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Renault toujours intéressé par une usine en Algérie - Ghosn

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  • #31
    en Algérie, la principale fonction des entreprises étrangères qui "investissent" c'est... le transfert illicite de capitaux vers l'étranger. ça n'a rien à voir mais alors rien à voir avec des termes aussi "compliqués" que : niveau de production, taux d'intégration, transfert de technologie, emplois directs et indirects etc... Renault BERAAAAAAAAAAA!
    Dernière modification par Neutrino, 10 février 2012, 20h00.

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    • #32
      La vidéo de Carlos Ghosn sur l'usine renault d'algérie

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      • #33
        Zirds
        sinon j’espère que l'usine automobile qui sera implanté en Algérie n'aura rien à avoir avec tout ce qui et français


        Dans une autres discutions,j'ai soulevé les conditions des autoritées Algériennes,que je résume en:Oui pour une industrie Automobile,Non pour le simple montage

        Ils finiront pas se plier (L’Algérie est un bon marché pour eux) mais j’espère de tous coeur,qu'ils seront les derniers pour perdre une bonne part.

        Certains critiquent la taxe sur les véhicules en Algérie,alors que le Brésil l’applique à tous les constructeurs qui ne fabriquent pas une bonne part de ses voitures au Brésil,c'est comma ça qu'ils ont fait plier Renault qui construit actuellement une méga usine au Brésil.
        "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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        • #34
          L' Algérie vise plus qu'une usine de véhicules de tourisme,
          l' Algérie se prépare pour une industrie avec une gamme plus large.

          - Véhicules de tourisme*
          - Véhicules utilitaires jusqu'à 5t, fourgons et véhicules militaires
          ( projet avec AABAR/ Mercedes )
          - Poids lourds à partir de 5,5 t (SNVI et SNVI/Mercedes) (différentes versions)
          - Poids lourds articulés (SNVI)
          - Les Bus urbains. (SNVI)

          Pour le moment en projet, il manque celui des autocars pour le transport longues distances.

          * Sous réserve (accords avec Renault et Volkswagen Etc..)

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          • #35
            Dans une autres discutions,j'ai soulevé les conditions des autoritées Algériennes,que je résume en:Oui pour une industrie Automobile,Non pour le simple montage
            le problème de l'installation de privés en Algérie, ce n'est pas ce qu'ils proposent (montage ou intégration). le montage aussi, c'est bien. ça fournit de l'emploi et si les produits sont exportés, ça peut être rentable. les vrais obstacles à l'investissement en Algérie, c'est, le ridicule 51/49 en faveur d'un opérateur local. totalement aberrant. mais plus important encore, l'extrême rigidité du code du travail algérien qui fait que le salarié algérien est ultra-protégé. une entreprise privée, ne peut pas se permettre d'embaucher à perte sur une longue durée. si elle n'est plus rentable, elle doit pouvoir licencier voir fermer rapidement sans avoir à rendre compte. c'est comme ça dans le monde capitaliste. tant que le bras cassé algérien sera sacré, personne ne viendra investir chez nous.
            Dernière modification par Neutrino, 11 février 2012, 13h18.

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            • #36
              L' ALGERIE a RAISON
              ...
              Afin de répondre à la demande croissante du marché mondial, General Motors a installé plusieurs sites de production dans certaines régions dont la Chine en joint-venture avec SAIC pour la création Shanghai General Motors (SGM) ; une coentreprise avec une participation de GM de 49% contre 51% pour SAIC avec comme objectif de devenir leader des fabricants de véhicule de la Chine.
              ...
              Exemple La chine.

