Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Trois suspects arrêtés au Maroc après l'attentat de Marrakech

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #46
    Laissez le. Ils croient que les Français ont fait les recherches au Maroc dans les différentes villes, qu'ils ont parlé à leurs relais habituels (Moqqadem, gardiens, citoyens..) puis qu'ils sont allés les chercher à SAFI.

    Commentaire


    • #47
      HOUARI

      Les criminel on été aretté a safi apparemment les françaix eux été a marrakech au café argana il ne connaissent pas l'environement marocain comme les services marocains la connaissent

      OUBLIEZ HOUARI RAH MRID MESKIN QASSOU MRID LGHIRA

      Commentaire


      • #48
        @rodmaroc

        le porte parole du Maroc qui parle ( Alain Juppé ) , donc c est les français qui mène l enquête .( les français ont raison de mener l enquête au Maroc la majorité des morts sont des Français )

        **On semble avoir identifié deux suspects possibles», avait déclaré M. Juppé. «Je ne peux donner aucune indication sur la question des suspects pour le bon déroulement de l'enquête, qui est en cours, et qui avance dans de bonnes conditions»,
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

        Commentaire


        • #49
          Il y a juste un seul pays qui ne veut pas coopérer. Devine lequel ?
          @slougi
          Faut le dire carrément : l Algerie
          *Eh bien l attentat a eu lieu le jours ou l Algérie discute sur le crime organisé dans la région : Réunion d EM/ Mixte ( Mali/Mauritanie / Niger /Algerie ) , laisse deviner pas de chose coté marocain

          **Ainsi Medelci etait aux USA au sujet du terrorisme international et du terrorisme dans la region maghrebine et le Sahel

          **Aussi Meldeci sera à la réunion du G8 pour discuter au sujet de la drogue qui envahit le bassin méditerranéen

          Aller devine ce que vaut l Algérie dans la scène internationale !
          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

          Commentaire


          • #50
            Tiens un petit extrait d'un article de Tel Quel à ce sujet :

            Exclusif. Voyage au cœur des services secrets


            La DGST, la DGED et les autres
            Au Maroc, ce n’est un secret pour personne, le renseignement est un métier qui a toujours été en pleine expansion. Dans le monde arabe et africain, le royaume fait partie des pays "développés" en la matière, et son expertise est d’ailleurs régulièrement sollicitée par les pays amis. Ce n’est pas un hasard mais un choix, celui de Hassan II qui décida, dès les années 60, de doter les services, tous les services, de moyens d’action (matériel, équipements, budgets) conséquents. Le secteur a encore gagné en puissance depuis le coup d’état de 1972 où le roi revêtit la tunique de chef suprême des armées, créa la DGST et la DGED, et centralisa une fois pour toutes les collectes de renseignements, d’où qu’ils viennent. La philosophie hassanienne est toujours appliquée aujourd’hui, même si les hommes ont changé et si les départements-clé ont subi un sérieux relifting.

            Si le roi est le réceptacle final de tous les renseignements, il lui arrive aussi de solliciter un département ou un autre d’une manière directe, sans respecter forcément la hiérarchie théorique. Comme on l’explique aujourd’hui encore dans l’entourage royal, "il s’agit là d’une manière de garder le contrôle sur tout le monde, et d’empêcher le monopole du renseignement par une même personne". Quatre noms se disputent aujourd’hui le devant de la scène, en matière de renseignement : Fouad Ali El Himma, Hamidou Laânigri, Yassine Mansouri et Ahmed Harari. Ces hommes sont à peu près, et malgré leurs titres très éloignés les uns des autres, constamment sur les mêmes dossiers. Mais ils ne sont pas les seuls. Le renseignement version gendarmerie, forces auxiliaires ou armée, leur échappent en bonne partie. D’où la fluctuation de la "bourse des valeurs" qui peut changer du tout au tout selon les rapports établis par les uns ou les autres, et le degré d’écoute dont bénéficie tel département au détriment de tel autre. Sur ce plan au moins, et comme nous l’ont confirmé plusieurs sources fiables, le changement intervenu à la tête de la DGED (Mansouri à la place de Harchi), les réaménagements qui touchent à l’Intérieur, à la DGSN et à leurs multiples filiales, ne changeront pas grand-chose à la donne : l’évolution du renseignement tient d’abord du conjoncturel, lié aux dossiers les plus chauds du moment. Comme aux états-Unis, le terrorisme a obligé le Maroc à faire face à une nécessité vitale : celle de coordonner un tant soit peu les activités des deux grands services dédiés respectivement à l’intérieur et à l’extérieur du royaume. Si Bush a créé un nouveau département pour coiffer à la fois le FBI et la CIA, Mohammed VI a renforcé le statut de Laânigri et remplacé Harchi par Mansouri. La coordination se fera d’une manière informelle, au plus près du Palais royal.

