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Maroc: Les accouchement désormais gratuits dans les hôpitaux publics

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  • #16
    Il est à rappeler que les tarifs appliqués jusqu’alors dans le secteur public étaient de 500DH pour un accouchement normal et 1 200 DH pour une césarienne.
    Faut être traumatisé du crâne pour nier ce qui est rapporté par le journaliste .... marocain.

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    • #17
      Un accouchement comme un traumatisme sont payés 60 dhs dans les hôpitaux publics , on ne paye rien si on est indigent mais si on a des sous ,on paye.
      C'est comme ça que les choses marchent partout même quand on a des hydrocarbures car il faut apprendre aux gens à ne pas être des assistés.
      tu n'as pas été partout.
      « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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      • #18
        Toujours hors sujet.
        c toi qui est hors sujet,

        dans un sujet qui concerne le maroc tu parle de l'algérie

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        • #19
          Il y en a efféctivement des problémes dans le sécteur de la santé au Maroc, mais on travail, et on regarde nos problémes en face et on essaye de trouver des solutions. C 'est ca ce que je vois dans l'article: une solution pour baisser le taux de la mortalité. Alors BRAVO madame le ministre.

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          • #20
            Dites moi, avant de vous jeter dans des arguments qui vont se retourner contre vous, vous savez qu'il y a des femmes qui accouchent par terre, dans le couloir... dans les hopitaux en algerie, n'est-ce pas? Ce n'est plus un secret pour tout le monde, on se rappelle du scandale...

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            • #21
              Temoignage d'une algerienne, de la capitale... pas d'un bourg perdu...

              accouchement

              Posté dans 22 novembre, 2008 dans grossesse.

              La nuit commence lentement. Je me demande à quelle heure j’accoucherais, si je vais avoir très mal. J’essaie de me trouver un petit bout de lit pour dormir un peu mais les contractions et la peur m’empêchent de fermer les yeux. Les heures passent lentement, 22h, 23h, minuit. Mon mari m’appelle toutes les 10 minutes mais j’arrive de moins en moins à parler. La douleur s’accentue. Je pense avoir de la fièvre et j’ai peine à tenir debout. Pourtant il faut bien puisqu’il n’y a ni chaise ni lit de libre. Une infirmière vient me placer une poche de sérum et un antibiotique. De temps en temps, on vient chercher une des femmes, certaines reviennent, d’autres non, on les verra sortir sur une chaise roulante, leur bébé au bras.

              Je passerais toute la nuit ainsi ; à faire des allers retours entre la salle d’attente et les tables d’accouchements, mais le moment n’est toujours pas arrivé. Aucun mot ne saurais décrire cette nuit la, la souffrance, les cris, la saleté, l’humiliation. Moi-même de nature si réservée, je me surprends à frapper les murs et à hurler tant la douleur est intense. Une nuit hors du temps et de l’espace.

              Vers 9 heures du matin, je n’ai toujours pas accouché. Je n’en peux plus. Je rassemble mes forces pour supplier les sages femmes mais il n’y a plus personnes. C’est l’heure de la relève. Le service de nuit est fini, tout le monde est parti. Seule une femme de ménage fait le parterre et fait mine de ne pas entendre nos supplications. Il faudra attendre une heure pour que les nouvelles arrivent. Elles prennent leur temps et sont surprises de nous voir si pressées d’en finir.

              Ce sera seulement à 11 heures que je monterais sur la table, l’accouchement prend 5 minutes, presque sans douleurs. Episiotomie faite d’un coup rapide. On me jette littéralement ma fille sur mon ventre, pas pour faire connaissance, mais tout simplement parce que c’est le seul endroit ou la mettre. Le cordon est vite coupé, on emmène ma fille et on me dit que je fais une hémorragie. Tout le personnel accoure, on essaie de trouver l’origine, je perds presque conscience, tout ce que je vois c’est des compresses trempées de sang, j’ai peur, j’ai mal. Une sage femme commence à me recoudre…à vif…la douleur est telle que je ne peux m’empêcher de bouger, elle me hurle : restes tranquille !!! Tu veux mourir ???!!!!!

              Je resterais sur la table pendant deux heures, la couture prend un temps fou, je suis épuisée. On me demande enfin de me lever, je ne peux même pas sentir mes jambes.
              Une femme m’aide à me mettre sur un fauteuil, on me donne ma fille et on m’emmène vers une chambre. Je reconnais deux femmes que j’avais vues, elles ont l’air en pleine forme. Est-ce que c’est moi qui suis si douillette ?
              Je vois enfin mon mari. J’ai juste envie de rentrer à la maison. Je ne fais même pas attention au bébé. Ma famille m’oblige à manger un peu pour récupérer, à peine le temps de les voir qu’il est déjà l’heure de partir. Je me retrouve seule avec ma fille. Je n’arrive ni a m’assoir ni à m’allonger, ni à me mettre debout. J’ai très mal. Le bébé pleure, j’essaie de lui donner a téter mais je ne sais pas m’y prendre. Une des femmes la prend, la câline et me reproche mon manque de tendresse. Je me tors de douleur alors l’instinct maternel….

