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Maroc: Les accouchement désormais gratuits dans les hôpitaux publics

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  • #46
    Faudrait peut etre s'inpirer de comment font les autres pays pour importer des docteurs de Cuba.
    Cuba est loin devant.
    Les statistiques donnent pour ce pays 37 décès pour 100 000 naissances vivantes, à comparer à certains pays ( 227 décès )..

    Tu aurais du ajouter "Ce qui est loin d'être le cas en Algérie aussi."
    OUI, c'est mauvais chez nous, et nous sommes pas satisfaits de nos 92 décès pour 100.000 naissances vivantes en 2006.
    Dernière modification par mansali06, 03 avril 2009, 22h06.

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    • #47
      Comme j'ai une sainte horreur des menteurs .... A la liste d'ignorés. _

      Jawzia

      ..................................

      Tu es très mal placé pour parler de mensonges.

      Tes "méfaits" sur FA entre plagiat , mauvaise foi, détournement de sujet où à chaque fois tu as été pris la main dans le sac ( n'est ce pas Ayoub ?) ne plaident vraiment pas en ta faveur pour jouer les "outrés".

      Le prix dans les hôpitaux publics au Maroc est fixé à 60 dhs et tous les marocains du forum peuvent l'attester.

      J'avoue avoir estimé le prix de l'accouchement comme celui d'une consultation mais même 500 dhs , ce montant reste potable du moment qu'il est exceptionnel ( on n'accouche pas tous les jours) et ne constitue que le quart du Smig ( 2000dh) et non comme tu l'avances sans honte en disant qu'il s'agit de quasiment le Smig marocain .

      Je te cite :

      "C'est presque au niveau du Smig, d'ailleurs (toujours d'après l'article que tu n'as pas lu), elles sont 150.000 à accoucher à la maison (sur les 600.000 accouchements observés)."


      Qui est dans le mensonge et la mauvaise foi ?

      Mais, par contre, toi tu seras toujours dans ma liste d'"appréciés" tant que je releverais tes "fourberies"

      PS: Au fait quelles sont tes sources sur les 150 000 femmes accouchant chez elles au Maroc ? Meme si c'est mieux que d'accoucher dans les "abattoirs" d'Alger appelés maternités

      Commentaire


      • #48
        240/100000

        c'est ton gouvernement qui communique ça.

        chicha relis ça


        et aprés tu relis le classement de la mortalité maternelle.

        tu verras le nombre de pays qui de dépassent.

        Tu feras le tour de leur forum (pratiquement tous en afrique), pour parler de ce sujet et tu reviendras débattre sur FA dans dix ans....

        si tu veux bien sur sûr ne pas griller les étapes et avancer


        pas de compraison pour l'instant

        Puni
        « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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        • #49
          pas de compraison pour l'instant


          Bledard


          ...........................................

          Si ! relis ceci


          Dans un rapport , La Banque Mondiale dresse un tableau noir de la situation sanitaire en Algérie


          La banque mondiale a considéré dans son rapport sur la santé en Algérie que les objectifs tracés par les Nations Unies dans ce cadre n’ont pas été réalisés. En Algérie on retrouve les maladies et épidémies des pays en voie de développement, pauvres, et même développés à la fois. Le faible rendement du secteur public a contribué à la croissance du secteur privé, ajoute ce rapport.

          Le rapport intitulé, « l’amélioration de l’efficacité des dépenses médicales » a révélé que plus de 110% des médecins et spécialistes du secteur public ont rejoint le secteur privé, en une décennie.

          Le nombre de médecins travaillant dans le secteur privé est actuellement dépasse les 15 mille, contre 7240 en 1991.

          44% des médecins spécialistes et 34% des médecins généralistes travaillent dans le secteur privé, un taux en augmentation permanente, selon le même rapport.

          Il prévoit une éventuelle hémorragie du personnel dans le secteur médical public qui souffre de plusieurs lacunes. L’Algérie a consacré des sommes d’argent considérables pour généraliser les services médicaux dans tout le territoire national, et réaliser une couverture médicale à 98%. Ce rapport révèle, cependant, que la qualité des services est reste faible.

          Les régions montagneuses souffrent d’un manque d’équipements, de médicaments et de médecins spécialistes, notamment dans le sud algérien.

          Le secteur public est marqué par une grande inégalité en termes de répartition des médecins sur nombre d’habitants.
          Il emploie 0,18 médecin pour 1000 habitants au Sud Est et 1,52 médecin et plus dans les régions du centre. Ce rapport a révélé que les médecins refusent de travailler dans les régions montagneuses.


          - El Khabar -11 / 02/ 2008
          Dernière modification par chicha51, 03 avril 2009, 21h25.

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          • #50
            Chicha ou le troll,

            on parle de mortalité maternelle, et tu nous ramenes un audit du système de santé algérien. le voici

            ça change des titres de ek khabar

            Note tout de même et pour revenir au sujet que le rapport estime avec 92 deces pour 100000 niassances l'algérie est en retard.

            quid avec tes 270 deces objet de ce topic?