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              • #37
                Ca marche avec la chine, car c'est un pays qui connait une croissance a deux chiffre depuis 30 ans et est amené a occupé la premiere place dans les 10 prochaines années. Donc GM a plus interet a occuper ce marche que de le perdre. Sans compter que la chine est l'atelie du monde donc il y a bien une main d'oeuvre disponible ce qui n'est pas forcement le cas avec l'Algerie ou les syndicats peuvent te flingurer une affaire à n'importe quel moment voir le cas arcelor mittal.
                Le 51-49 est possible, mais il faudra necessairement mener des reforme profonde et inciter a plus de transparence, histoire que les investissement ne soient pas assimilés a des risque suicidaires.
                "Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary

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                • #38
                  c'est, le ridicule 51/49 en faveur d'un opérateur local. totalement aberrant. mais plus important encore, l'extrême rigidité du code du travail algérien qui fait que le salarié algérien est ultra-protégé. une entreprise privée, ne peut pas se permettre d'embaucher à perte sur une longue durée. si elle n'est plus rentable, elle doit pouvoir licencier voir fermer rapidement sans avoir à rendre compte.
                  Un constructeur comme Renault fait déjà d'énormes bénéfices rien qu'en délocalisant sa production au Maghreb....le SMIC magrhebin est égale à presque 1/10 du SMIC français, où cas ou tu l'aurais oublié...
                  (رأيي صحيح يحتمل الخطأ، ورأي غيري خطأ يحتمل الصواب (الامام الشافعي

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                  • #39
                    L' ALGERIE a RAISON
                    non. l'Algérie n'a pas raison. la taille du marché chinois de l'automobile est énorme. les perspectives de profits sont considérables. c'est une raison valable d'accéder à cette condition et de faire le "sacrifice" de céder la propriété à un opérateur local. la taille du marché automobile algérien est trop minable pour exiger une telle condition d'un constructeur étranger. de plus, les constructeurs autos s'installent en Chine en collaboration avec des CONSTRUCTEURS LOCAUX. et nous, on a des constructeurs locaux? la Chine et l'Algérie ne sont pas comparables. désolé, les marocains sont plus réalistes. c'est pour ça que ça se concrétise chez eux et que chez nous ça reste au stade de projets.
                    Dernière modification par Neutrino, 11 février 2012, 14h27.

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                    • #40
                      @Neutrino : je ne suis pas d'accord, l'Algérie a des moyens de pression que les pays de la région n'ont pas : le marché algérien est trop important pour Renault dans la région (c'est le plus vaste en Afrique derrière celui de l'Afrique du Sud).De plus, vu les taxes à venir sur les véhicules à l'importation et la menace de la venue du groupe Volkswagen (j'espère sincèrement que ça va se concrétiser) si le constructeur français veut maintenir son leadership sur le marché local, ses dirigeants se trouveront face à un dilemne : se plier aux conditions algériennes (51-49, partenariat avec un groupe local) ou refuser et potentiellement laisser le champ libre à des concurrents...

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                      • #41
                        si le marché auto algérien est si important que ça, dans ce cas l'Algérie a un moyen simple de forcer les constructeurs à s'installer selon ses conditions. interdire l'importation.
                        Dernière modification par Neutrino, 11 février 2012, 14h38.

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                        • #42
                          Neutrino
                          le problème de l'installation de privés en Algérie, ce n'est pas ce qu'ils proposent (montage ou intégration). le montage aussi, c'est bien. ça fournit de l'emploi et si les produits sont exportés,]

                          Le montage ou les autres équipements en métaux ou plastique,sont a faible valeur ajoutée,mais tous se qui est mécanique ou électronique est a forte valeur ajoutée,ça représente un savoir faire donc une véritable industrie.

                          Un pays peut facilement faire du montage automobile,mais difficilement de l'industrie automobile.
                          "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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                          • #43
                            Signature d’un protocole d’accord algéro-émirati-allemand
                            Développement industriel.


                            Le Ministèrede la Défense Nationale s’implique
                            La cérémonie de signature de ce protocole a été présidée, au siège du MDN, par M. Abdelmalek Guenaïzia, en présence des ministres des Finances, de l’Industrie, de la petite et moyenne Entreprise et de la Promotion de l’investissement, des officiers-généraux du MDN et de l’état-major de l’ANP, des délégations émiratie et allemande ainsi que des ambassadeurs des deux pays.

