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Le droit de préemption

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  • #46
    jawzia
    dans l'enrichissement mutuel, la responsabilité et ...la mesure. Avec plaisir.
    j'ai déjà parcourus tes posts et je pense que sur ce plan y a rien à dire.
    Les règlements de compte : Non Merci !
    tu restes poli même dans les pires moments.

    Au delà de cette discussion sur le droit de préemption, je préfère le laisser à un juriste, c'est plus la forme que le fond.
    Primo je ne m'oppose pas à l'exercice de ce droit. Chaque pays ou chaque agent(le maire par exple) peut utiliser ce droit pour conforter ou proteger son patrimoine. Ensuite je ne prétend pas que les politiques ultralibérales: levée des barrires douanières, dumping fiscal est une panacée.

    Mon propos est des décrypter les signaux qu'on envoie au reste du monde par une ploitique incohérente qui consiste à mettre en place des réformes pour ensuite faire marche arrière et sur ce registre la LFC 2009/2010 et 2011 en est l'exemple parfait de l'absurdité.

    Si tue étais un investisseur potentiel, tu pourrais venir en algérie, sois sincère?

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    • #47
      Oula, procédés dignes de certaines époques. Dans un débat houleux il y a plus de 8 ans avec certains personnages qui justement préféraient les attaques personnelles dénués de sens au débats d'idées.

      Dans ce sujet, on est est plein dedans, car ce n'est plus le sujet qu'on commente, plus les réactions qu'on apostrophe, plus l'état d'esprit qu'on juge, mais carrément des propos bien lointains, totalement assumés, tant le désastre de l'époque qui n'est pas totalement résorbé, malgré certains progrès, présage des même erreurs avec le risque des mêmes conséquences.

      Si vous voulez parler de politique et de gouvernance, j'en suis tout à fait disposé, sauf que la part de l'opinion, de l'idéologie, de morale en politique portent à des débat différents qui ne m’intéressent plus, en tout cas publiquement car stériles. Je préfère rester sur des sujets précis et techniques, si vous en avez la volonté. Je crains qu'on en est loin.

      A bon entendeur.
      Dernière modification par ott, 18 septembre 2010, 13h18.
      Othmane BENZAGHOU

      Commentaire


      • #48
        OTT
        Si vous voulez parler de politique et de gouvernance, j'en suis tout à fait disposé, sauf que la part de l'opinion, de l'idéologie, de morale en politique portent à des débat différents qui ne m’intéressent plus, en tout cas publiquement car stérile. Je préfère rester sur des sujets précis.
        bon ok, tu veux mon avis sur le sujet, le droit de préemption signifie que l'Etat ou son représentant a un droit de regard sur n'importe quel transaction qui touche des biens ou des actifs interessant l'etat;
        mais dans ce cas de figure les telecoms, l'algérie a bien engagé des réformes pour ouvrir les secteur à la concurrence pourquoi ce volte face et un retour en arrière?
        Su un plan juridique y'a rien à dire c'est légal et halal

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        • #49
          C'est justement que le mélanges des genres en Algérie est encore plus présent qu'ailleurs. Tout est politique, même l'investissement. Pourquoi veut on faire payer Djezzy. C'est un secret de polichinelle. Pourquoi lui a-t-on fait cadeau de cimenteries et d'autres investissements, ammoniaque, BTP... et qu'il s'est empressé de faire une plus value sur ce cadeau?

          Je veux bien, que l'état, en tant qu'institution ou surtout en tant qu'individualités prenne des initiatives pour éviter certaines réalités, mais on fait payer les générations futures d’erreurs d'évaluation qu'on a commis soit même. Le comble de l'absurdité.
          Othmane BENZAGHOU

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          • #50
            A part de l'auto-congratulation, je n'ai rien lu d'intelligible.
            Les procès d'intention et les constats, tout le monde sait en faire!!!

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            • #51
              Oui mais en quoi "la «limitation à 49% de l'actionnariat étranger dans tous les investissements réalisés en Algérie» et de consacrer les 51% restants à «un ou plusieurs» résidents algériens. Dorénavant, «tous les dossiers relatifs aux investissements étrangers, directs ou en partenariat» devront passer «obligatoirement» par le Conseil national de l'investissement (CNI). Une «balance devises excédentaire au profit de l'Algérie» est désormais exigée pour les investissements étrangers, directs ou en partenariat, «pendant toute la durée de vie du projet». pourrait arrêter l'afflux d'investissements étrangers ?