            à la DGST, comme à la DGED, l’actualité du jour est à l’assainissement interne. Ce mot d’ordre n’est pas une vaine expression. Des mouvements d’hommes ont été effectués et d’autres devraient suivre. Même Ahmed Harari, homme de Laânigri, n’est pas assuré de garder, longtemps encore, les rênes de la DGST. à la gendarmerie, à l’armée, les "services", en plus de leur mission classique de traquer le renseignement "national", s’occupent surtout, et de plus en plus, d'assainir leurs propres troupes. Les gendarmes qui nous surveillent sont surveillés par d’autres gendarmes, et les militaires du cinquième bureau (celui du renseignement interne) sont aussi bien équipés, sinon plus, que ceux du deuxième bureau. à ne pas négliger, en dehors de ces circuits, le rôle des services des forces auxiliaires, surtout utiles aux frontières terrestres, et celui des RG et des moqaddems, habituels ratisseurs de terrain tous azimuts et traqueurs de renseignements en vrac.

            Priorité absolue au terrorisme
            De son temps, et du fait de la paranoïa ambiante, Hassan II avait tenu à cloisonner et à verrouiller tous les services de renseignements, pour s’épargner les risques d’un nouveau coup d’état. En dehors des services existants, le roi se servait d’autres réseaux plus informels. Il faisait constamment appel au chef de sa protection rapprochée, Mohamed Médiouri devenu, dans les faits, un patron de renseignements-bis, mais aussi à son chambellan, devenu le filtre d’un autre genre de renseignements : les intrigues propres aux fonctionnement des différents palais. La tactique était peut-être discutable mais elle a porté ses fruits. Jamais plus, depuis 1972, le Maroc ne s’est réveillé sur l’annonce d’un coup d’état… L’obsession du défunt roi pour le renseignement le poussait jusqu’à recevoir tous les patrons des grands services étrangers et à installer avec eux des relations personnelles nourries. Sur ce plan, même si la finalité du renseignement reste la même (la sécurité), les manières semblent évoluer. Mohammed VI n’est pas Hassan II, El Himma n’est pas Basri, Laânigri n’est pas Oufkir et Mansouri n’est pas Dlimi. Le royaume a changé son fusil d’épaule ; il ne combat plus des blanquistes, mais des terroristes réels ou potentiels, infiltrés à l’intérieur comme à l’extérieur du territoire. Sa sécurité, et le travail de renseignement qui l’assoit, concernent aussi ses voisins du nord comme du sud (Europe, états-Unis, monde arabe) aux yeux desquels il représente un enjeu réel.