                            ● Lamia Bendada


                            CONFORMÉMENT aux directives de Son Excellence le Président de la République, chef suprême des forces armées,
                            ministre de la Défense nationale,

                            M. Abdelaziz Bouteflika relatives à la relance économique, le ministère de la Défense nationale et le ministère de l’Industrie et de la petite et moyenne Entreprise et la promotion de l’investissement ont conclu un protocole d’accord, le 22 mars 2011, portant sur un partenariat industriel et commercial entre la Société nationale des véhicules industriels (SNVI), le Fonds d’investissement émirati Aabar d’Abu Dhabi et le groupe allemand Daimler AG,
                            détenteur de la marque Mercedes-Benz, pour la modernisation et l’extension de la plate-forme industrielle de production de véhicules lourds del’Entreprise publique économique SNVI sur le site de Rouiba.

                            La cérémonie de signature de ce protocole a été présidée, au siège du
                            ministère de la Défense nationale, par M. Abdelmalek Guenaïzia, ministre
                            délégué auprès du ministre de la Défense nationale, en présence des
                            ministre des Finances, Karim Djoudi, de l’Industrie, de la petite et moyenne Entreprise et de la Promotion de l’investissement,
                            Mohamed Benmeradi, des officiers-généraux du ministère de la Défense nationale et de l’état-major de l’ANP, des délégations émiratie et
                            allemande ainsi que des ambassadeurs des deux pays.

                            Selon le directeur des fabrications militaires au ministère de la Défense
                            nationale, le général Rachid Chouaki, il est attendu de cet accord,
                            outre la création d’une société à capitaux mixtes sur la plateforme de la SNVI Rouiba,
                            qui activera selon les normes les plus avancées et le label de qualité
                            de Mercedes Benz, la préservation,

                            en premier lieu, des acquis de l’un des plus grands complexes industriels de notre pays, sa modernisation et son extension dans son domaine originel,

                            en second lieu la prise de parts de marché conséquentes au niveau
                            national, en satisfaisant notamment les besoins de l’ANP ainsi que toute la commande publique au plan de la qualité et du respect des délais,

                            en troisième lieu l’impulsion d’une synergie pour le développement de la
                            sous-traitance et l’intégration nationale et, enfin, la mise en œuvre d’un
                            programme de formation professionnelle selon les standards d’un pays
                            qui constitue la référence dans ce domaine, à savoir l’Allemagne.

                            S’inscrivant dans le cadre du renforcement des relations de coopération
                            algéro-émiratie-allemande dans le domaine de l’industrie de défense,
                            ce programme d’envergure s’articule autour de la création, sur le site SNVI Rouiba, d’une société commune algéro-émiratie, ayant pour actionnaires

                            l’EPIC/EDIVMDN (Etablissement de développement de l’industrie du véhicule / Tiaret),

                            l’EPE/SNVI et le fonds d’investissement Aabar d’Abu Dhabi et
                            comme partenaire technologique le groupe allemand Daimler AG.

                            Cette société sera chargée, selon le Directeur des Fabrications Militaires,
                            de produire, apès 2 ans de mise à niveau, quelque 7 500 véhicules
                            lourds par an de marque Mercedes Benz suivant différents types.

                            Citons,
                            entre autres,
                            les véhicules de 8 à 10 tonnes de type 4X4 et 4X2,
                            les véhicules de 18 tonnes de type 4X4 et 4X2,
                            des véhicules de 19 à 40 tonnes type 4X2, 6X2, 6X6, 8X4

                            ainsi que des bus et des microbus de marque et label
                            Mercedes Benz.