              Cela pourrait les freiner mais pas les arrêter, non ?
              49 % ce n'est pas rien tout de même, non ?
              Vu le contexte économique mondiale de crise, l'Algérie est en position de force pour exiger ce genre de limites, elle aurait tort de s'en priver maintenant, car elle est en position de force me semble-t-il ?

              Personnellement, je trouve qu'exiger une balance excédentaire en devises au profit de l'Algérie est un bon garde-fou face à l'appétit de certaines entreprises étrangères qui ne se soucient pas des retombées économiques et sociales sur l'Algérie.
              "un gouvernement oppressif amène la ruine de la prospérité publique" Ibn Khaldoun

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              • #52
                Salut Petite Brise,

                Vu le contexte économique mondiale de crise, l'Algérie est en position de force pour exiger ce genre de limites, elle aurait tort de s'en priver maintenant, car elle en position de force me semble-t-il ?
                Peux-tu développer davantage s'il te plait?
                Je ne pense pas que cela reflète la réalité.

                Commentaire


                • #53
                  @ PetiteBrise

                  Je l'avais oublié celle là... La valeur purement juridique sur la balance de devise excédentaire est absurde. Sa valeur financière et économique n'a aucun sens car le but de tout investisseur est de faire de l'argent, un argent qu'il est de droit de récupérer un jour ou l'autre, sinon, on ne parlerait plus d'investissement.

                  Sur le plan théorique, on peut s’interroger sur les équilibres de la balance des paiements à long terme pour les investissements étrangers. Car par définition, un investissement permet de la plus value et donc les sommes sorties sont théoriquement plus importantes que les sommes investies. Est ce que la balance des change peut supporter une logique implacable? Qui prend en charge la différence? La plus value exportable peut corriger ce déséquilibrer.

                  La réponse de nos bureaucrates est que tant que la balance devise n'est pas positive pour l'Algérie, pas d'investissement, sachant qu'on est en terme d'investissement sur des espérance de gains, sur des projections, et loin des certitudes exigés au moment de la constitution du dossier.
                  Othmane BENZAGHOU

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                  • #54
                    Salut Elbahar !

                    Nous sommes dans un contexte de crise mondiale et de globalisation mondiale de l'économie.
                    Une entreprise ne peut augmenter ses bénéfices qu'en trouvant de nouvelles débouchées : soit elle les attend, soit elle va les générer là où la place pour son activité est libre.
                    Pénétrer le marché algérien de l'intérieur permet à des investisseurs étrangers de dégager des bénéfices qui seront réinvestis dans d'autres domaines porteurs et généreront de nouveaux besoins qui pourront être honorés par des filiales étrangères.
                    L'idée est de transformer le circuit fermé en un circuit ouvert sur d'autres pays, en n'oubliant pas d'intégrer la croissance économique de tous les pays y participant : c'est à dire favoriser et multiplier les circuits de croissances qui vont au delà des intérêts d'une seule firme.
                    En partant de l'exemple de la croissance d'une entreprise X avant la mondialisation; cette entreprise devait générer des revenus qui allaient eux-même être générateurs d'autres revenus, et qui forcément en alimentant tous les circuits économiques, regénéraient de nouvelles demandes auprès de la firme X. En conservant ce principe, et en élargissant le circuit à d'autres pays, ce processus va générer de la croissance dans chaque pays partenaires, l'entreprise X aura pour rôle de créer les tuyaux de circulations de richesses en s'auto alimentant de façon indirecte.
                    Mais ceci n'est possible que si la firme a des projets à long terme en l'Algérie, et cherche à générer de la richesse économique dans ce pays afin d'en récolter les fruits de façon indirecte : c'est un partenariat économique et non de l'exploitation cupide à court terme.
                    "un gouvernement oppressif amène la ruine de la prospérité publique" Ibn Khaldoun

                    Commentaire


                    • #55
                      L'Algérie serait moins attractive pour les investisseurs à cause du droit de préemption ?

                      réponse;
                      L'Algérie n'est pas atractive mais pas à cause de l'utilisation abusive ou pas de ce droit...

                      Ott
                      Désolé mais tu erres beaucoup sur les concepts juridiques. C'est important de bien savoir de quoi on parle.