            Même s’ils ne sont pas les seuls, les services de la DGED et de la DGST représentent la vitrine du renseignement marocain. Leurs performances n’intéressent pas que le seul Maroc, mais aussi ses partenaires en Europe (Espagne et France notamment) et aux états-Unis. Après l’arrivée du général Harchi, le 30 juillet 2001, qui a suivi de près l’intronisation de Mohammed VI, les activités de la DGED ont été pratiquement mises en veilleuse. En trois ans, et selon des confidences recueillies ici et là, la DGED va perdre cette capacité de produire des analyses politiques, sécuritaires et stratégiques à partir des informations recueillies grâce à un réseau impressionnant d’"honorables correspondants". Le général Harchi qui a dirigé notamment les opérations "Ouhoud" au Sahara en 1976-77 avait été choisi par le général Dlimi pour le seconder à la DGED, où il a aidé à mettre en place le fameux "Service Action", qui est l’équivalent d’un commando opérant loin des frontières marocaines. Les trois années que le général Harchi a passées à la tête de la DGED ont été déterminantes pour le pousser vers la porte. Homme discret par nature, Harchi s’est vu reprocher, à mesure que les mois défilaient, la gestion de l’affaire de l’islamiste Qamareddine Kherbane (un des fondateurs du FIS algérien, expulsé du Maroc en septembre 2001, alors que son visa d’entrée était parfaitement légal) et le contrôle des réseaux islamistes en Europe et en Afghanistan. Des carences dont a largement profité un autre général, Hamidou Laânigri, nommé à la tête de la DST dès octobre 1999. Pour rappel, Laânigri a travaillé sous les ordres de Harchi en pilotant notamment la direction du contre-espionnage au courant des années 80, avant de finir par s’approprier pratiquement les prérogatives de la DGED, n’hésitant pas à piétiner les plates-bandes de ce service d’espionnage en s’acoquinant étroitement avec les services américains. On le verra ainsi gérer le dossier du terrorisme à partir de Témara, traiter l’affaire des Marocains afghans à Kaboul, suivre à la trace le prince Moulay Hicham ou encore prendre en charge le dossier des Sahraouis contestataires. Même s’il ne dirige plus directement la DGST, Laânigri reste le véritable patron du renseignement intérieur dont il surveille les services de près (une première pour un directeur de la Sûreté nationale).

            Au sein de l’armée, le renseignement, comme on l’a vu, est du ressort de deux départements : le deuxième et le cinquième bureaux. Le premier est piloté par le colonel major Hamdane qui a gagné ses galons au cours de la première guerre du Golfe, le second est dirigé par le général Belbachir. En matière de coordination entre militaires et civils, il arrive qu’un "comité interarmée du renseignement" réunisse les chefs des deuxième et cinquième bureaux militaires, de la gendarmerie, et des représentants de la DGED. Le renseignement militaire en temps de paix comprend à la fois le renseignement de documentation (exemple : base de données sur une armée étrangère), le renseignement de situation et le renseignement de sécurité sur la protection des FAR contre toutes les intrusions venant de l’extérieur. C’est pour cela qu’après le vol des armes dans la caserne de Taza par un militaire proche des salafistes, en 2003, le cinquième bureau a mis sur pied une cellule chargée du suivi d’éventuels courants islamistes à l’intérieur même de l’armée…



            Commentaire


            • #51
              tout le monde sait que ce sont les français qui ont mener l’enquête avec une rapidité exemplaire ,Alain juppé avait vendu la mèche .

              Commentaire


              • #52
                @houari16 et biskra


                alors ma preuve elle est où ??
                même question à biskra !! des preuuuuuuuuuuuuve !!

                pas de preuves ! vos avis valent que dalle !!

                Commentaire


                • #53
                  Et puis au cas où ça ne suffit pas :


                  Écoutes téléphoniques. Les grandes oreilles de la monarchie

                  Les services du monde entier s’appuient sur les écoutes téléphoniques comme élément-clé pour le renseignement et l’anticipation sur les événements. Les Marocains sont des orfèvres en la matière. Comment font-ils? Où? Que font-ils des flots de renseignements qui échouent quotidiennement dans leurs grandes oreilles?


                  Témara. La forêt est dense, l’accès particulièrement difficile. à l’intérieur, un département hautement secret, le "centre radioélectrique". Là, les opérateurs du service d'espionnage de la DGST, ou plus précisément de la Police des communications radioélectriques, surveillent quotidiennement des milliers de discussions téléphoniques, d'e-mails, de fichiers ou de fax. C'est le site principal des "grandes oreilles" de la monarchie.

