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Liberté de presse au Maroc: Tout reste à faire

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  • #31
    Enoncer que la liberté de la presse existe dans un quelconque pays du Maghreb est tout simplement indécent !
    Certes. Mais comme c'est un long cheminement, il n'est point indécent de regarder ce qu'indique la "borne kilométrique" pour les uns et accessoirement pour les autres. ça permet de mesurer ce qui a été parcouru et surtout ce qui reste à accomplir !
    Dernière modification par jawzia, 08 mai 2010, 21h35.

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    • #32
      j ai beau googlé walou a part des articles de blogs ou de journaux etrangers :
      Général Toufik(l'homme des ténèbres): le vrai big boss de Algérie!
      Le président Bouteflika est assuré d'être réélu le 9 avril pour un troisième mandat. Mais, depuis dix ans, il est loin d'être seul à tenir le pays. Qui l'appuie, quels sont ses réseaux, quel rôle joue sa famille? L'Express a enquêté.

      C'est un scrutin sans suspense : Abdelaziz Bouteflika sera réélu, le 9 avril, président de l'Algérie. Ainsi en sont convenus, une fois encore, ceux que les Algériens appellent les "décideurs", poignée de hauts gradés qui gravitent autour du tout-puissant patron des services de renseignement, le général Mohamed Mediene, dit "Toufik".


      Le chef de l'Etat a obtenu leur feu vert il y a plusieurs mois déjà, lorsqu'ils l'ont autorisé à faire voter par le Parlement un amendement à la Constitution mettant fin à la limitation du nombre de mandats présidentiels. Le texte a été adopté le 12 novembre 2008 par les élus des deux chambres.

      Depuis ce jour, Bouteflika sait qu'il restera à son poste aussi longtemps que Dieu lui prêtera vie. Résultat : aucun des ténors de la classe politique n'a souhaité endosser le rôle du challenger.

      Jusqu'ici, il a plutôt bien rempli la mission qui lui a été confiée

      Pourquoi les "décideurs" ont-ils choisi d'adouber Abdelaziz Bouteflika pour un troisième mandat, en dépit de son âge - 72 ans - et de sa santé défaillante ? Parce qu'il leur aurait, comme on le murmure, confié qu'il souhaitait mourir au pouvoir ? Faute de candidat de rechange ? Il y a peut-être un peu de tout cela. Mais la raison principale est ailleurs : le chef de l'Etat, de leur point de vue, a plutôt bien rempli, jusqu'ici, la mission qui lui a été confiée.

      Pour comprendre, il faut remonter une dizaine d'années en arrière. A l'époque, en 1999, la "sale guerre" contre les islamistes bat son plein, le pays est déchiré et l'image de l'armée est tellement dégradée que certains de ses chefs craignent de faire l'objet de poursuites judiciaires à l'étranger. Ils sont à la recherche d'une personnalité ayant de l'entregent, capable, une fois portée à la tête de l'Etat, d'allumer un contre-feu diplomatique et de faire en sorte que l'Algérie redevienne "fréquentable".

      Deux hommes, de ceux qui pèsent au sein du sérail, vont se faire les avocats d'Abdelaziz Bouteflika, charismatique ministre des Affaires étrangères des années Boumediene : le très influent général à la retraite Larbi Belkheir, "parrain" de Toufik - le chef des services lui doit en partie sa carrière - et Abdelkader Koudjeti, un personnage de l'ombre, homme d'affaires et marchand d'armes. Toufik et les siens se laissent assez rapidement convaincre.

      Engagé à 19 ans dans l'Armée de libération nationale, Bouteflika fait partie de la "famille". Pendant près de vingt ans, il a été le patron incontesté de la diplomatie algérienne, avant d'être écarté sans ménagements du pouvoir après le décès, en décembre 1978, du président Houari Boumediene.
      Abdelaziz Bouteflika haranguant la foule lors d'un meeting électoral à Alger, le 6 avril 2009.



      express.fr
      "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

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      • #33
        bachi

        la presse marocaine n'est pas libre a l'instar de sa soeur algerienne!
        je ne dis pas le contraire contrairement a jawzia
        "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

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        • #34
          Allez, le 1er du premier coup de googlage...
          Il est du Qutotidien d'Algérie. Le Matin-dz doit en avoir des tonnes

          Algérie: La lutte des clans fait rage….
          Quotidien d'Algérie--


          Le président Bouteflika a décidé de rouvrir, ou plutôt d’ouvrir, le dossier de certains assassinats politiques, et peut être même celui du carnage des populations par des groupes islamiques…Créés par les généraux « janvièristes ».

