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Les Marocains expulsés d'Algérie réclament réparation

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  • #31
    1)le cousin de mon père qui vivait a Ouejda m'affermais que le Maroc était le premier qui exclue les algériens en les privant tous leurs bien.
    • les menteurs existent.

    2)le Maroc a déclaré la guerre à L'Algérie ,c'est logique que ces citoyens étaient exclus.
    • les iraquiens et les afghans vivent bien au USA, et les arabes d'isreal sont encore là bas.

    3) je veux passer pour un raciste mais ils sont rester ils se mêlaient avec nous et nous perdant un peu......
    • Vas dire ça aux Algériens de France , et ils seront comment te répondre.

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    • #32
      1)le cousin de mon père qui vivait a Ouejda m'affermais que le Maroc était le premier qui exclue les algériens en les privant tous leurs bien
      *le fameux dahir hassanien de la marocanisation des biens des algeriens ...?
      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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      • #33
        *le fameux dahir hassanien de la marocanisation des biens des algeriens ...?

        C'était pour la marocanisation des biens des Francais.

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        • #34
          1)le cousin de mon père qui vivait a Ouejda m'affermais que le Maroc était le premier qui exclue les algériens en les privant tous leurs bien.

          * les menteurs existent.
          avidement Cabo ! les menteurs existent parmi nous

          Conformément aux dispositions du dahir portant loi n°1.73.213 du 2 mars 1973, relatif au transfert à l’Etat de la propriété des immeubles agricoles appartenant aux personnes physiques étrangères ou aux personnes morales, des milliers d’Algériens possédant des biens à Guercif, Agadir, Taza, Oujda, Berkane, Casablanca, Nador et Fès ont été inexorablement spoliés.
          le recensement a débuté en 1965 ! signé par le parlement marocain en 1973 .
          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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          • #35
            avidement Cabo ! les menteurs existent parmi nous

            ___________

            Je suis à 1000 pour 100 d'accord avec toi.


            Commentaire


            • #36
              C'était pour la marocanisation des biens des Francais.
              Cabo : un deuxieme mensonge

              le Dahir hassanien approuvé par le parlement marocain en 1973 "" loi n°1.73.213 du 2 mars 1973, ""


              Je suis à 1000 pour 100 d'accord avec toi.
              -ne fait pas l hypocrite , tu es d accord que tu as menti .

              un dossier volumineux attend ( contentieux ) chez l état algerien sur la spoliation des biens des algeriens au Maroc ...

              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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              • #37
                l'expulsion des marocains d'algérie est intimement liée à l'annexion du sahara, car le roi du maroc avait des visées sur non seulement le sahara et l'ouest algérien....la guerre des sables l'atteste comme aujourd'hui votre mythologie et votre propagande continuent de l'attester toujours...tu vois 33 ans après le problème est toujours le même.... pour cela il faudra faire intervenir des historiens marocains, algériens et etrangers pour approfondir ce point de manière impartiale.
                Jamais l'expulsion ne sera abordée sans l'invasion du sahara...dans un tribunal pénal le gouvernement algérien et votre roi seront sur le même banc des accusés.

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                • #38
                  Si Hassan, n'a pas expulsé d'algeriens c'est qu'il n'a pas trouvé autant d'algeriens que de marocains expulsés, ne me racontez pas que Hassan et son regime etaient plus "cléments" que le regime algerien, car s'il y'a un regime au monde qui voudrait envoyer en enfer l'algerie c'est bien votre regime, il ne l'a pas fait car il a pensé que ce n'etait pas productif c'est tout! sans compter que que son armée avait d'autres plans à realiser.

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                  • #39
                    un dossier volumineux attend ( contentieux ) chez l état algerien sur la spoliation des biens des algeriens au Maroc ...
                    ____________
                    Il va attendre éternelement et ils n'oseront jamais le sortir parcequ'ils savent que c'est de BIDON. et le temps que ce Dahir est sorti ton FLN n'a pas bouger un doigt parceque ils savaient que c'est de tout à fait les normal des choses, et à ce moment là ton FLN était trop actif au Maroc pour liquider des ALGERIENS pour des réglement de compte.