                      Commentaire


                      • #56
                        AU delà des jugements de valeur qui sont la spécialité ici, please go ahead. C'est symptomatique de la maturité démocratique de certains personnages. JE dérange autant!!!!
                        Dernière modification par ott, 18 septembre 2010, 15h16.
                        Othmane BENZAGHOU

                        Commentaire


                        • #57
                          Le droit de préemption
                          j'en vote tous les mois..........et c'est pas un soucis!
                          on fait avec..........

                          Commentaire


                          • #58
                            Tu pars d'une vérité générale pour en déduire son application à l'Algérie qui tente de réduire l'impact de la mondialisation. Ce que tu développes ici est une construction purement théorique. Dans les faits, c'est complètement autre chose.

                            Déjà, tu amorces ton analyse en posant comme hypothèse la crise financière qui est, rappelons-le, une situation conjoncturelle pour finir ton raisonnement par la nécessité pour ces entreprises d'avoir des projets à long terme. Il y a là un problème d'incompatibilité d'horizons temporels!!!

                            L'Algérie n'est pas en position de force. Elle présente des avantages et des inconvénients et en sommes elle se trouve moins compétitive par rapport à certains pays voisins sur certains aspects.

                            Ceci dit, cela ne doit pas la dissuader à prendre des mesures exceptionnelles pour rectifier le tir sur des erreurs commises pour deux raisons essentielles:
                            - Naïveté économique (L'Algérie a été mal conseillée sur pas mal de dossiers).
                            - Problème criant sur la communication institutionnelle qui crée un flou dangereux autour des réformes menées...

                            Commentaire


                            • #59
                              Envoyé par Ott
                              Je l'avais oublié celle là...
                              Je suis désolée avec mes questions à la con , mais pars du principe que je représente le peuple qui ne s'y connait pas en choix économique mais qui s'intéresse à ses conséquences humaines, en terme de civilisation et de justice sociale.... et en tant que représentante du peuple, il ne faudra jamais m'oublier
                              Envoyé par Ott
                              La valeur purement juridique sur la balance de devise excédentaire est absurde. Sa valeur financière et économique n'a aucun sens car le but de tout investisseur est de faire de l'argent, un argent qu'il est de droit de récupérer un jour ou l'autre, sinon, on ne parlerait plus d'investissement.
                              Il pourra le récupérer à hauteur de ces 49 %, non ?

                              Envoyé par Ott
                              Sur le plan théorique, on peut s’interroger sur les équilibres de la balance des paiements à long terme pour les investissements étrangers. Car par définition, un investissement permet de la plus value et donc les sommes sorties sont théoriquement plus importantes que les sommes investies. Est ce que la balance des change peut supporter une logique implacable? Qui prend en charge la différence? La plus value exportable peut corriger ce déséquilibrer.
                              Et pourquoi cette plus value ne serait pas réinvesti en Algérie ?
                              Que gagnerait l'Algérie si les bénéfices pouvaient sortir du territoire sans aucunes limites. Comment nous protéger du changement de décisions des actionnaires dans leur majorité, qui décideraient de fermer les portes de leurs entreprises et de les délocaliser sous de meilleurs cieux ?
                              Le problème ne serait-il pas plutôt celui de mettre sur la balance la protection des investisseurs privés et étrangers avec celle de la nation représentée par l'Etat.
                              Crois-tu qu'un investisseur algérien a les mêmes motivations qu'un investisseur étranger ? Penses-tu que seul l'appât du gain anime les entrepreneurs, les investisseurs, sans fibre patriotique, sans souci de l'avenir de leurs propres enfants ?
                              Envoyé par Ott
                              La réponse de nos bureaucrates est que tant que la balance devise n'est pas positive pour l'Algérie, pas d'investissement, sachant qu'on est en terme d'investissement sur des espérance de gains, sur des projections, et loin des certitudes exigés au moment de la constitution du dossier.
                              Ok, mais que proposerais-tu comme solution si moi, en tant que représentante du peuple, je rajouterais dans le cahier des charges la protection économique de l'Algérie qui doit stimuler les futurs entrepreneurs algériens face au désintérêt des investisseurs étrangers du devenir de l'Algérie ?
                              "un gouvernement oppressif amène la ruine de la prospérité publique" Ibn Khaldoun

                              Commentaire


                              • #60
                                AU delà des jugements de valeur qui sont la spécialité ici, please go ahead. C'est symptomatique de la maturité démocratique de certains personnages. JE dérange autant!!!!
                                Tu t'adressais à moi, Ott ?...

                                Tu ne me déranges pas du tout..

                                Commentaire

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