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Hassan II Aurait-il Trahi La Révolution Algérienne?

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  • #61
    dans cette histoire je suis plus mesure...

    la traitrise il faut la chercher en 63...


    le cinema ben bella -hashachine dos pour stopper le maquis kabyle


    bon supposition faible ..mais le doute est permis
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #62
      la traitrise il faut la chercher en 63...
      .

      L histoire maghrebine dit long !!!

      Le grand Maroc est clair et net d ou l attaque marocaine lâche en 63 ( par le Roi HII )

      Ce Machin conspiré en 1958

      Le discours de Mhamid El Ghislaine fait foi ( en 1958 )

      Feu Mohammed V évoque solennellement :

      *ce “Maroc historique qui va de Tanger à St Louis du Sénégal et à Tombouctou incluant le Sahara espagnol et une partie du Sahara algérien”.

      LA RÉPONSE DE LA MAURITANIE ( Ould Daddah ):

      je dis non au Maroc ! Mauritaniens nous étions, Mauritaniens nous sommes, Mauritaniens nous resterons”.
      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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      • #63
        Notez la date du 22 octobre 1956 relatée par la journaliste à Aït-Ahmed.

        L'Année 1956 est charnière pour la révolution algérienne et qui démontrera qu'elle allait réussir...contre toutes attentes! ( "1956: Budapest-Suez-Alger; aux dires d'historiens avertis).

        S'agissant du Maroc, il est regrettable que celui-ci ait acquis sa pseudo indépendance le 2 mars 1956 à Aix-les-Bains.

        L'écrasement de l'insurrection hongroise par le Pacte de Varsovie s'est produit du 23 octobre au10 novembre 1956.

        Quant à "l'aventure" anglo-française contre l'Egypte (crise du canal de Suez) elle s'est produite le 6 novembre 1956.

        C'est-à-dire que ces événements majeurs s'étaient produits quelques mois après l'accession du Maroc au statut néocolonialiste de l'indépendance dans l'interdépendance faisant du Maroc un satellite français.

        (à Suivre).

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        • #64
          C'est-à-dire que ces événements majeurs s'étaient produits quelques mois après l'accession du Maroc au statut néocolonialiste de l'indépendance dans l'interdépendance faisant du Maroc un satellite français.
          .

          Maroc "" Lyautisé ""avant l octroi d une soit disant ""indépendance "" ??


          Le Maroc est un pur produit français

          la traitrise du pays voisin qui est le Maroc , le FLN algérien avait déclenché la guerre de libération pour libérer tous les pays du Maghreb mais les rois et les opportunistes marocains avaient préféré obtenir l’indépendance à Ex-Les –Bains ( Indépendance dans l interdépendance post-protectorat ) et laissaient l’Algérie affronter seul la France. Les marocain avaient signé alors le pacte de leur servitude éternelle.

          Le Maroc va rester sous le post-protectorat français jusqu’à la fin du monde :
          *sous tutelle française , une maitresse qu' elle doit défendre ???

          *Si la France ne soutenait pas le Maroc , le peuple sahraoui serait déjà libre
          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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          • #65
            Certes qu'il y a de se taire en accusations face à Aït-Ahmed en ces instants douloureux de son décès. La pudeur, en l'occurrence, s'impose.

            Mais on pourra pas non plus faire silence aux incapacités du trio cairois (Ben Bella, Khider, Aït-Ahmed), incapacité démontrée au reste lors du Congrès de la Soummam ponctuant à dévouer le futur algérien à "l'intérieur" et plus à l'extérieur", à savoir le trio BKA (Ben Bella-Khider-Aït-Ahmed).