          C’est, comme le sait tout un chacun, l’arme fatale qu’il a utilisée pour convaincre les généraux de l’adouber à un deuxième mandat, lorsque ceux-ci, ou du moins les plus influents d’entre eux, avaient décidé d’ »élire » Ali Benflis.

          Il leur avait promis, à ce moment, de mettre en œuvre un dispositif légal qui les absoudrait totalement des crimes contre l’humanité qu’ils avaient commis, et qu’il ferait en sorte que ce soit le peuple souverain lui même qui effacerait l’ardoise. On dit même que pour les convaincre de le désigner à la tête du pays, plutôt que Benflis, Bouteflika s’était arrangé pour qu’ils sachent qu’il disposait d’un dossier accablant sur eux, qui prouvait indéniablement le rôle actif qu’ils avaient joué dans la création de groupes terroristes, dans le carnage des populations, dans la confection des fetwas qui appelaient au meurtre, et même dans leur collaboration active avec des services occidentaux et israélien, dans l’utilisation du terrorisme international.

          Le deal fut donc rondement mené, puisque la Charte sur la réconciliation nationale, et les lois y afferant, rendent illégales toute poursuite, voire même toute investigation, serait-elle universitaire, sur le rôle des « agents honorables » de l’Etat qui ont sauvé la République et bla bla bla…

          Bouteflika et les généraux s’étaient donc entendus sur le dos des Algériens, pour se soustraire les uns les autres à toute poursuite devant les juridictions pénales internationales. Du moins le croient-ils. Et ils ont ouvert une nouvelle ère, toute de prospérité et de partage, où les milliards de dollars pleuvaient sur les uns et les autres, copains comme cochons. Chakib Khalil avait mis à la disposition de Bouteflika une sorte de casssette personnelle, dont les fonds proviennent de Sonatrach, et plus particulièrement des mouvements de fonds internationaux sur les ventes des hydrocarbures. C »est avec cet argent, qu’il distribuait sans compter, que Bouteflika avait réussi à rallier à son clan personnel la plupart des généraux, qu’il arrosait en dizaines de millions de dollars. Les lignes de crédit qui étaient allouées à leurs parentèles, et à leurs clientèles, procédaient des mêmes visées. Bouteflika avait réussi à capter les dispositifs de la rente, et agissait comme un souverain de droit divin. Le cas de l’évacuation du général de corps d’armée, Mohamed Lamari, en dit long sur la puissance « financière » de ce Président qui se faisait Monarque, et qui se comportait comme tel.

          Entretemps, par contamination naturelle, tous ceux qui gravitaient autour du cercle présidentiel se mirent à puiser à pleins paniers de l’argent public qui leur était confié. Ce fut une gabegie inimaginable, illimitée, effrénée. Une compétition à qui prendrait le plus.

          Puis vint le viol de la Constitution et un troisième mandat pour le Président-Roi. Les déprédations continuaient à aller leur train habituel. Marchés gré à gré en violation de la reglementation, grosses, très grosses commissions, « droits » d’entrée en sous main exigés des opérateurs étrangers, gros marchés raflés sous des prête-nom, et autres combines à fabriquer des millions de dollars, allaient tellement se généraliser dans le sérail que cela en devint flagrant.

          Et puis, soudainement, voilà que des enquêtes du DRS sont diligentées contre des barons du régime, qui sont très proches du Clan présidentiel. La presse » indépendante » affilié à ce clan tenta de noyer le poisson,en affirmant que c’est le président lui même qui avait « ordonné » au DRS de mener ces investigations. Mais la ficelle ne tarda pas à être éventée.

          Nous découvrons aujourd’hui que le DRS n’a pas été sollicité par le Président Bouteflika. Bien au contraire, puisque ce sont les « hommes » du président qui sont ciblés. Même Saïd Bouteflika, le frère du président, et son dauphin presque attitré, serait sur la ligne de mire, nous dit-on. Et c’est cette éventualité qui a fait sortir le loup du bois, puisque Bouteflika menace aujourd’hui de faire enquêter sur les crimes des généraux, et même de désigner une commmission « indépendante ».

          Bouteflika se sert donc de la tragédie algérienne pour se prémunir, et protéger son clan. Nos morts, nos torturés, nos disparus, notre argent volé, et toutes les indicibles atrocités que l’on a fait endurer à nos compatriotes sont donc une matière à chantage. Notre quatre quarts de Président les éclipsé lorsque on le laisse piller le pays, l’offrir en pâture à ses clientèles et à ses parentèles, et il menace de les réactiver lorsqu’on leur demande comptes. Curieuse disposition de l’esprit pour un homme qui dit vouloir réconcilier les Algériens, et leur construire un Etat de droit.