                  Avec plus ou moins de bonheur, des dizaines de faisceaux captés sur les satellites sont, chaque jour, visités par les paraboles de la DGST.
                  Dans de grandes salles, des techniciens estampillés "secret défense" travaillent en harmonie. Ils s’affairent autour d’un matériel dernier cri (amplificateurs, démodulateurs, analyseurs, déchiffreurs...) qui transforment les faisceaux des satellites en fax, e-mails, fichiers ou voix. Leur principal objectif : déchiffrer les communications cryptées, une tâche de plus en plus ardue à mesure que les nouvelles technologies avancent.
                  Les opérateurs, eux, ont les yeux rivés sur les consoles des ordinateurs. Ils vérifient le tri automatique du trafic. Seulement quelques centaines, parfois beaucoup moins, de communications interceptées remontent, chaque jour, au cabinet du patron des espions.

                  Les autres, la grande majorité, sont jetées dans une poubelle informatique. La sélection s'effectue grâce à un dictionnaire électronique de mots-clés.
                  Ce sont les numéros de téléphone et les emails que la DGST entend surveiller en permanence. Ambassades, ministères, organisations internationales, ONG, multinationales... En plus des personnalités aux postes sensibles, des opposants politiques, des journalistes, il y en a plusieurs milliers, de tous pays, dans les ordinateurs des "grandes oreilles". Quand une adresse ou un nom reconnus apparaissent dans le faisceau d'un satellite espionné, la communication est automatiquement enregistrée.

                  En effet, avec les mots-clés, on filtre le flux de données. Dès que l'un de ces mots magiques (Mohammed VI, armes, drogue… etc) apparaît, l'ordinateur fait un retour pour enregistrer la communication depuis le début. Les spécialistes appellent cela la "veille".
                  Après le tri, l'écoute proprement dite. à la DGST, quelques dizaines de personnes passent la journée à traiter quotidiennement moins d’une centaine de conversations. Les écoutes qui paraissent revêtir une certaine importance sont remises au directeur de la DGST, Ahmed Harari, lequel répercute l’information au patron de la DGSN Hamidou Laânigri, qui en fait de même avec son supérieur supposé, Fouad Ali El Himma. Mais de toute cette masse d'informations qui rassemble très souvent du commérage pur et simple, très peu d’informations secrètes sont jugées dignes de remonter jusqu'au roi.

                  Sur un autre plan, et comme le Maroc est lié par des accords de coopération avec des services étrangers comme la CIA, il arrive très souvent que l’information recueillie à Témara remonte jusqu’à Washington. De toutes les façons, les Marocains n’ont guère le choix, les moyens dont dispose la National security agency (NSA) sont proprement phénoménaux. Les "grandes oreilles américaines" emploient 200.000 personnes qui opérent quotidiennement dans 1.000 stations d’écoute éparpillées dans le monde. Un formidable quadrillage espionne les émissions radio, les GSM, les fax, les communications des services de police, de gendarmerie, les chefs d’état, etc. Au même moment, la NSA peut identifier par un système de reconnaissance vocale 100.000 voix de personnes répertoriées. Qui sait, peut-être bien que, au final, l’une de ces millions de communications écoutées ici ou ailleurs, retombera, un jour, sur vous, ou votre voisin…
                  En rien n'interdit à la DGST d'intercepter vos conversations ou vos e-mails, pour peu que ceux-ci passent par un satellite. Pire encore, cet espionnage, qui fait appel à la complaisance des opérateurs téléphoniques, est implicitement autorisé par la fameuse loi contre le terrorisme de 2003 qui a institué les écoutes, devancée en cela par le code de procédure pénale qui a été adopté le 14 juin 2001. Le texte, élaboré en grande partie par la Direction des affaires criminelles du ministère de la Justice, a donné, sans surprise, une liberté de manœuvre accrue au parquet.

