L'Algérie est à la traîne dans les NTIC

[absent]

Les marocains n'ont jamais vu ce que c'est la république. Ils ont plus peur de tomber sur pire ... surtout avec les exemples des états de l'afrique tu nord et du moyen orient

La république c'est ce qu'on en fait ... mais tu as peut être raison, nous autres arabes nous ne somme peut être pas fait pour construire une république.

[dundalk]

Moi toutes ces etudes pompeuses je m'en mefie comme la galle,il n'ya qu'a voir le dernier classement de l'index de developpement humain, ou ces venerables experts ont prit des donnnees qui datent de cinq ou six ans pour elaborer,un dossier 2006,d'ailleurs il n'ya qu'a remarquer que le bangladech un pays ou on creve de faim litteralement y est classe mieux que l'algerie ou le maroc par example, ou encore,l'irlande un pays que je connais parfaitement(j'y ai vecu 12 ans)est classe premier!!!!croyais moi ce n'est pas si rose que ca en irlande.
Tout ca c'est du pipo,pour preuve,ma femme qui est anglaise et expert comptable(chartered accountant)s'il vous plait(pour vous dire qu'elle connait un bout sur l'economie) a eu la reflexion suivante quand elle a mis les pieds en algerie pour la premiere fois:IT IS SO DIFFERENT FROM WHAT THE WESTERN MEDIA, TRY TO MAKE IT TO BE LIKE,I AM HOOKED FOR LIFE.(en francais:c'est tellement differents de ce que les mass medias occidentaux,veulent nous faire croire,je suis completement sous le charme).
En definitive,grace a sa persistance,je precise,on va rentrer definitivement en Algerie dans quelques semaines,pour s'y installer.

[DZmes Bond]

Peu importe le modèle ! Il n'a aucune incidence sur le bien-être ou pas d'un pays. Regardon plutôt les dirigeants : leur compétence, leur honnêteté, leur droiture, etc...

== Evitez l'abus de gras, svp ==

[rico]

Ras

Si je comprend bien, tout est pour le mieux...
Les Algeriens sont contents de ce qui se passe en Algerie, ou du moins ça prend la bonne voix. Les Marocains aussi.
L'Algerie c'est super, le Maroc c'est super, Mabrouk.
J'en suis ravi, donc il n'y a plus qu'a faire la paix et concretiser ce dynmisme verbal dans les forums en actes sur le terrain.

[nassim]

Le meilleur élève dans les NTIC au Maghreb est à priori la Tunisie qui se classe 35e devant l'Italie notamment. L'Algérie (80) et le Maroc (76) sont loins derrière. Sans surprises, le classement est encore une fois dominé par les pays nordiques.

Il faudra que le gouvernement investisse plus massivement dans les filières technologiques et préparer le terrain pour encourager plus d'investissements dans le secteur des NTIC. Ainsi, on sera un "pays branché".

- le classement : http://www.weforum.org/en/initiative...port/index.htm

[augustin]

Point sur... Le forum économique mondial

Élie Cohen est économiste, directeur de recherche au Centre d'étude de la vie politique française (UMR 7048) à Paris.