            __________________________________________________ __________

            Banque mondiale : revue des dépenses publiques en Algérie pour améliorer l’efficacité des investissements La Banque mondiale a réalisé une Revue des dépenses publiques (RDP) pour la période d’octobre 2005 à 2006. Un atelier de haut niveau s’est tenu à Alger les 11 et 12 juillet 2006 pour la présentation des recommandations principales de la RDP.

            La RDP fait une analyse approfondie de la gestion fiscale et de la qualité des investissements publics sous le programme complémentaire de soutien de la croissance (PCSC) autour des cinq objectifs suivants :

            1. Évaluer la pérennité fiscale dans le contexte du stimulus fiscal que l’important PCSC représente ;
            2. Définir des hauts standards techniques pour la gestion des investissements publics ;
            3. Tirer des leçons du présent processus de réforme et de modernisation budgétaire afin d'accélérer la mise en place générale, la surveillance et l’évaluation des projets PCSC ;
            4. Appuyer la préparation d’un Cadre de dépenses à moyen terme (CDMT) ; et
            5. Améliorer l’efficacité et l’économie des investissements dans quatre secteurs clés, notamment les transports et les travaux publics, l’eau, l’éducation et la santé.

            Diagnostic

            La RDP estime que le PCSC est financièrement viable à moyen terme. Le budget fiscal peut temporairement soutenir de larges augmentations des investissements publics sur la période 2005-2009 avec cependant trois mises en garde :

            1. Premièrement, les autorités devront prendre soin de limiter les augmentations dans les dépenses courantes dérivées des investissements PCSC.
            2. Deuxièmement, le PCSC devra être mis en œuvre graduellement, durant toute la vie du projet. En effet, le fait de se limiter au financement des projets peut engendrer des dépenses inutiles et de la corruption.
            3. Troisièmement, lorsque le PCSC touchera à sa fin, les autorités devront adopter des actions concrètes afin de revenir à un niveau de dépense viable à moyen terme.

            La RDP conclut aussi que l’Algérie a fait d’important progrès en matière d’éducation publique et de santé. A l’exception de la mortalité maternelle, l’Algérie pourra certainement atteindre tous ses objectifs de développement du millénaire (ODM). Cependant, la RDP identifie plusieurs faiblesses dans le cadre institutionnel, l’efficacité sectorielle et l’économie de l’investissement public :

            Le système national d’investissement public a besoin d’être modernisé. Des projets «majeurs» requièrent une supervision spécifique de la part d’une agence spécialisée. La réforme budgétaire, un outil essentiel dans la mise en place du PCSC progresse mais très lentement. En général, le niveau de compétences techniques du personnel en charge de l’exécution des projets est faible et il est improbable que ce niveau s’améliore dans un avenir proche. Les Wilayas et autres institutions de gouvernement locales affichent les mêmes lacunes.

            • Une faible efficacité de l’investissement public découle principalement d’une qualité de projet inégale. Les projets d’envergure ne sont souvent pas conformes aux standards techniques minimes et peu, voire aucun suivi n’est effectué étant donné qu’aucune base de données centralisées des projets PCSC n’existe. En général, ceci donne lieu à des objectifs de projets seulement partiellement réalisés. Plusieurs projets ne devraient même pas être poursuivis. Ces problèmes sont intensifiés par une allocation de ressources trop grande par rapport à la capacité d’absorption locale.

            • Alors que les coûts initiaux sont pour la plupart sous-estimés, les coûts finaux sont, à l’inverse, très souvent surestimés. C’est pourquoi la faiblesse de la capacité d’absorption induit des risques considérables de coûts trop élevés. Jusqu’ici, l’investissement privé dans les projets d’infrastructures publiques demeure limité. Des problèmes plus spécifiques de mise en œuvre apparaissent comme communs à tous les secteurs. En effet, un taux de couverture mal réparti et une faible qualité de services, en particulier entre les communes pauvres et rurales persistent. La plupart des stratégies sectorielles (excluant l’éducation) sont obsolètes, une situation qui mène à des concentrations stratégiques du PCSC implicitement biaisées envers les projets de construction d’infrastructure. Des cadres institutionnels hautement fragmentés demeurent dans plusieurs ministères clés, spécifiquement dans le domaine de la santé et de l’eau. Le déficit de budgets de maintenance, surtout pour les vastes projets d’infrastructure (les routes et travaux publics), est très onéreux. Cependant, il existe plusieurs possibilités de redressement des coûts considérables dans le domaine des barrages, de la construction d’écoles, de l’équipement médical et de la gestion pharmaceutique.

            Recommandations principales
            Des mesures doivent être adoptées pour corriger les faiblesses du système d’investissement public. Ainsi, la RDP recommande de travailler sur trois piliers de la réforme institutionnelle :

            1. La restructuration du système national d’investissement public. Un système amélioré d’investissement public devrait s’éloigner d’une approche “projet par projet” pour épouser une approche sectorielle s’étendant sur plusieurs années et où les projets sont sélectionnés sur la base d’une stratégie sectorielle mise à jour. Les projets d’investissements devront embrasser les standards minimaux et être financièrement efficients, faute de quoi ils ne devraient pas être approuvés. Les équipes des ministères et des agences responsables de l’exécution des projets devront être formés, et leurs effectifs devront augmenter. De nouvelles normes devront diriger les investissements des Wilayas et les autres instances de gouvernement locales.