              Je sors de l’hôpital au bout de 48 heures après avoir partagé le lit avec deux autres femmes. Ma fille est affamée, tout ce que j’ai pu lui donner c’est un peu d’eau et de sucre. Je peux à peine marcher. La douleur ne me quitte pas. C’est seulement plus tard que je saurais que cette souffrance n’a rien de normal.

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              • #22
                Faut être traumatisé du crâne pour nier ce qui est rapporté par le journaliste .... marocain.

                Jawzia


                ...................................

                Celui qui est traumatisé du crane c'est celui qui ne voit que la bosse du voisin .

                Avant de venir jouer au "riche" , assure toi que ta maison n'est pas en verre que dis je ? en pisée !!!

                On te l'a dit mille fois et malgré tous les articles scandaleux qu'on te poste sur l'etat de delabrement des hopitaux chez toi ,tu insistes bla hachma.

                Si la gratuité dont tu te gargarises pousse à avoir des femmes qui accouchent à même le sol , je préfère payer pour améliorer les conditions de service dans les hôpitaux.

                Et puis contrairement à tes mensonges ,500 dhs (c'est peut être la moitié du Smig chez toi ) mais il ne fait que le quart du Smig marocain qui avoisine le 2000 dhs.

                Et comme on accouche pas tous les jours et au maximun quatre fois dans une vie , ce n'est pas 4 fois 500 dhs qui va faire mal à une famille surtout si elle n'est pas indigente.La naissance d'un enfant n'a pas de prix.

                Pour les demunis , il suffit qu'ils presentent une "chahada dou3f" pour etre dispensés de paiement.C'est donc pas aussi noir

                Tu vois que tu ne fais que nous donner des batons pour te faire taper dessus.

                La prochaine fois "Koune sba3 ou koulna" sinon abstient toi.

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                • #23
                  il y a encore 150000 femmes qui accouchent à la maison, j'espère pour elles qu'une fois elles auront accès l'hopital elle ne vont pas vivre cela.




                  Histoire d'un accouchement

                  Dire que je suis bouleversée c’est peu dire, je crois que c’est plutôt du genre traumatisée.

                  Je croyais avoir presque tout vue, eh bien non ! Il me manque un tas de choses à voir et à expérimenter. Pour vous expliquez mon état d’esprit il faut lire ce qui suit.
                  Premièrement se situer, Agadir ville du Maroc, un splendide Golf, 27 trous, un prestigieux Club Med, des 5 étoiles pour vous loger en pagaille, tout est prêt pour le tourisme, pensé pour le tourisme, fait pour le touriste, eh bien voila qu’un jour...

                  Moi, résidente de cette ville, étrangère, amoureuse du Maroc, de ses gens et de ses coutumes, respectueuses au 100% de tout ce qui appartient à mon entourage, tout d’un coup et par amitié, très grande amitié, je décide d’accompagner a fille de mes amis à l’hôpital pour accoucher, jusqu’ici tout est au mieux, nous arrivons à l’accueil, où ne nous trouvons personne, même les petites étagères situées sur le comptoir sont vides, pas de téléphone, pas de papier... Bon, rien de chez rien, de ce que en réalité devrait être un accueil d’un hôpital...

                  Au bout d’un moment, les femmes qui sont là, non pour passer la soirée mais pour faire venir au monde leurs enfants, décident de passer la barrière d’une porte battante, qui d’origine, devait être blanche (1 millions de doigts on dû y passer)... Les mures aussi présentent le temps écoulé, l’humidité et l’oubli des lieux...

                  Voilà l’endroit où tous ceux qui non pas le pouvoir économique de se payer le Club Med ou un trou du Beau Golf doivent aller faire venir son enfant au monde.

                  Que c’est tout ? Non, il faut passer la porte battante pour continuer mon histoire.

                  Tout d’un coup j’aperçois venir vers nous un CHAT, oui un CHAT qui se baladait dans les couloirs de l’hôpital, 2 minutes après, un deuxième, encore plus gros que le premier...

                  Au bout d’un moment, la jeune fille que j’ai eu le grand honneur d’accompagner, s’est introduite dans une petite salle par une dame, qui jouissait de beaucoup d’éléments, mais qui -à mon point de vue- avait dû laisser l’élément principal : la sympathie. Permettez-moi une réflexion, et pas à props de la sympathie de la femme au bonnet blanc :
                  NOUS LES DERNIERS NOUS LES PREMIERS ?