Du 23 au 28 janvier, le World Economic Forum (WEF), comme chaque année, rassemble à Davos, dans les Alpes suisses, les élites de la mondialisation. Longtemps, simple club européen de dirigeants d'entreprise réunis à l'initiative de Klaus Schwab, professeur de gestion, Davos s'est transformé au cours des dix dernières années, aux yeux de ses adversaires de l'Internationale sociale de Porto Alegre, en état-major de la mondialisation libérale. Au départ forum patronal créé en 1970 pour trouver une réponse européenne aux défis de l'internationalisation des économies, il s'est progressivement élargi aux hommes politiques, aux économistes en vue, aux technostructures des organisations internationales, aux médias et même aux artistes pour devenir un club planétaire de décideurs. En 1998, un partenariat est même créé avec l'ONU pour permettre l'implication des entreprises dans la résolution des problèmes qui affectent la planète. Outre les « grandes messes » annuelles, le WEF publie chaque année un rapport sur la compétitivité des nations qui permet d'étalonner les performances, de dénoncer les erreurs et de recommander les bonnes pratiques. Même si ce rapport offre l'apparence de l'objectivité et répond au goût des classements, un regard porté sur la méthodologie en révèle pourtant les fragilités et les légèretés. La compétitivité des nations, jamais conceptuellement définie, est ce que les auteurs en décident. Comme la compétitivité est censée annoncer la croissance future, on découvre que les déterminants de la croissance n'empruntent pas à l'état de l'art de la discipline et que, de surcroît, ils sont mesurés par des indicateurs quantitatifs contestables et des indicateurs qualitatifs fragiles dans leur définition et dans leur validité statistique. En fait, ces classements ont pour but de délivrer un message étonnamment proche du consensus de Washington en matière macroéconomique (stabilité des prix, équilibre budgétaire, ouverture des frontières, libre circulation des capitaux) et de l'avantage compétitif de Porter en matière microéconomique. Alors que conclure sur l'influence du WEF ? Que Davos n'est pas l'état-major de la mondialisation libérale. Ce sont les États qui ont libéralisé, déréglementé, ouvert les frontières, institué l'OMC, renforcé les pouvoirs du FMI, multiplié les conventions environnementales et sanitaires, institué l'Union européenne ou les regroupements régionaux. Ce sont aujourd'hui les institutions internationales du système ONU ou Bretton Woods qui régulent la planète. On peut discuter cette thèse en attribuant la mondialisation à la dynamique capitaliste, à la pression du progrès technique, il reste que des États ont dû renoncer à des prérogatives nationales pour organiser cette mondialisation. Davos n'est pas non plus un simple club. La réunion des « global players» n'est pas qu'anecdotique. Les modes théoriques et les concepts chatoyants sont souvent consacrés à Davos : La Nouvelle Économie, l'entreprise globale, la fin des cycles, la fracture numérique, etc. Le forum a par ailleurs une vertu non dissimulée : offrir la plus grande foire au lobbying pour les industriels comme pour les nouveaux dirigeants politiques. Réseau de dirigeants organisés pour conforter la mondialisation et promouvoir une gestion libérale des économies, le forum entend aussi faire jouer un rôle grandissant aux dirigeants industriels en avançant sous le triple étendard de la conscience morale (refus des guerres, des discriminations, de la pauvreté), des responsabilités globales (l'environnement, les migrations, les épidémies, la multiplication des risques globaux) et de la faillite relative des États. Au sommet de la Terre de Johannesburg,on a eu une concrétisation de cette démarche. La volonté d'implication citoyenne des entreprises dans la résolution de problèmes comme le sida, la pauvreté ou l'accès à l'eau est l'illustration de cette nouvelle quête de légitimité.

[citoyen]

Il est vraiment préférable de retenir le classement tel qu'il est présenté, établir un schéma directeur réaliste sur plusieurs années et puis se donner les moyens de le réaliser...

Connaissant la Tunisie et l'algérie, et au vu de moyens technologiques tunisiens, ce classement n'est guère étonnant. Bien avant le début de ce siècle, les tunisiens sous l'oeil bien veillante des compagnies étrangères ont remis à niveau d'une part leur infrastructure et d'autre part les compétences permettant de gérer convenablement cette infrastructure...
Quelques détails m'ont surpris, les opérateurs éconimiques tunisiens sont porté sur la notion d'optimisation des usages, aussi en discutant avec un résponsable de banque ce dernier, m'annonce que l'avènement de la carte banquaire n'est guère dicté par les besoins supposés des touristes étrangers, qui me dit-il accpetaient sans difficulté de payer avec un simple bon imprimable, mais il s'agissait en réalité de mettre en place des services permettant à la classe moyenne de ne pas perdre trop de temps devant les gichets. Ainsi, me confirme-t-il, les projets de déployer ce moyen de retrait d'abord ensuite de payement a vu le jour pour la première fois 1997, d'une façon opérationnelle...dix ans après cette carte n'est toujours pas opérationelle en Algérie..