            2. Le nouvellement créé CNED (Caisse Nationale d’Equipement pour le Développement) devrait jouer un rôle central pour que les priorités sectorielles des projets “majeurs” et que leurs standards techniques minimes soient respectés. Une base de données centrale des projets “majeurs” PCSC devrait être créée pour suivre et contrôler avec précision les évolutions.

            3. La modernisation de la gestion budgétaire devra s’accélérer.

            Le reclassement budgétaire économique devrait être complété, comme prévu, ainsi que la soumission au Parlement d’une nouvelle loi budgétaire constitutionnelle en 2007. Les CMDT sectoriels et les budgétisations basées sur la performance en préparation pour cinq ministères pilotes en 2006, devront être testés en 2007 avant leur généralisation à travers le reste du gouvernement central. L’informatisation du budget devra être prête en 2008 afin de l’introduire l’année suivante.

            La RDP cible aussi des défis clés dans d'autres secteurs :

            • Le secteur des transports et des travaux publics devra porter une plus grande attention à la maintenance des routes, surtout celles des wilayas et des communes. L’investissement ferroviaire devra être reconsidéré en tenant compte de l’analyse récente entre le rôle économique des transports ferroviaires et l’avantage comparatif dont les routes bénéficient dans plusieurs endroits. Les réformes institutionnelles devront assurer la coordination du travail entre les autorités de l’aviation civile et portuaire tout en mobilisant le financement privé. Des contrats basés sur les performances devront être utilisés ainsi que le redressement des coûts lorsqu’il est économiquement justifié.

            • Les priorités globales en terme d’éducation doivent être dirigées vers l’inspection des mécanismes de standards de référence afin de mieux suivre la qualité de l’éducation écolière ; d’accroître les dépenses par écolier en terme d’entrées pédagogiques ; de revoir les normes physiques de la construction d’écoles ; et de mieux cibler les subventions à l’éducation des familles les plus démunies.

            • Le système de santé Algérien devra finaliser la création d’une stratégie complète et sectorielle ; accroître le budget dédié aux besoins en santé primaires et secondaires ; renforcer le budget des ressources humaines dans les institutions de la santé, en particulier pour ceux en charge de l’investissement des projets et des technologies de l’information ; développer un nouveau système contractuel entre la sécurité sociale et les hôpitaux ; et réformer, d’urgence, la gestion de l’équipement médical et pharmaceutique.

            (Source : Banque mondiale)



            « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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            • #51
              En parlant de la mortalite des bebes...


              Service de pédiatrie de l’hôpital Parnet (Alger)
              Décés mystérieux de sept bébés

              Sept nouveau-nés sont décédés dans la nuit de lundi à mardi à l’hôpital Parnet à Alger, a-t-on appris hier d’une source sûre. Les causes de cet énième drame dans nos hôpitaux demeurent inconnues. L’information, qui s’est propagée telle une traînée de poudre, a laissé la ville en émoi.


              En l’absence d’informations officielles, plusieurs versions ont été données pour expliquer ce drame. On a appris d’une source que ce drame aurait été provoqué par une infection nosocomiale (un virus contracté dans un hôpital). Si l’on tient compte de l’état des hôpitaux, qui manquent de moyens de désinfection, une telle hypothèse reste plausible. Mais une autre source de l’hôpital a exclu cette hypothèse pour la simple raison que les bébés décédés se trouvaient dans des couveuses. Selon cette dernière, les sept bébés ne sont pas morts des mêmes causes. Ainsi, elle a expliqué que quatre d’entre eux sont des prématurés pesant 900 grammes chacun. Dans ce cas, le taux de mortalité est très élevé. Deux autres, des jumeaux, sont décédés d’une infection. Le septième (et le dernier) est mort des suites d’une maladie. Laquelle ? Cette source n’en dira pas plus. Le ministre de la Santé, Amar Tou, s’est rendu sur place. Et voilà qu’une commission d’enquête, composée d’experts en épidémiologie, en pédiatrie et en néonatologie, a été aussitôt installée afin de déterminer les véritables raisons de ce drame. Au-delà de la véracité des versions données, le fait est là : des bébés meurent encore une fois dans nos hôpitaux sans que l’on sache quelles sont les véritables causes du décès ? Nous nous sommes rendus sur les lieux en vue d’avoir des explications auprès de la direction de l’hôpital de Parnet. Mais celle-ci, usant d’un subterfuge bureaucratique, nous a exigée une autorisation du ministère de la Santé pour avoir des informations. Direction vers le ministère de Amar Tou. Une fois sur place, un agent nous a reçus et appelé le service de la communication. Réponse : il n’y a personne pour nous recevoir. Après notre insistance, l’agent (r) appellera la direction. Même réponse ! Aucun responsable n’est là pour délivrer cette fameuse autorisation ou à défaut nous informer sur ce qui s’est passé à l’hôpital Parnet. Comment expliquer qu’une telle catastrophe se produit dans un hôpital sans qu’il y ait une personne au ministère pour communiquer ? Pourquoi ce silence ? La population n’a-t-elle pas le droit d’être informée sur une affaire de grande sensibilité ? S’agit-il d’un drame résultant d’une quelconque négligence humaine ? Ou d’une grave défaillance ? Il est nécessaire cependant de rappeler qu’il ne s’agit pas d’une première dans le « registre noir » de nos hôpitaux. Un autre drame, encore plus grave, s’est produit à l’hôpital de Djelfa : 14 bébés ont péri à cause de défaillances patentes. Pour ce drame aussi, une commission d’enquête a été dépêchée. Quelques semaines plus tard, le ministre de la Santé d’alors, Mourad Rejimi, avait déclaré que « les décès de Djelfa étaient inévitables », se basant, bien entendu, sur le rapport d’expertise. Depuis, le décès des prématurés dans nos hôpitaux semble n’avoir rien d’anormal aux yeux des responsables.