                            Dans une deuxième phase, ladite société atteindra, au bout de cinq ans, une capacité de production de 16000 cars et bus par an avec l’ensemble des moteurs de marque Mercedes-Benz fabriqués par
                            une société de même nature au niveau de l’entreprise moteurs de
                            Oued Hamimine (Constantine).

                            Dans ce même partenariat, il sera question de la production d’environ
                            25 000 moteurs/an, avec le Fonds d’investissement en partenariat technologique avec Daimler AG-Mercedes-Benz, Deutz, MTU pour couvrir différents

                            besoins nationaux :
                            de la plateforme de Rouiba, du complexe de Tiaret, pour les engins de travaux publics et agricoles.

                            Rappelons que les investissements démarreront, l’année en cours, afin que les premiers produits soient mis sur le marché en fin 2012.

                            D’autre part, un autre autre partenariat au niveau du site de Aïn Smara
                            (Constantine) concerne la production de véhicules spéciaux, en partenariat avec le Fonds d’investissement émirati Abaar et les sociétés allemandes Ferrostall et Rheinmetall, les projets précités permettront d’induire la création, en régime de croisière, de 6 000 emplois.

                            Le dernier partenariat vise la création du système électronique au niveau de l’ex unité de Fabrication de semi ensembles electroniques (FSEE) de l’Enie Sidi Bel Abbes en association entre l’EPIC/PSE/MDN et la société EPE Alfatron d’une part et un consortium de sociétés allemandes d’autre part.

                            S’agissant de la constitution des sociétés à capitaux mixtes, ces dernières seront constituées conformément aux dispositions de la loi de finances complémentaire 2009, relatives notamment aux investissements
                            étrangers directs en Algérie.

                            Celles-ci seront détenues par quatre opérateurs économiques.
                            La partie algérienne avec 51 % du capital est représentée généralement
                            par l’EPIC/EDIV/MDN et les EPE du secteur économique national.

                            La partie étrangère participera à hauteur de 49 % du capital social dont le Fonds d’investissements Abaar d’Abu Dhabi (Emirats arabes unis) associée fortement à un partenaire technologique allemand.

                            Ces sociétés seront dotées d’un capital conséquent pour
                            prendre en charge les investissements spécifiques.

                            Préalablement, la partie algérienne mettra à niveau les sites retenus
                            selons les investissements de base qui sont à sa charge et conformément
                            à des études de mise à niveau effectuées
                            par les partenaires technologiques.

                            Par ailleurs, il est prévu le lancement par la partie algérienne d’importants programmes
                            de formation professionnelle dite de base pour tous ce partenariats et au niveau
                            de tous les sites selon le concept allemand.

                            Le lancement et la réalisation des investissements spécifiques à la charge de la société à capitaux mixte