[kapello]

A savoir si toute l'industrie electronique est prise en compte,je veux dire BYA electroniQue,COBRA avec ses deux usines de production,L'ENI:fabricant étatique de teliviseurs et SURTOUT L'ENIEM FABRICANT DE FRIGO ET CUISINIERES.j'ai du mal à croire que la tunisie soit en avance sur nous ds les nouvelles technologies de l'information.

[citoyen]

Il ne faut pas confondre les produits manufacturés avec les nouvelles technologies fournissant de nouveaux usages...
Les frigos et autres moyens de cuisson, les télévisions sont des technologies déjà usités par nos grands parents...
Le montage de ces équipements est à la portée de n'importe quel technicien et donc ne peut être assimilé à des NTIC, c'est du NTOC aujourd'hui.

[dundalk]

Franchement ce genre d'etude,c'est vraiment pas serieux faire l'amalgame entre l'investissement dans les technologies de l'information et!!!l'environement politique est un travers impardonable,qui parle des tonnes sur les gens qui ont elabores ce genre d'essquisse,je tombe des nue,quand je vois, des gens qui se disent experts et qui accouchent des betises,genre:ce classement (sur l'investissement dans les technologies de pointe,il faut le rappeler)se base sur trois criteres,dont.......l'environement politique du pays,franchement des fois........

[dundalk]

L'Algerie est l'un des derniers venus dans le club des pays a economie de marche,par consequent c'est tout a fait normale de le trouver mal classer par rapport aux indices qui sont l'essence meme de ce qui est une economie ouverte,c'est une question d'experience,d'ailleurs ces indices ne sont pas une gageure de reussite,ce n'est qu' un indice, sur le degre de penetration des capitaux etrangers dans le pays en question.
Ce qui me surprend cependant,c'est le fait que le maroc,apres des decennies de capitalisme se morfond toujours, dans les bas fonds de cette ligue,qui est je le repete,encore une fois,qu'un referendum sur l'etat du capitalisme dans le pays .

[azouz75]

Désolé je vais reformuler

[Pihman]

un décorticage des élément de classement aurait été plus instructif

Cela expliquerait plus pkoi le Tunisie depasse d'autant de place le Maroc et l'Egypte

Personnellement j'ai toujours des reserves quant aux statistiques Tunisiennes

Car quant même dépasser des pays Europeens comme l'Italie !!!!!!! grande puissance économique dont le PIB est plusieurs dizaines de fois celui de la Tunisie, dont l'ouverture économique est seculaire etc etc....

Cela me laisse perplexe


Cette histoire de classement SUPER de la TUNISIE se reproduit tellement de fois (dans d'autres domaines) que bientot on devra considérer le Tunisie comme une deuxième SUISSE

[azouz75]

Selon le rapport mondial sur les technologies de l'information et de la communication de Davos, (Forum économique mondial) l'Algérie vient de se classer dans la (80e) position après la Tunisie (1re place au Maghreb, le Maroc et l'Egypte sur un total de 122 pays

L’Algérie est classé selon ce rapport 80, et il faut expliqué aussi que la Tunisie est classée 35 le Maroc 76, l’Égypte 77, donc je retient que le seul pays qui sort du lot c’est la Tunisie (BRAVO).

Comment ça se fait que des pays comme l’Égypte et le Maroc avec la stabilité politique, leurs coopérations européennes et américaines (techniques et financières) depuis un certain moment, avec aux moins 4 décennies d’ouverture économique et ils ne dépasse l’Algérie (40 ans de socialisme et économie étatique + 12 ans de guerre civile + 6 ans que l’économie a commencé à s’ouvrir) que de 3 ou 4 places .

par contre la Tunisie fait mieux, même tres bien, mais c'est quoi le secret des tunisien?
Si un Forumiste à des réponse ou son avis sur ces interrogation.

[alamirb]

Il n'y a que les pays du tiers monde qui se prennent la tête avec ce genre de classements qui repose généralement sur bcp de subjectivité.