              Par M. A. O.

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              • #52
                Les algériens se plaignent de l'hygiène dans les hôpitaux


                Selon une etude du secteur sanitaire d’El Harrach

                47% des médecins ne se lavent pas les mains avant un acte médical

                Source : L'Authentique
                Près de la moitié du personnel médical et paramédical en Algérie, soit 47%, ne se lavent pas les mains avant un acte médical.
                C’est ce qu’a révélé une étude, dont les résultats ont été rendus publics, hier, lors des premières journées organisées par le secteur sanitaire d’El-Harrach, consacrés à l’hygiène hospitalière, à laquelle plusieurs spécialistes, médecins et intervenants dans le secteur y ont pris part. Cette étude, qui a permis de lever le voile sue la situation inquiétante qui prévaut dans les hopitaux algériens en matière d’hygiène hospitalière, a amenéles spécialités à tirer la sonnette d’alarme pour attirer l’attention de l’ensemble des intervenants sur les risques énormes que peut engendrer ce manque de professionalisme et de laisser-aller, observé chez certains médecins et paramédicaux. En effet, les participants à ces premières journées médicales ont tenu à mettre en relief les conséquences graves qui peuvent résulter du manque d’hygiène dans les centres de soins et hôpitaux, notamment au niveau des blocs opératoires et certains services qui doivent être entièrement désinfectés pour éviter toute possiblité de contamination par des microbes ou des virus. D’ailleurs, plusieurs cas d’infection microbienne et nosocomiale ont été décelés dans nombre d’hôpitaux, comme c’était le cas pour les services de maternité de Kouba et d’Oran, il y a quelques années, ayant même provoqué le décès de plusieurs nouveau-nés. Les enquêtes menées à l’époque ont conclu à une contamination de ces services par des microbes. En dépit de cas scandales qui avaient seccoué toute la population et semé un vent de panique, notamment chez les malades et leurs familles, près de la moitié du personnel médical et paramédical persiste dans ces pratiques irresponsables. Conscient de cet état des lieux, le secteur sanitaire d’El Harrach avait lancé en 2004 un programme de formation au profit des femmes de ménage, des médecins et des paramédicaux sur l’hygiène en milieu hospitalier qui comprend les méthodes de désinfection des blocs opératoires et services, à même de garantir une propreté intacte et irréprochable.n outre, plusieurs autres mesures ont été appliquées pour les visiteurs, telles que l’interdiction de s’asseoir sur le lit du malade afin de limiter au maximum les risques de contamination ou encore de ramener de la nourriture, etc. Autant d’actions et d’efforts qui ont commencé à avoir de bons résultats, selon les responsables du secteur sanitaire d’El Harrach, d’où la nécessité d’impliquer tous les intervenants, les malades et les citoyens d’une manière générale, dans cette action de sensiblisation de l’hygiène dans les hopitaux et centres de santé.

                Faïza N

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                • #53
                  on parle de mortalité maternelle, et tu nous ramenes un audit du système de santé algérien. le voici

                  Bledard

                  ...................................

                  Pourquoi faire petit quand on peut faire grand.

                  Si tout le système sanitaire algérien est malade , il en va de même pour le secteur des maternités.

                  La mortalité infantile notamment est encore un fléau au Maroc mais les perspectives d'avenir sont encourageants pour la réduire et contrairement à toi je me réfère à des experts.

