Bientôt un lifting pour des immeubles du centre-ville
par Djamel B.
Des responsables de la wilaya en compagnie des représentants de la commune d'Oran ont passé en revue, samedi matin, tous les environs immédiats de la place du premier novembre, en perspective d'une opération de traitement de certains édifices et immeubles, apprend-on auprès de sources proches de l'APC d'Oran.
En premier lieu, ce sont deux immeubles en ruine, l'un mitoyen au siège de l'association pour la promotion de la chanson oranaise (APICO) et l'autre à proximité du théâtre régional qui ont été ciblés. Le premier édifice se situe en plein centre et constitue, selon nos sources, un véritable casse-tête à chaque visite présidentielle, obligeant les responsables à recourir à son «camouflage». Nos interlocuteurs signalent qu'une décision sera prise, cette semaine, lors d'une réunion conjointe, pour décider du sort de de ces deux immeubles. Une situation similaire est constatée au niveau de Sidi El-Houari, plus précisément au niveau de la place Kléber où, là aussi, les responsables sont obligés de recourir aux mêmes procédés pour cacher la façade de deux immeubles en ruine. Sur ce point précis, notre source souligne qu'un des deux immeubles sera, en principe, pris en charge dans le cadre du projet «Archimed», alors que pour le second immeuble, il faudrait d'abord régler un problème d'ordre juridique, puisque une partie de l'immeuble appartient à des locataires et une seconde à l'Etat. Il s'agit, en fait, de décider, soit de donner des compensations pour les propriétaires et prendre en charge la réhabilitation totale de l'immeuble par les services concernés, soit de céder les parts aux propriétaires qui peuvent ainsi récupérer l'assiette et reconstruire. Pour revenir au traitement de la place du premier novembre, outre la poursuite du sablage des façades, l'hôtel de ville, le théâtre régional d'Oran subira aussi un profond lifting avec, en principe, le traitement de sa façade. La même opération est prévue pour la stèle de l'Emir Abdelkader et le jet d'eau. Pour prendre les décisions qui s'imposent et entamer dans les plus brefs délais les travaux, une réunion regroupant l'ensemble des services concernés et les responsables de la wilaya est prévue dans les tous prochains jours.
Peut-être que l'iniative de Djillali mehri à permis à ce que l'état se reveille enfin prenne conscience du patrimoine architecural des grandes villes Algeriennes....
Si tous les Immeubles "haussamaniens" en Algerie etaient restaurés comme l'à été le Royal hotel, je pense que ça pourrait donner des sueurs froides à la France...
Il faut aller le voir de visu, il est à couper le souffle.
par Djamel B.
Des responsables de la wilaya en compagnie des représentants de la commune d'Oran ont passé en revue, samedi matin, tous les environs immédiats de la place du premier novembre, en perspective d'une opération de traitement de certains édifices et immeubles, apprend-on auprès de sources proches de l'APC d'Oran.
En premier lieu, ce sont deux immeubles en ruine, l'un mitoyen au siège de l'association pour la promotion de la chanson oranaise (APICO) et l'autre à proximité du théâtre régional qui ont été ciblés. Le premier édifice se situe en plein centre et constitue, selon nos sources, un véritable casse-tête à chaque visite présidentielle, obligeant les responsables à recourir à son «camouflage». Nos interlocuteurs signalent qu'une décision sera prise, cette semaine, lors d'une réunion conjointe, pour décider du sort de de ces deux immeubles. Une situation similaire est constatée au niveau de Sidi El-Houari, plus précisément au niveau de la place Kléber où, là aussi, les responsables sont obligés de recourir aux mêmes procédés pour cacher la façade de deux immeubles en ruine. Sur ce point précis, notre source souligne qu'un des deux immeubles sera, en principe, pris en charge dans le cadre du projet «Archimed», alors que pour le second immeuble, il faudrait d'abord régler un problème d'ordre juridique, puisque une partie de l'immeuble appartient à des locataires et une seconde à l'Etat. Il s'agit, en fait, de décider, soit de donner des compensations pour les propriétaires et prendre en charge la réhabilitation totale de l'immeuble par les services concernés, soit de céder les parts aux propriétaires qui peuvent ainsi récupérer l'assiette et reconstruire. Pour revenir au traitement de la place du premier novembre, outre la poursuite du sablage des façades, l'hôtel de ville, le théâtre régional d'Oran subira aussi un profond lifting avec, en principe, le traitement de sa façade. La même opération est prévue pour la stèle de l'Emir Abdelkader et le jet d'eau. Pour prendre les décisions qui s'imposent et entamer dans les plus brefs délais les travaux, une réunion regroupant l'ensemble des services concernés et les responsables de la wilaya est prévue dans les tous prochains jours.
Peut-être que l'iniative de Djillali mehri à permis à ce que l'état se reveille enfin prenne conscience du patrimoine architecural des grandes villes Algeriennes....
Si tous les Immeubles "haussamaniens" en Algerie etaient restaurés comme l'à été le Royal hotel, je pense que ça pourrait donner des sueurs froides à la France...
Il faut aller le voir de visu, il est à couper le souffle.
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