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                    • #40
                      CaboMoro

                      tu n as rien trouvé a dire sur le dahir hassanie , que du blàbla post /39

                      est ce que tu es d accord que tu as menti ..
                      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                      • #41
                        c'est pas la peine de s'emballer sur cette histoire vraiment. L'objectif est clair, il faut que le gouvernement marocain donne tous les moyens possibles pour ces victimes pour aller silloner le monde et s'attaquer a l'image de l'Algerie defenseur des peuples opprimes, tout simplement... Commencer par la cour de justice internationale, amnesty international, et toutes les organisations et ONG qui comptent.

                        Ce qui m'epate par contre dans ce sujet, c'est comment nos amis algeriens ignorent la souffrance de leur concitoyens algeriens, parce qu'on parle de familles mixtes la, c'est a dire mere separee d'enfants ou pere separee des enfants et de la famille selon que l'un ou l'autre soit marocain ou pas. Ca me donne l'impression qu'ils accepteront tout, meme ecraser la moitie de leur population, si cela arrive a faire du mal aux marocains. Car il ne fait pas se leurrer, ce que Boum Boum a fait, ce sont les civils qui en ont paye le prix, al hamdoullilah, on n'a pas applique la reciprocite, nous ne sommes pas de cette race, et on n'a pas chasse les algeriens vivant au maroc.
                        Dernière modification par ayoub7, 24 mars 2009, 08h30.

                        Commentaire


                        • #42
                          nos amis algeriens ignorent la souffrance de leur concitoyens algeriens, parce qu'on parle de familles mixtes la
                          je regrett vous connaissez mal les algeriens ,mais ce qui intrigue le lpus ce que ces gens on attendu tres tards ,pour reagir et soutout que les caisses de l'eteat algerien sont bien remplies,aussi ajouer la maniere insolente de leurs reaction il ya qu'aller sur leurs site ADEMA pour tout comprendre
                          Tout systeme logique est nécéssairement incomplet

                          Gödel

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                          • #43
                            t'a raison ayoub, comme ça chacun sais ce qu'il doit faire , faire de la propagande anti algerienne et demander des reparation c'est un pau trop exiger , ils ont choisi d'etre un outil de propagande , ben les reparation ils doivent l'exiger à l'eat qui les utilise , les victimes algeriennes humiliée lors de la chasse au sorcieres apres les attentas de 94, celles expropriées au maroc, est un volet du meme dossier , faire de la propagande anti algerienne ne servra a rien parceque le monde entier sais qu'entre l'algerie et le maroc il n'ya pas un probleme isolé , il ya un probleme global ...et c votre propagande qui veut en faire une multitudes de petits problemes , frontiere et ses victimes ,comme si y'avait pas de victimes algeriennes , les expulsés ,comme si yavait pas d'expulsés algeriens , les psychotropes ,comme si ... etc ...
                            en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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                            • #44
                              Cette histoire de "marocains expulsés" d'algérie montre la haine et le ressentiment du pays des dealers contre notre pays.Sa jalousie maladive et son souhait de faire le mal.
                              Tout d'abord tout pays a droit d'éloigner des gens qu'ils considère comme un danger pour sa sécurité intérieure.Ce que beaucoup de pays font jusqu'à aujourd'hui.
                              Deuxièment les marocains expulsés étaient pour la grande majorité des clandestins, des prostituées, des sorcieres et sorciers ou des trafiquant de drogue.Rares étaient des familles sérieuses.
                              Ces gens représentaient un danger pour l'algérie qui craignait une attaque de l'armée marocaine.

                              Par contre les expulsions d'algériens du maroc tombe sous la loi internationale puisque leurs biens (des centaines de milliers d'hectares, beaucoup de biens immobiliers etc.) ont été spoliés par le makhnez.Jusqu'à aujourd'hui ces biens sont exploités par des officines alaouites.

                              Conclusion: l'algerie devrait dénoncer ce crime alaouite, expulser tous les clandestins marocains qui sont un danger pour la sécurité de notre pays et surtout prendre conscience de la monstruosité de ce régime alaouite (fabriqué par le colonialiste liautey).