                  Mortalité infantile et santé maternelle: encore loin des objectifs

                  PARIS (AFP) — Moins d'un quart des 68 pays qui concentrent la quasi-totalité de la mortalité maternelle et infantile sont sur la voie d'atteindre les Objectifs du millénaire pour le développement dans ces domaines, selon la dernière livraison de l'hebdomadaire médical britannique The Lancet.
                  Le rapport 2008 du "Compte à rebours 2015" dresse un bilan à mi-parcours: "un progrès rapide est possible, mais bien davantage peut et doit être fait", notent ses auteurs.
                  Seulement 16 des 68 pays considérés progressent vers la diminution des deux-tiers de la mortalité des enfants de moins de 5 ans entre 1990 et 2015 (objectif 4), souligne de son côté Richard Horton, rédacteur en chef de l'hebdomadaire. Ce sont : Brésil, Bangladesh, Egypte, Mexique, Indonésie, Népal, Philippines, Bolivie, Erithrée, Guatemala, Laos, Pérou, Maroc, Chine, Haïti et Turkménistan.
                  Malgré des "succès notables", comme celui de la Chine, "le progrès depuis 2005 est décevant", estime-t-il.
                  La situation en Afrique reste particulièrement préoccupante: "au moins la moitié de la mortalité infantile et maternelle concerne l'Afrique sub-saharienne", souligne M. Horton.
                  Dans 12 pays de cette région, la situation s'est même aggravée (Botswana, Swaziland, Zimbabwe, Lesotho, Kenya, Congo, Guinée équatoriale, Afrique du Sud, Cameroun, Tchad, République centrafricaine et Zambie).
                  La mortalité maternelle reste élevée ou très élevée dans 56 des 68 pays. Les données manquent pour déterminer si les pays progressent dans l'amélioration de la santé maternelle (objectif 5).
                  Fondé en 2005, le "Compte à rebours 2015" est une collaboration entre institutions (dont l'OMS, l'Unicef ou la Fondation Bill et Melinda Gates), visant à établir un compte-rendu des objectifs atteints et relancer les efforts des pays concernés. La 2e conférence "Compte à rebours 2015" se tiendra au Cap (Afrique du Sud) du 17 au 19 avril.
                  Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a annoncé récemment l'organisation en septembre d'une réunion internationale visant à stimuler la mise en oeuvre des huit Objectifs du millénaire pour le développement, approuvés par les dirigeants du monde en 2000 pour réduire la pauvreté à l'horizon 2015.

                  Copyright © 2008 AFP

                  Commentaire


                  • #54
                    http://www.elwatan.com/Hopitaux-ou-lits-de-mort

                    Hôpitaux ou lits de mort ?
                    Les erreurs médicales se multiplient dans de nombreux établissements hospitaliers : Hôpitaux ou lits de mort ?

                    Négligence, fautes médicales, incompétence, prise en charge insuffisante... Pas un jour ne passe sans qu’un accouchement par césarienne ou une intervention chirurgicale ne tourne au drame dans les établissements publics ou privés.

                    Le manque de personnel médical et paramédical, les moyens matériels et l’organisation sont souvent évoqués par les gestionnaires et les médecins. De nombreux décès sont enregistrés ces dernières années, mais aucune statistique officielle n’est disponible au niveau des institutions sanitaires.

                    Les derniers cas en date : les deux dames décédées à l’hôpital de Ouargla après avoir inhalé par erreur du CO2 lors de leurs interventions chirurgicales.

                    Une jeune dame âgée de 30 ans décède trois jours après son accouchement par césarienne à la clinique Gharafa (ex-Durando) à Bab El Oued, le 14 janvier dernier ont laissé derrière elle deux filles, dont l’aînée est âgée de trois ans.

                    Cette victime vient s’ajouter à la longue liste qui ne cesse de s’allonger.

                    Les derniers épisodes malheureux survenus dans certains hôpitaux du pays dus à des dysfonctionnements dans ces structures, ces derniers temps, montrent que des cas de fautes médicales, de négligence et d’insuffisance de prise en charge se multiplient de plus en plus.

                    Le nombre de plaintes déposées auprès des instances médicales et judiciaires révèle l’ampleur du phénomène.

                    Selon le président du conseil de l’Ordre des médecins, près de 500 plaintes au niveau national ont été déposées par des familles de patients contre des médecins durant les trois dernières années, dont la plupart des victimes sont décédées ou portent des séquelles graves et handicapantes.

                    Le cas de cette jeune femme, issue du milieu médical, a marqué les esprits au sein de cette clinique.

                    Un établissement qu’elle a choisi, car recommandé par une amie au professeur chef de service de gynécologie obstétrique.

                    « Ils l’ont laissée partir sans rien faire », ne cesse de répéter son époux qui s’est présenté à notre rédaction. Abattu et désemparée, le père des deux fillettes n’arrive pas à croire que son épouse n’ait pas pu survire à une infection post-opératoire qui l’a foudroyée.

                    « Pourtant, elle était très courageuse et elle tenait beaucoup à cette grossesse », ajoute-t-il. Sans accabler quiconque, le mari estime que son épouse a été mal prise en charge, d’autant qu’elle se plaignait de douleurs intenses et d’un écoulement de sa césarienne.

                    « Les médecins sur place l’ont rassurée, mais le résultat est que ma femme est morte d’un choc septique.

                    Pourtant, nous n’avons pas cessé d’alerter les médecins », nous a-t-il résumé après avoir relaté sa mésaventure durant les trois jours d’hospitalisation de son épouse.

                    Les faits remontent au 11 janvier dernier, quand Mme N. S. est admise à la clinique après avoir été examinée par le Pr Chikh, chef de service à la clinique dans un cabinet privé à Bab El Oued, pas loin de la clinique Durando.

                    Il l’adresse à la clinique où elle subit une césarienne en urgence dans la soirée pour souffrance fœtale aiguë. Le lendemain, la défunte en réanimation se plaint de douleurs abdominales que les infirmières ont trouvé normales :

                    « Cela est dû aux gaz, nous a-t-on expliqué. Une transfusion sanguine était alors prévue, mais elle n’a pas été faite. »

                    Le 13 janvier, l’accouchée, qui a été transférée dans sa chambre, cela supposant donc qu’elle a émis ses gaz, se plaint toujours à sa famille de douleurs abdominales, ballonnements et écoulement d’un liquide de la plaie et d’un état de faiblesse.