                            El-Djeich / 573 ❙ Avril 2011

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                            • #44
                              Suite..
                              visera la modernisation matérielle et
                              technologique de la SNVI Rouiba,
                              Constantine, Tiaret et Bel Abbès selon
                              les normes et les standards des partenaires
                              technologiques Daimler Ag,
                              Rheinmetall, MTU et Deutz. La formation
                              spécifique concernera les personnes
                              ayant suivi la formation de base et
                              mise à niveau en Algérie, voire même
                              en Allemagne, dans le but de les rendre
                              éligibles à travailler selon les standards
                              de qualité les plus exigeants afin
                              de conserver le label et la marque du
                              partenaire technologique. A retenir
                              qu’à travers le lancement de la production
                              de la marque Mercedes- Benz
                              en Algérie et autres, la mise en place
                              de ces sociétés va impliquer irrémédiablement
                              l’impulsion et le développement
                              de la sous-traitance et l’intégration
                              nationale, nous dira le
                              Directeur des fabrications militaires.
                              En effet, près de 50 entreprises algériennes
                              de sous-traitance (PME et PMI)
                              spécialisées dans la production des
                              accessoires et des équipements de
                              véhicules ont été recensées, Daimler
                              par exemple, assistera la partie algérienne
                              à la mise à niveau de ces entreprises.
                              Pour ce qui est de l’intégration nationale,
                              cinq pôles industriels seront obligatoirement
                              remis à niveau pour
                              devenir fournisseurs de ce partenariat
                              à l’image du complexe moteurs de
                              Oued Hamimine qui fabriquera tous
                              les moteurs des camions, cars et bus
                              de la Société mixte de Rouiba, la fonderie
                              de Rouiba, l’entreprise de mécanique
                              de German (Constantine), les
                              entreprises de peinture et les sociétés
                              de pneumatiques... Ces activités d’intégration
                              engendreront au démarrage
                              de ce partenariat jusqu'à 5 000 postes
                              de travail detinés à un personnel qualifié
                              activant selon les normes allemandes.
                              Ce partenariat vise à éléver la
                              SNVI de Rouiba au rang de pôle d’excellence
                              dans son domaine avec des
                              produits compétitifs en termes de qualité, fiabilité et prix. A ce titre, le
                              partenariat en question vise d’une part, à booster l’industrie mécanique
                              nationale en recréant des pôles d’excellence, et d’autre part, faire de ce
                              projet un élément déclenchant de la sous-traitance et de l’intégration
                              nationale.

                              En matière de formation professionnelle,
                              replacer cette dernière comme colonne vertébrale de notre industrie
                              en la promouvant selon les normes et standards allemands. Ceci dit, une formation de base permettra de hisser les jeunes stagiaires au niveau de formation allemande et les rendre éligibles à des formations spécifiques au poste et de remise à niveau tout au long de leur carrière. La formation
                              professionnelle spécifique doit correspondre aux techniques et à la technologie, en constante évolution.

                              Cette démarche concernera tous les opérateurs nationaux impliqués de manière directe ou indirecte afin de les rendre aptes à travailler selon les normes des partenaires technologiques.

                              Dans le même contexte des formations de base et des formations spécifiques sont également programmées sur tous les sites industriels (Aïn Smara, Oued MHamimine, Bel Abbès, Tiaret).

                              Pour les besoins de commercialisation du partenaire de Rouiba, un circuit
                              commercial composé de directions régionales et des concessionnaires a
                              été érigé pour couvrir tout le territoire national.

                              Ces derniers activeront selon une charte de Daimler AG basée
                              sur la transparence des écritures et des actes commerciaux. Il est exigé la
                              nécessité de maintenir un flux continu d’information envers l’utilisateur
                              potentiel et l’engagement quant au respect des délais et de la qualité avec la mise sur pied d’un service après vente efficace.
                              Par ailleurs, il est prévu la création d’un centre d’études et d’adaptation, à
                              Rouiba, en vue de fabriquer des véhicules, qui prendra compte des spécificités nationales comme les conditions
                              climatologiques, la nature du réseau routier et des reliefs.

                              La société mixte de Rouiba sera liée aux autres partenariats promus par le MDN à l’exemple de celui implanté sur l’ex complexe véhicule de Tiaret repris par l’EDIV/ MDN , en partenariat avec le Fonds d’investissement Aabar, Daimler) pour la production de 10000 véhicules/an,

                              dont 2 000 véhicules légers tout terrain de type 4X4,

                              2 000 véhicules tout terrain UNIMOG,

                              6 000 véhicules fourgon sprinter type tôlé vitré.

                              En conclusion, à travers la signature de ce protocole d’accord il apparait la volonté du ministère de la Défense nationale de satisfaire, par des sources internes, les besoins de l’ANP et de contribuer à la relance économique telle qu’exigée par le Président de la République ■

                              El-Djeich / 573 ❙ Avril 2011
                              Dernière modification par mansali06, 17 février 2012, 12h20.

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                              • #45
                                Renault toujours intéressé par une usine en Algérie - Ghosn


                                Quelqu'un a-t-il une autre blague à nous raconter ???

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