          Mais, au délà de toute cette immense forfaiture, qui illustre, de toute façon, la vraie nature de ce régime, des questions lancinantes nous taraudent l’esprit. Est-ce bien le général Toufik Mediène, patron du DRS, qui est derrière ces enquêtes ? Et si oui, pourquoi ?

          Est-il mû par un besoin de rétablir un équilibre qui avait penché du côté du Président Bouteflika ? Ce Casus belli est-il le fait de généraux du DRS qui ont fait pression sur le Général Toufik, pour récupérer des espaces décisionnels dans la distribution de la rente?

          Est-ce que cette guerre ouverte est survenue à la suite de la volonté de Saïd Bouteflika de créer un parti politique, pour se préparer une voie royale à la succession de son frère, initiative que les généraux du DRS ont refusée ?

          Ou bien, comme le suggère une information qui circule, le Général Toufik a-t-il été pris de remords, devant une telle incurie ? On raconte, en effet, et cela reste une rumeur incontrôlée, que le général Toufik, qui sait tout sur le pillage des richesses nationales, et même des connivences de certains barons du régime avec des lobbies américains, aurait décidé de prendre les choses en main, et de nettoyer les écuries d’Augias. Il aurait, dit-on, réussi à convaincre les généraux les plus importants du DRS d’en finir avec le clan Bouteflika, en l’attaquant sur son flanc le plus vulnérable, la corruption.

          Cette version est très interessante et pourrait représenter un espoir de renouveau, si elle se confirme, et si elle n’est pas elle même une opération d’intox. Mais, question cruciale s’il en est, et peut être même naïve, existe-t-il des généraux intègres au DRS ?

          D.Benchenouf

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          • #35
            je ne dis pas le contraire contrairement a jawzia
            Jawzia n'est pas fou pour dire que la presse d'Algérie est libre...

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            • #36
              Vous parlez des généraux algériens comme s'ils étaient des saints intouchables. En Algérie on ose même parler du puissant DRS et son patron Toufik. Je peux vous citer un banal article du 2001.

              PATRON DE LA PUISSANTE DRS DEPUIS 1990
              Le général Toufik serait partant
              S. Ghazi, El Watan, 23 avril 2001
              Le conflit latent qui oppose le président Bouteflika à certains cercles des décideurs (c’est comme cela qu’on les appelle) au niveau de l’institution militaire est un secret de Polichinelle.
              Comme l’est d’ailleurs «l’intronisation» de l’ex-ministre des Affaires étrangères sous Boumediène à la plus haute responsabilité du pays, par ces mêmes cercles qui pensaient, au lendemain de la démission de Liamine Zeroual, avoir trouvé l’homme idoine pour diriger l’Algérie... en attendant mieux. Abdelaziz Bouteflika aura beau affirmer que son investiture a été le résultat d’une «élection populaire libre et démocratique», cette thèse n’a pas pour autant échappé au phénomène de la suspicion pour s’installer dans les esprits de l’opinion publique comme une fatalité du système qui cache mal les apparences. En un mot, tout le monde sait que c’est l’Armée qui a ramené Bouteflika au pouvoir, même si ce dernier n’hésite pas à dire le contraire pour conserver intacte sa crédibilité tant sur le plan national qu’international.
              Un retour fulgurant donc aux affaires pour un homme frappé d’une disgrâce qui aura duré une vingtaine d’années et sanctionnée par un long exil à l’étranger, mais qui, pour les décideurs, en matière de choix stratégique, s’avéra deux ans après une véritable catastrophe. Bien que restée comme impression réservée de l’institution militaire, mais néanmoins de plus en plus partagée, l’option Bouteflika sous le parrainage de la grande muette a suscité parfois des critiques très acerbes et des débats intenses au sein même de l‘institution où le sujet ne pouvait plus être évité ni occulté. C’est à ce titre qu’à ceux qui ont influé de tout leur poids sur le cours des événements et par là même réussi à imposer le retour de Bouteflika sur la scène politique, il est fait le reproche d’avoir fait fausse route et donc d’assumer, aujourd’hui, d’une certaine manière, leur responsabilité devant l’échec d’une gestion présidentielle par un homme grisé par son ambition personnelle. Parmi les hommes en uniforme qui ont joué un rôle-clé, dans le rappel de Bouteflika, le général-major Mediène, dit «Toufik», est certainement celui qui est le plus cité. «Il a pris une part active et essentielle dans le choix de l’actuel président», dit-on, et dans cette optique, c’est vers lui que sont retournés les reproches de ses pairs, renouvelés à chaque fois que Bouteflika ajoute une mauvaise note dans sa manière très particulière de diriger le pays. On laisse entendre que le mécontentement soulevé par le pouvoir personnel de Bouteflika au sein de l’Armée a même pris les allures de mini-crises parfois, et engendré des climats de tension épisodiques qui donnent ainsi l’occasion de «fulminer» contre le ou les principaux responsables de cette réhabilitation d’un homme avec lequel l’institution militaire a toutes les difficultés à s’adapter. Les griefs qui sont faits au président étant connus, c’est donc sur les erreurs commises quant à la fiabilité de l’option politique qu’on s’est concentré, et là il est évident que le duo Toufik-Lamari aura été soumis à une pression parfois insoutenable. Du moins, c’est ce qui se dit à propos des implications de «l’effet Bouteflika» sur la grande muette, laquelle cependant continue de ne tolérer aucunement à ce dernier de franchir les lignes rouges qu’elle lui a tracées.
              si on peut tromper beaucoup de monde quelque temps, ou tromper peu de monde longtemps, on ne peut tromper tout le monde tout le temps