                  Je ne voulais vraiment pas savoir la réponse, car je crois malgré moi l’avoir deviné, si tu donnes quelques dirhams tu as le droit de sauter la file...
                  Un moment après, on nous fout à la porte et on nous dit de revenir le lendemain, et que surement elle aura eu son bébé... QUOI ?
                  Je part sans plus rien dire car, ma foi, cela doit être ainsi. Moi, maman de plusieurs enfants, je me souviens le soutient qui représentait d’être accompagné par ma maman, mon mari, qui me soutenait la main, les encouragements de ma mère, ici rien, mais rien de rien, même pas le droit de rester à la salle d’attente, ah j’ai dit salle d’attente ? Elle est où déjà ?
                  A minuit j’ai reçu un appel, ma petite chérie m’annoncé qu’elle a eu son bébé. Je décide d’aller la voir le lendemain, j’arrive à l’hôpital vers 9 du matin, j’appelle au portable pour savoir comment arriver jusqu’à elle, et sa petite voie m’indique que je suis arrivé trop tard pour la visite, que l’horaire était de 7h00 à 7h30 du matin et qu’à midi je pourrai la voir. J’hallucinais. Mais encore plus quand j’ai pris le chemin pour sortir de l’hôpital, je croise deux morts, oui, enfin pas sur le sol mais surement en chemin vers la morgue, enveloppés dans leurs derniers habits et un drap... Mais les faire balader à vue de tous ?

                  A midi je reviens avec sa famille et son fils de 9 ans pour l’emmener chez elle. Quelqu’un ouvre la porte du grand couloir, et là, à cet instant même commence mon cauchemar, s’agit-il d’un filmes de peur ? d’horreur ? Mes yeux ne pouvaient aller aussi vite que mon regard exigeait...
                  Je rentre dans la chambre, 16 m² pas plus, 6 lits, 3 de ces 6 lits en doublette, quand je dis en doublette cela veut dire, une femme et son bébé au pied du lit et une femme et son bébé à l’autre coin opposé du même lit, donc à deux par lit.

                  Dans un de ces lits en doublette, une femme hurlait de douleurs, elle était entrain d’avoir une fausse couche, mais elle n’avait pas encore une dilatation optimale pour qu’on intervienne, QUOI ?
                  Ils devait être une quinzaine de personnes non hospitalisées dans la chambre, plus un enfant qui venait connaitre son petit frère, ce qui fait que nous avons était en total et en comptant les nouveaux nés, à peu près, 30 êtres humain dans 16m².

                  Le délire, les couvertures chacun doit les ramener de chez soi, et les coussins aussi... Les aliments et un peu d’argent pour pouvoir être seule sur un lit, pour qu‘on t’aide à avoir un accouchement rapide, ramène des couches pour ton bébé et pour toi-même, pardon………….
                  J’ai besoin d’eau pour avoir un peu de salivation, ça c’est à Agadir ville de grand luxe touristique avec un splendide GOLF, oui, il a 27 trous et un tout puissant CLUB MED...

                  La réflexion que fait Hamlet : "Être ou ne pas être, telle est la question". Vous-même n’êtes nullement à l’abri d’une telle réalité, vous en conviendrez. Je ne peux dire que je redoute ma non-existence puisque je ne sais –ni ne saurai de mon vivant– ce qu’elle me réserve .

                  « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                  • #24
                    et dire qu'ici les femmes planifient le jour et l'heure de l'accouchement.

                    peridurales...........et tous le tsointsoin.............

                    la moindre douleur est c'est a fin du monde.............pfffffffffffffff

                    mon dieu le monde est fou..............que d'extremes partout!
                    on fait avec..........

                    Commentaire


                    • #25
                      il y a encore 150000 femmes qui accouchent à la maison, j'espère pour elles qu'une fois elles auront accès l'hopital elle ne vont pas vivre cela.

                      Bledard


                      ........................................

                      T'as apparemment toujours pas compris le fin fond du message.

                      Si c'est pour accoucher à même le sol dans des hôpitaux de la capitale chez toi ( voir les précédents articles) , il vaut mieux faire appel à une sage femme à la maison.

                      Continue à t'enfoncer

                      Commentaire


                      • #26
                        il y a encore 150000 femmes qui accouchent à la maison, j'espère pour elles qu'une fois elles auront accès l'hopital elle ne vont pas vivre cela.

                        Bledard

                        ........................................

                        T'as apparemment toujours pas compris le fin fond du message.

                        Si c'est pour accoucher à même le sol dans des hôpitaux de la capitale chez toi ( voir les précédents articles) , il vaut mieux faire appel à une sage femme à la maison.