                    L’époux s’inquiète et va voir l’infirmière qui lui répond que sa femme faisait « du chichi ». Son état ne s’améliore pas, puisque dans la soirée aux environs de 19 h, la défunte contacte son mari par téléphone et lui demande d’appeler son médecin traitant, le Pr Chikh, parce qu’elle souffrait de maux de tête intenses et de bouffées de chaleur.

                    Le mari appelle le professeur et lui fait part de l’état de santé de sa femme et de ses inquiétudes, le praticien lui répond que « l’accouchée ne souffrait de rien et elle est au même titre que toutes les autres malades et qu’en plus, il y a les médecins de garde ».

                    Selon l’époux, un médecin est passé l’examiner dans la soirée aux environs de 20h15.

                    Inquiets et non rassurés, l’époux et la maman de la victime décident de se rendre à la clinique pour s’enquérir de l’état de santé de N. S.

                    L’accès leur a été interdit. « La visite s’arrête à 15h », leur a-t-on signifié. La maman a dû supplier le gardien pour juste la laisser rentrer la voir.

                    Elle trouve sa fille très fatiguée et les douleurs abdominales n’ont pas cessé.

                    « Ses jambes étaient glacées », rapporte notre interlocuteur. « Dans la même nuit, aux environs de 4 h du matin, la malade a eu un malaise en se rendant aux toilettes et ses appels à l’aide sont restés vains.
                    C’est la dame avec qui elle partageait la chambre qui est venue, d’après mon épouse à son aide, pour la ramener dans son lit, sans aller aux toilettes », a-t-il ajouté .

                    Le jour fatidique, c’est-à-dire le 14 janvier, la défunte appelle son mari à 7h du matin pour lui demander des effets vestimentaires, des draps et une couette, parce qu’elle baignait dans un liquide.

                    Arrivée sur les lieux, le même scénario avec le gardien qui finit par autoriser la maman à accéder.

                    A sa surprise, elle trouve sa fille dans un état déplorable. Les jambes bleues et glacées, elle grelottait de froid.

                    La maman alerte le personnel médical et la malade est transférée en réanimation où elle était mise sous perfusion et respiration assistée, en attendant l’arrivée du Pr Chikh.

                    Elle sera par la suite admise au bloc opératoire pour intubation.

                    D’où elle sortira décédée au moment où je suis parti chercher une place en réanimation au niveau du CHU de Bab El Oued », dira-t-il la gorge nouée.

                    Sur l’acte du décès, il est mentionné mort naturelle en l’imputant à un choc septique provoqué par une infection bactérienne. S’agit-il d’une infection nosocomiale ?

                    D’un mauvais suivi de la malade ?

                    D’une prise en charge insuffisante de la défunte ?

                    Ou tout simplement d’une négligence ?

                    Autant de questions méritent d’être posées, mais l’énigme reste encore totale. Interrogée à ce propos, la directrice de l’établissement, Mme Boubekeur, écarte toute cause liée à une contamination par un germe dans le bloc opératoire.

                    Elle affirme que dans la même journée, d’autres patientes ont été césarisées avant et après elle et aucun problème n’a été posé.

                    « Elle est même montée toute seule de la réanimation à sa chambre.

                    Elle se portait très bien. Le personnel médical a fait de son mieux pour cette malade », a-t-elle souligné.

                    « Nous aurions souhaité que la famille demande une autopsie pour savoir réellement ce qui s’est passé », a-t-elle ajouté. Un acte que l’époux n’a pas souhaité demander :

                    « Je ne veux pas que mon épouse, même décédée, endure d’autres souffrances. La raison a été bien signifiée.

                    Pour moi, il y a eu négligence. »

                    De son côté, le chirurgien de garde, qui a opéré la défunte, certifie que les conditions chirurgicales et l’asepsie ont été respectées :

                    « Elle avait bien coopéré. Nous avons discuté et l’intervention s’est très bien déroulée.

                    Des césariennes ont été effectuées quelques heures avant et après la sienne, nous n’avons eu aucun problème.

                    C’est inexplicable », nous a confié le chirurgien.

                    Quant au professeur, chef de service, le Pr Chikh, le risque d’une contamination au niveau du bloc et à partir du matériel n’est pas à écarter.

                    C’est d’ailleurs l’explication qu’il avait donnée à la famille de la défunte. « Elle a été opérée dans de bonnes conditions et prise en charge correctement et un traitement aux antibiotiques lui a été administré.

                    Elle a très bien évolué après l’intervention. Effectivement, il y avait un suintement au niveau de la plaie, mais le pansement a été changé. Elle m’avait même appelé en me disant qu’elle se portait bien.

                    Les médecins de garde se sont bien occupés d’elle et n’ont pas constaté une urgence pour que je vienne la voir, jusqu’au moment où on la transférée aux soins intensifs, suite à un choc septique.

                    Nous avons fait le maximum pour la sauver. Elle souffrait d’une infection à germe très résistant aux antibiotiques.

                    Il se peut aussi qu’elle ait fait une embolie pulmonaire, une complication post-opératoire », a-t-il souligné.