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              • #37
                Jawzia n'est pas fou pour dire que la presse d'Algérie est libre...
                Laisse "filer" Bachi. Les mots ont leurs valeurs (les subtilités encore plus) et pour qu'ils puissent les soupeser .... on attendra les "rattrapages".

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                • #38
                  Une autre question...

                  L'effet de la presse. Dans les pays démocratiques, la presse est un vrai contre pouvoir. Elle peut faire et défaire les gouvernements. Par chez nous, qu'en est-il ?
                  En Algérie, c'est zéro effet...
                  Au Maroc, ca me semble, de loin, avoir plus d'effet.

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                  • #39
                    y en a tout plein. Google un peu...
                    Qui parle de médiene ? peu de journaux algériens
                    Qui le critique ou dénonce la main mise sur tous les affaires de l'algérien : aucun journal
                    Qui parle de l'enrichissement et de la fortune des généraux?? : aucun journal
                    Qui va à l'encontre des théses du pouvoir algérien concernant les relations avec le Maroc en général ,de l'affaire du sahara ou des frontières algéro-marocaines?? aucun

                    Les lignes rouges en algérie, ça existe partout dans toutes les strates mais on les maquille pour qu'on les ne voit pas

                    Mais personne n'est dupe

                    Commentaire


                    • #40
                      le quotidiend'algerie .org est ce un site basé a l'etranger?
                      "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

                      Commentaire


                      • #41
                        Deux grosses lignes rouges au moins au Maroc: la sacro sainte sacralité du roi ( et de sa famille?) et la prétendue intégrité territoriale ( être du côté imposé sur le conflit du SO)
                        En voici des dommages frontaux et/ou co-latéraux

                        http://www.algerie-dz.com/forums/sho...28&postcount=1

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                        • #42
                          Kaiser...
                          Je n'ai vraiment aucune idée. Peut-être que tu as raison...
                          Mais tu as El watan, Matin Dz qui écrit sur Toufik à profusion...

                          Commentaire


                          • #43
                            PATRON DE LA PUISSANTE DRS DEPUIS 1990
                            Le général Toufik serait partant...
                            je ne vois aucune critique dans cet article on en parle à peine du role des décideurs

                            Commentaire


                            • #44
                              Qui parle de médiene ? peu de journaux algériens
                              Qui le critique ou dénonce la main mise sur tous les affaires de l'algérien : aucun journal
                              Qui parle de l'enrichissement et de la fortune des généraux?? : aucun journal
                              Qui va à l'encontre des théses du pouvoir algérien concernant les relations avec le Maroc en général ,de l'affaire du sahara ou des frontières algéro-marocaines?? aucun

                              Les lignes rouges en algérie, ça existe partout dans toutes les strates mais on les maquille pour qu'on les ne voit pas

                              Mais personne n'est dupe
                              Attention Houlakou , bientot , on va te dire que critiquer nos dirigeants est un sport national en algérie , et tu sera obligé de les croire , sur simple parole .

                              et puis arréte de poser des questions , tu n'aura pas de réponse ....



                              le général-major Mediène, dit «Toufik», est certainement celui qui est le plus cité. «Il a pris une part active et essentielle dans le choix de l’actuel président», dit-on,

                              wooooaw , du journalisme de haut niveau , c'est avec des articles comme ca que Nixon a demissioné , et que Clinton a faillit etre destitué .....

                              chui impressionné.
                              " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

                              Commentaire


                              • #45
                                Mais tu as El watan, Matin Dz qui écrit sur Toufik à profusion...
                                elles en parle mais pas à profusion
                                mais jamis aucune critique ou dénonciation ....ligne rouge oblige

                                Commentaire

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