                        Continue à t'enfoncer


                        restons dans le sujet si tu souhaites avancer. Tu pourras aussi nous éclairer sur pas des chiffres.

                        Donc on disait qu'il y a 150000 femmes qui accouchent à la maison.

                        Que celles qui accouchent à l'hopital risque également leur vie. Apparement ce ne sont pas des hopitaux (voir le témoignage ci dessus).

                        Combien il y a de lits, de sage femmes de gynéco dans ton royaume?
                        « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

                        Commentaire


                        • #27
                          restons dans le sujet si tu souhaites avancer.

                          Bledard
                          .............................


                          On est dans le sujet et pourquoi veux tu avancer en éludant la situation sanitaire chez toi qui est aussi calamiteuse que celle existante au Maroc

                          Quand ton pays aura atteint les standards internationaux vient nous donner des leçons.

                          En attendant tu devrais faire le coq ailleurs car tout se sait aujourd'hui

                          Pour clore le débat et te faire descendre de ton piédestal voici un énième article ( et pas des moindres) qui parle même du retour des épidémies dans ton pays et qui j'espère va te réveiller de ta torpeur.


                          ...................................

                          Dans un rapport , La Banque Mondiale dresse un tableau noir de la situation sanitaire en Algérie

                          La banque mondiale a considéré dans son rapport sur la santé en Algérie que les objectifs tracés par les Nations Unies dans ce cadre n’ont pas été réalisés. En Algérie on retrouve les maladies et épidémies des pays en voie de développement, pauvres, et même développés à la fois. Le faible rendement du secteur public a contribué à la croissance du secteur privé, ajoute ce rapport.

                          Le rapport intitulé, « l’amélioration de l’efficacité des dépenses médicales » a révélé que plus de 110% des médecins et spécialistes du secteur public ont rejoint le secteur privé, en une décennie.

                          Le nombre de médecins travaillant dans le secteur privé est actuellement dépasse les 15 mille, contre 7240 en 1991.

                          44% des médecins spécialistes et 34% des médecins généralistes travaillent dans le secteur privé, un taux en augmentation permanente, selon le même rapport.

                          Il prévoit une éventuelle hémorragie du personnel dans le secteur médical public qui souffre de plusieurs lacunes. L’Algérie a consacré des sommes d’argent considérables pour généraliser les services médicaux dans tout le territoire national, et réaliser une couverture médicale à 98%. Ce rapport révèle, cependant, que la qualité des services est reste faible.

                          Les régions montagneuses souffrent d’un manque d’équipements, de médicaments et de médecins spécialistes, notamment dans le sud algérien.

                          Le secteur public est marqué par une grande inégalité en termes de répartition des médecins sur nombre d’habitants. Il emploie 0,18 médecin pour 1000 habitants au Sud Est et 1,52 médecin et plus dans les régions du centre. Ce rapport a révélé que les médecins refusent de travailler dans les régions montagneuses.


                          - El Khabar -11 / 02/ 2008
                          Dernière modification par chicha51, 03 avril 2009, 14h45.

                          Commentaire


                          • #28
                            Si c'est pour accoucher à même le sol dans des hôpitaux de la capitale chez toi ( voir les précédents articles) , il vaut mieux faire appel à une sage femme à la maison.
                            je crois aussi oui!
                            on fait avec..........

                            Commentaire


                            • #29
                              On est dans le sujet et pourquoi veux tu avancer en éludant la situation sanitaire chez toi qui est aussi calamiteuse que celle existante au Maroc

                              Quand ton pays aura atteint les standards internationaux vient nous donner des leçons.

                              En attendant va faire le coq ailleurs.

                              Pour clore le débat et te faire descendre de ton piédestal voici un énième article ( et pas des moindres) qui parle même du retour des épidémies et qui j'espère va te réveiller de ta torpeur.

                              le sujet c'est le maroc....

                              aide ta ministre a trouver des solutions, on est pas entrain de te dire de venir accoucher en Algérie.

                              150000 tout de même!!!
                              « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

                              Commentaire


                              • #30
                                aide ta ministre a trouver des solutions, on est pas entrain de te dire de venir accoucher en Algérie.
                                Bledard

                                ..................................

                                Je n'ai aucun conseil à donner à la ministre ( elle est mieux placée que moi) par contre prémunir les marocaines d'aller accoucher dans les couloirs des hôpitaux d'Algérie , ça oui

                                Autre précision , au Maroc les kablates( sage-femmes) dans le monde rural sont formées par le ministère de la santé pour faire accoucher les femmes des douars , chez elles ,dans les meilleures conditions possibles.

                                Donc tes 150 000 femmes( chiffre à confirmer) nombre d'entre elles sont mieux assistées que les femmes d'Alger qui accouchent comme au moyen age.

                                Commentaire

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