                    De l’avis d’un des experts gynécologues obstétriques, le décès ne peut être imputé qu’à une infection post-opératoire immédiate.

                    Ce qui entraîne une septicémie, donc un choc septique. « Cela peut arriver, en raison de la mauvaise stérilisation du matériel chirurgical.

                    Mais devant les multiples plaintes de la patiente, certains gestes sont systématiques, surtout lorsqu’il s’agit d’une post-opérée.

                    Après une échographie pour écarter l’existence de corps étranger dans l’abdomen, la prise de température, un prélèvement sanguin sont indiqués.

                    Un seul antibiotique ne suffit pas. Devant ce cas de figure, il faut bombarder avec du Flagyl, qui ne provoque pas d’allergie », a-t-il précisé en soulignant que le risque zéro n’existe pas, à condition que les médecins fassent leur travail.

                    La famille ne compte pas baisser les bras. Des plaintes seront déposées auprès des instances concernées.

                    Par Djamila Kourta
                    Dernière modification par ayoub7, 03 avril 2009, 23h29.

                    Commentaire


                    • #55
                      et aprés tu relis le classement de la mortalité maternelle.

                      tu verras le nombre de pays qui de dépassent.


                      Bledard


                      Je ne crois pas que ça soit pire que ce qui suit .

                      Mortalité maternelle, périnatale et néonatale : 30 000 cas par an en Algerie:
                      Le rapport qui fait peur !


                      En Algérie, la mortalité maternelle, périnatale et néonatale enregistre 30 000 décès par an se plaçant devant les autres causes de décès telles que le cancer et les accidents de la circulation. 700 femmes décèdent annuellement. Quant à la prise en charge du nouveau-né, elle est défaillante selon les spécialistes qui affirment que 52 % des services de pédiatrie n’ont pas de couveuses et que 50 % de ces services fonctionnent uniquement avec des médecins généralistes:


                      Samedi 4 Aout 2007 -- Le binôme mère/nouveau-né constitue une population à risque par sa mortalité élevée et par l’impact des mesures préventives et les principaux facteurs de risque de morbidité et de mortalité qui restent les mêmes pour la mère et l’enfant. La grossesse et l’accouchement s’accompagnent de graves risques pour la santé, même pour les femmes n’ayant pas de problèmes de santé antérieurs. Environ 40 % de femmes enceintes connaissent des problèmes de santé imputables à la grossesse et 15 % souffrent de complications permanentes ou dont la vie est menacée.

                      Les chiffres restent loin de la réalité car les taux officiels de mortalité périnatale ne sont pas publiés par l’état civil. La mortinatalité figure sur les registres de l’état civil alors que la mortalité néonatale (précoce ou tardive) touche la tranche d’âge 0-1 an. Malgré les nombreuses lacunes relevées dans l’enregistrement et la déclaration des décès, on retiendra que le taux de mortalité maternelle est de 96,2 % pour 1 000 naissances vivantes. Quelque 700 femmes décèdent chaque année suite à des complications survenues lors de la grossesse ou l’accouchement. Pour chacun de ces décès, 30 à 100 femmes sont victimes d’affections aiguës, douloureuses entraînant souvent des handicaps permanents.

                      Par ailleurs, le taux de mortinatalité est de 25 % pour 1 000 naissances vivantes soit 15 000 décès par an et celui de mortalité néonatale précoce de l’ordre de 20 % pour 1 000 naissances vivantes, soit 12 000 décès par an. Le taux de mortalité périnatale est de 45 % pour 1 000 naissances (27 000 décès par an) alors que la mortalité néonatale s’élève à 25 % pour 1 000 naissances vivantes (15 000 décès par an). Il faut savoir également que la prématurité représente 10 à 12 % des naissances. Ainsi que pour chaque 4 enfants qui décèdent avant l’âge d’un an, 3 sont nouveaux-nés.

                      Pour ce qui est de mortalité maternelle, dans les statistiques sanitaires, les décès maternels ne sont recensés qu’au niveau du lieu d’accouchement et dans les services où la mère a été évacuée. Les décès qui surviennent à domicile ne sont pas exploitables. D’une manière générale, les spécialistes affirment que les décès surviennent dans 55 % des cas au niveau de l’hôpital, des structures de santé et dans le tiers des cas au niveau des CHU. Plus de la moitié des femmes décédées ont été évacuées vers ces établissements et parmi elles 57,3 % proviennent des maternités publiques. Près de la moitié des évacuations sont faites durant les heures de garde et le un quart des motifs d’évacuation concerne l’hémorragie génitale, la rupture utérine, le syndrome vasculo- rénal.

                      La moitié des décès surviennent souvent dans les 24 heures qui suivent l’accouchement et la majorité des décès sont survenus dans les 42 jours suivant l’accouchement. Les morts maternelles survenues durant la grossesse sont essentiellement en rapport avec les complications de l’hypertension artérielle puisqu’elles sont en cause, à elles seules, du tiers des décès. Les autres facteurs sont liés aux cardiopathies (25,5 %) et aux maladies infectieuses (9,2 %). Les décès lors de l’accouchement sont essentiellement dus à des dystocies (38 %), ruptures utérines comprises et dans une mesure moindre aux anomalies du placenta (12,7 %) et de l’hémorragie de la délivrance (11,3 %). Après l’accouchement, les premières causes de décès sont les hémorragies génitales (19,6 %), les septicémies puerpérales (17,6 %) et l’hypertension artérielle gravidique (13,4 %).