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                              • #45
                                Pour ayoub

                                Hypocrisie et mensonge affreux et méprisable :

                                Ca me donne l'impression qu'ils accepteront tous, meme ecraser la moitie de leur population, si cela arrive a faire du mal aux marocains. Car il ne fait pas se leurrer, ce que Boum Boum a fait, ce sont les civils qui en ont paye le prix, al hamdoullilah, on n'a pas applique la reciprocite, nous ne sommes pas de cette race, et on n'a pas chasse les algeriens vivant au maroc
                                .

                                Par Noureddine Khelassi


                                Les Algériens du Maroc, issus de l’immigration installée dès 1840, n’ont pas été victimes de la seule politique de marocanisation
                                des terres et autres biens domaniaux. Quelque 70 000, dont 14 000 inscrits auprès des services consulaires, ont été dépossédés de leurs biens en 1994. Cette année, le Maroc avait fait le constat médusé de l’existence d’un islamisme armé en mesure de passer aux actes.
                                Il le fera à la faveur de l’attentat contre un palace de la ville de Marrakech. Dans une superbe fuite en avant, dont le makhzen
                                a le secret, les autorités marocaines accusent les services secrets algériens d’être les instigateurs de cet attentat à la bombe. La réalité des faits prouvera plus tard que cette action d’éclat était le fait exclusif des djihadistes marocains.
                                Les propriétaires algériens payeront quand même, au prix fort, cet aveuglement politique, leurs biens spoliés étant toujours sous séquestre.

                                La spoliation a commencé en 1963

                                Le régime marocain pourra toujours arguer de l’étatisation des biens des Marocains d’Algérie. Dans le contentieux relatif aux biens des
                                ressortissants algériens et marocains au Maroc et en Algérie, c’est le palais royal qui porte la responsabilité d’avoir inauguré et clos le mouvement d’expropriation. En dépit de textes régissant l’établissement des ressortissants des deux pays sur les territoires respectifs, le Maroc avait lancé le mouvement de spoliation dès 1963.

                                Le contexte de la «Guerre des sables», agression militaire caractérisée contre l’Algérie fraîchement indépendante, s’y prêtait. Plus tard, en 1973, le dahir (décret) numéro 1.73.213 du 2 mars, relatif «au transfert à l’Etat de la propriété des immeubles agricoles appartenant aux personnes physiques étrangères et aux personnes morales», organisera un nouveau mouvement de dépossession. Destiné à l’expropriation des étrangers, dans le cadre de la marocanisation des terres agricoles, il ne sera appliqué finalement qu’aux seuls propriétaires algériens. Des milliers de nos compatriotes de Guercif, Agadir, Taza, Oujda, Berkane, Casablanca, Nador et Fès, seront carrément spoliés. Ces biens, ainsi que les propriétés reprises en 1963 sont toujours sous séquestre. Ils sont gérés par un organisme d’Etat, la SOGETA.
                                Ces mouvements de spoliation ont été effectués au mépris de la convention d’établissement algéro-marocaine, signée à Alger, le
                                15 mars 1963, par les ministres des Affaires étrangères des deux pays, Abdelaziz Bouteflika et Ahmed Laraki. Cette convention sera renforcée par un protocole annexe au traité d’Ifrane, la modifiant et la complétant. L’article 5 de cette convention consacre le principe du libre exercice des droits économiques et l’égalité fiscale. Il assimile même les ressortissants des deux Etats aux nationaux de chacun des deux pays. L’assimilation au national est réalisée dans «l’exercice des activités professionnelles et salariées». En vertu de ces dispositions, les citoyens des deux Etats «pourront librement accéder à la propriété des biens mobiliers et immobiliers». Et, de ce fait, «en jouir et exercer tous les droits de possession de propriété et de disposition dans les mêmes conditions que les nationaux». De même et dans les mêmes conditions de jouissance, peuvent-ils «assurer la gestion sous toutes ses formes, de leurs biens mobiliers et immobiliers, commerciales ou agricoles». En matière de statut personnel et de dévolution successorale, y compris les legs, la convention prévoit que «les juridictions de chacune des parties doivent appliquer, conformément aux principes du droit international privé, la loi nationale de l’autre partie sous réserve des règles de l’ordre public.»
                                La convention d’établissement fixe les conditions d’expropriation. Elle stipule que «les biens des ressortissants de chacun des deux pays situés sur le territoire de l’autre ne pourront faire l’objet d’expropriation que pour cause d’utilité publique et conformément à la loi». Pourtant, en 1994, des milliers de familles algériennes seront purement et simplement spoliées. Les autorités marocaines avaient alors une singulière interprétation de la «cause d’utilité publique» au lendemain d’un attentat à la bombe islamiste. Pour régler les problèmes de toutes sortes, y compris des questions d’expropriation, le traité d’Ifrane, signé le 15 janvier 1969, prévoit de conférer à une commission mixte paritaire les compétences nécessaires pour «régler tout problème pouvant naître» de l’application de la convention d’établissement de 1963.
                                Biens arch ou biens melk, les possessions des Algériens remontent au début du mouvement migratoire vers le Maroc. C’est-à-dire, à partir de 1840 et jusqu’à l’indépendance de l’Algérie en 1962.
                                Beaucoup d’Algériens ont accompagné l’Emir Abdelkader lors de son exil dans ce pays en 1843. La plupart des Algériens viennent surtout de l’Oranie, notamment de Tlemcen, Nedroma et Mascara.