                  Les articles 40 et 49 du projet donnent toute latitude "au Parquet pour agir à travers les écoutes téléphoniques, l'interception des correspondances via les divers moyens de communication". Alors que le secret des correspondances était jusqu’alors garanti par l’article 11 de la Constitution

                  Commentaire


                  • #54
                    On parle de la DST marocaine si tu ne sais pas que ça existe.

                    Slougui

                    Laisse le Ghaffale , il est toujours à coté de la plaque notre ami Houari

                    Commentaire


                    • #55
                      @SLOUGI
                      com/48
                      Oui ! dans le règne de HII , qui menait le Maroc par une main d acier ,

                      * Pas comme aujourd'hui 'hui ou l argent et les affaires qui priment ..acctuellement le royaume sa survie grace aux assistances dans tous les domaines
                      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                      Commentaire


                      • #56
                        @SLOUGI
                        com/48
                        Oui ! dans le règne de HII , qui menait le Maroc par une main d acier ,

                        Houar
                        i

                        ....................................

                        On perd jamais la main .

                        Hier c'était contre les opposants à Hassan II , aujourd'hui c'est contre les terroristes et les mercenaires d'Alger.

                        Il suffit de s'adapter...et cela est aujourd'hui perçu par tout le monde car la traque est devenue sélective et non plus aveugle comme par le passé.

                        De temps en temps , branche toi sur d'autres infos au lieu de focaliser sur le Maroc..

                        Commentaire


                        • #57
                          SLOUGI NOUS SORT DES ARTICLE DE LA SÉCURITÉ LA MAROCAINE ?
                          MAIS FRANCHEMENT TU ES SAIN D'ESPRIT ?CE N'EST PAS LA CIA..

                          AVOIR UNE BELLE AGENCE DE SECURITE CA COUTE ? et le Maroc n'a pas les moyens ce sont les français qui ont fait l’enquête a votre place ou le Mossad ?
                          Dernière modification par biskra, 06 mai 2011, 02h06.

                          Commentaire


                          • #58
                            @soussi82
                            On semble avoir identifié deux suspects possibles», avait déclaré M. Juppé.
                            @soussi82
                            est ce que tu peux lui répondre de quel droit qu il parle au nom de l etat marocain ?
                            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                            Commentaire


                            • #59
                              L'enquête pour retrouver les responsables de l'attentat de Marrakech, qui a tué 16 personnes dont 8 Français le 28 avril, progresse apparemment. Alors que le chef de la diplomatie française, Alain Juppé, avait indiqué que la France disposait d'informations selon lesquelles deux éventuels suspects auraient été identifiés au Maroc, l'agence officielle marocaine MAP, citant le ministère marocain de l'Intérieur, a affirmé jeudi soir que trois Marocains avaient été arrêtés dans le cadre de l'enquête. Leur chef est "fidèle" à Al-Qaïda, selon l'agence.

                              "Parmi ces trois personnes se trouve le principal exécutant. Elles sont liées à Al Qaïda", a par ailleurs déclaré Khalid Naciri, porte-parole du gouvernement, interrogé sur BFM TV. Prié de dire s'il s'agissait d'Al Qaïda au Maghreb islamique, il a dit ne pas être en mesure de le confirmer.
                              Ces trois suspects ont été arrêtés jeudi après-midi à Safi (350 km au sud de Casablanca), selon une source sécuritaire, qui a affirmé qu'ils avaient des "antécédents", et étaient connus pour avoir participé au recrutement de combattants pour l'Irak.
                              Accueil TF1
                              Dernière modification par biskra, 06 mai 2011, 02h13.

                              Commentaire


                              • #60
                                ouf pas de dz dans cette sale affaire !

                                Samarkand


                                .............................

                                Ils sont trop occupés en Algérie et son sahel!!

                                A moins qu'ils ne viennent de là , qui sait ?

                                L'enquête n'en est qu'au début ....

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X