                      Les morts périnatales et néonatales résultent principalement de grossesses non ou mal suivies et de l’accouchement pratiqué dans de mauvaises conditions. Cependant, il est admis qu’actuellement nos centres de santé à vocation particulière PMI ne jouent pas encore un rôle important dans la surveillance des grossesses. Les activités sont réalisées de façon routinière. “La mort du fœtus au moment du travail est vécu dans l’indifférence dans beaucoup de nos maternités.” Quant à la prise en charge des nouveaux-nés vivants, les problèmes se posent à plusieurs niveaux. Il y a d’abord les salles de travail qui ne disposent pas de matériel indispensable à la réanimation néonatale.

                      Aussi, le personnel de la salle de travail est mal préparé et à cela s’ajoute l’absence de collaboration obstétrico- pédiatrique efficace. Sur un autre volet, le transfert des nouveaux-nés de la salle de travail en unité de soins se fait dans des conditions déplorables favorisant l’hypothermie et l’infection. En maternité, les activités préventives tendent à gagner du terrain mais en salles de soins l’activité est à l’état embryonnaire et tout reste à faire. Très peu de structures sont à même de pouvoir prendre en charge un nouveau-né malade et dans de bonnes conditions. 52 % des services de pédiatrie n’ont pas de couveuses et plus de 50 % fonctionnent avec des médecins généralistes et 25 % n’ont pas de lits de néonatalogie.
                      Dernière modification par chicha51, 03 avril 2009, 23h45.

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                      • #56
                        Allez Bledard , un dernier pour la route



                        Samedi 1er septembre 2007 -- Une femme enceinte présentant des saignements s’est vu refuser lundi dernier un examen en urgence au service de gynécologie-obstétrique de l’hôpital Mustapha.

                        « Après avoir constaté l’écoulement de sang, je me suis présentée au service de gynécologie-obstétrique pour subir un examen en urgence », témoigne la femme qui s’est présentée à notre rédaction, en ajoutant : « A ma grande stupéfaction, le maître-assistant me demande si je ne connais pas un médecin privé pour aller me soigner chez lui. ». Le médecin de garde a ajouté, sans aucun état d’âme, qu’il n’y avait plus de places dans le service, et qu’il y a un risque de contracter une hépatite B. La dame, sous un soleil de plomb, a dû aller chercher à Alger un médecin privé pour qu’elle soit examinée. Cette femme, qui travaille au service des urgences du CHU Mustapha, juge indécente l’attitude de ce médecin, et crie à la négligence et non-assistance à personne en danger. Elle se demande ce qu’aurait été son sort si son cas était grave. La direction du CHU Mustapha est plus que jamais interpellée.

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                        • #57
                          Posts / 51, 52, 53 , 54 , 55, 56 ……..y aura d autre série ...

                          avec ayoub et chicha vont discourir encore ces chiffres des posts sur l accouchement en Algérie à l infini pour détourner le vrai thème du débat /Topic : Maroc: Les accouchement désormais gratuits dans les hôpitaux publics.
                          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                          Commentaire


                          • #58
                            Maroc: Les accouchement désormais gratuits dans les hôpitaux publics.
                            J'avoue n'avoir pas lu toutes les interventions, parceque déjà au regard du titre, cela m'a un peut rebuter. Parceque je n'ai jamais vue une femme payer pour accoucher. J'ai toujours vue les femmes accouchées seuls, je veux dire à la maison et l'on appeller une personne agées pour l'aider à extirper l'enfants. Par la suite j'ai vue des femmes se faire payer pour aller accoucher, pas à la sortie du bébé, mais plus tard avec une espece de prime.
                            .
                            .

                            Commentaire


                            • #59
                              Posts / 51, 52, 53 , 54 , 55, 56 ……..y aura d autre série ...

                              avec ayoub et chicha vont discourir encore ces chiffres des posts sur l accouchement en Algérie à l infini pour détourner le vrai thème du débat /Topic : Maroc: Les accouchement désormais gratuits dans les hôpitaux publics.


                              Houari

                              ....................................

                              Tout cela est parti du post 2 où un certain "Suisse" avait voulu faire l'intéressant avec la réflexion suivante:

                              C'est bien !!! Pas trop tôt, mais c'est bien !( Jawzia)

                              On lui a ouvert les yeux( ainsi que ceux de Bledard) sur la situation calamiteuse de son pays en ce qui concerne les hôpitaux publics algériens et sur leur supposée "gratuité".

                              Maintenant si on peut discuter des tares des hôpitaux marocains ( qui sont réelles) sans arrière-pensées , ni flagorneries marhaba sinon il y aura toujours des "dakir ina dikra tanfa3ou al jahiline bi oumiri biladihim"

                              Commentaire


                              • #60
                                Chicha ayoub

                                c'est ce genre d'hopitaux gratuits qui vous allez faire?

                                ou alors ca va être encore pour les riches et 100000 dh?


                                http://www.youtube.com/watch?v=TJZM1pWUWyo
                                « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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