner leur voisin nomade du nord, ce qui montrerait que les sabéens ne s'identifaient pas aux arabes.

                      On ne peut être aussi catégorique avec si peux puisque même à l'époque du Prophète les Qurayshites et autres tribues arabes sédentaires se distingaueint des nomades et bédouins qu'ils nommaient par ailleurs a'râb ; est-ce pour autant qu'ils les considéraient comme non-arabes ou qu'ils se consideraient eux-mêmes comme tel ?
                      "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                      • #71
                        c'est donc bien plus vaste que tu ne semble le penser lol

                        Ok ca fait plaisir de lire ca. Seulement j' ai cru que tu n' avais pas envie de developper d' avantage le sujet.
                        Mais puisque tu le dis j' attendrais avec impatience la suite

                        On ne peut être aussi catégorique avec si peux puisque même à l'époque du Prophète les Qurayshites et autres tribues arabes sédentaires se distingaueint des nomades et bédouins qu'ils nommaient par ailleurs a'râb ; est-ce pour autant qu'ils les considéraient comme non-arabes ou qu'ils se consideraient eux-mêmes comme tel ?

                        Tres juste.

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                        • #72
                          @Hups

                          Seulement j' ai cru que tu n' avais pas envie de developper d' avantage le sujet ...

                          Disons que plus on avance dans le temps plus les choses se compliquent et les sources se multiplient ; difficle donc de compiler tout ca dans un seul post lol
                          "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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