                                Les Bouabdellah possédaient de grands domaines agricoles

                                La majorité d’entre eux s’est donc installée avant le protectorat français en 1912. Piliers de l’administration du protectorat et du makhzen (administrateurs, traducteurs, magistrats,fonctionnaires,enseignants), beaucoup participeront à la résistance marocaine contre l’occupant français. Certains, comme la famille Bouabdallah, dont le père, hadj Mustapha, est décédé récemment à l’âge de
                                105 ans, possédaient des milliers d’hectares et des fermes agricoles d’envergure. La famille Bouabdallah possédait des fermes qui serviront de siège à l’Ecole des cadres de la révolution, d’atelier de fabrication d’armes, d’antenne de l’état-major de l’ALN et de structures du MALG qui abritaient des antennes de renseignement et de transmissions. Aujourd’hui, l’Etat algérien et la famille Bouabdallah peuvent, à bon droit, revendiquer la restitution de ces biens au titre de symboles de la lutte du peuple algérien contre la colonisation.
                                Parmi les familles d’Algériens spoliés, il y a aussi, à titre d’exemple, celle des Khalef dont est issu l’ancien patron de la Sécurité militaire algérienne (SM), Kasdi Merbah, de son vrai prénom Abdallah. L’ancien chef de gouvernement du président Chadli Bendjedid avait justement fait ses classes de maître espion à l’Ecole des cadres de la révolution abritée dans une des fermes de la famille Bouabdallah. Le père de Kasdi Merbah, hadj Hammou Khalef, avait été spolié d’une ferme de 250 hectares fertiles à Mechraa Belekssiri. Il décédera sans avoir jamais récupéré son bien. Autre exemple de familles injustement expropriées, les Maz, originaires de Mostaganem, étaient également de riches possédants.
                                La question des biens des Algériens au Maroc, dont une bonne partie est constituée de riches possessions, est un élément important du contentieux entre l’Algérie et le Maroc.
                                Le Maroc, qui revendique pour ses ressortissants expulsés d’Algérie en 1975, serait plus crédible dans sa démarche s’il consentait lui-même à appliquer aux Algériens spoliés ce qu’il réclame de façon récurrente pour ses propres ressortissants. C’est-à-dire une juste réparation qu’il a généreusement accordée par ailleurs aux anciens colons français et européens. Comme il n’y a pas de petites et de grandes causes, la réouverture de frontières entre les deux pays et l’édification du Maghreb passent aussi par des chemins de traverse comme l’indemnisation des propriétaires injustement dépossédés de leurs biens.

                                TRIBUNE
                                Dernière modification par ouarass, 24 mars 2009, 11h03.

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