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            • #66
              Ce que dit Hocine Aït Ahmed du congrès de la Soummam et de Abane Ramdane

              HuffPost Algérie | Par K.Selim

              Quelle est l'importance du congrès de la Soummam dans le cheminement de la guerre de libération ? Quid du rôle de Abane Ramdane? Dans cet entretien réalisé en novembre 2002 par K.Selim dans un contexte de vives polémiques en Algérie avec des accusations, choquantes, de trahison, Hocine Aït Ahmed, élève le débat. Un entretien passionnant qui clarifie les enjeux politiques et de mémoires pour les jeunes algériens. Et pour les moins jeunes aussi.
              Que fut réellement le congrès de la Soummam, un renforcement de la révolution ou une déviation ?

              Hocine Aït Ahmed: Le fait de poser cette question près de quarante ans après la tenue de ce congrès me paraît sidérant. Autant soulever la même question sur le rôle du 1er Novembre 1954, au moment même où l'Algérie vient d'en célébrer le 40ème anniversaire.

              Soyons clairs : je ne me suis jamais considéré comme un "historique". J'en ai assez souvent martelé les raisons pour ne pas avoir à les ressasser aujourd'hui.

              Permettez-moi de les résumer en une seule phrase: la guerre de libération n'est en aucune façon réductible à un appareil, à un parti, encore moins à un homme, un complot, où une coterie, quels que soient par ailleurs les rôles des uns et des autres assumés dans des périodes et des étapes données.

              Pas plus que je ne suis spécialiste d'étiologie, terme barbare pour dire philosophie politique. Je vous livre donc un témoignage plus existentiel que théorique.

              En tant que militant de terrain, je m'interroge d'abord sur le sens des évènements que recouvrent les mots. Ces deux tournants politiques ne sont pas des météorites tombées du ciel. Leur restituer leur signification et leur portée exige le rappel – faute d'analyse - des causes et des enchaînements politiques qui les ont créés.

              Le déclenchement de la lutte armée en Algérie, le 1er Novembre 1954, a été, bien sûr, déterminé par la radicalisation des combats patriotiques en Tunisie et au Maroc.

              Le rêve d'un soulèvement maghrébin généralisé était à nos portes. Mais l'annonce de la lutte armée en Algérie est fondamentalement la résultante de la poussée populaire en travail depuis les répressions coloniales sanglantes de mai 1945.

              N'oublions jamais les dynamiques sociales profondes dont les personnalités et les partis ne sont souvent que la face visible de l'iceberg nationaliste.
              C'est vrai que les formations politiques ou religieuse, le PPA-MTLD, l'UDMA, le PCA, les Oulémas, s'étaient coupées des masses, tellement leurs stratégies "légalistes" leur paraissaient dérisoires et sans issue.

              C'est elles qui, de surcroît, en payaient les notes douloureuses, notamment à chacun des "scrutins" grossièrement truqués sous le règne de Naegelen. La formule "élections à l'algérienne" était devenue proverbiale en France même à la moindre anicroche touchant le suffrage universel. Formule ô combien ! Prémonitoire.

              Ce jeu de toboggan piégé et savonné qui ramenait toujours au point de départ avait fini par excéder nos compatriotes: "Ne nous appelez ni à l'abstention ni à la participation électorale ! Donnez-nous des armes !": ce message nous parvenait de partout. C'est à ce message qu'a finalement répondu l'appel du 1er Novembre.

              Pouvons-nous conclure que les dirigeants politiques de l'étape précédente avaient trahi ?

              Pas d'anathèmes ! Accuser à tout bout de champ de trahison, c'est ce genre de retours destructifs au passé qu'il faut éviter. Il y a des mots qui tuent, surtout dans un pays où la vie et l'opinion des gens continuent de perdre de leurs valeurs.

              Le sens de la responsabilité doit inciter à la sérénité et à la prudence quand il s'agit de porter des jugements d'ordre politique. Sauf à ravaler ses propres agressions verbales, lorsque les formations en question deviendront parties prenantes à ces premières assises constitutives du FLN.

              Le sens capital de cet événement réside dans la nature politique et contractuelle d'une stratégie de libération nationale élaborée par le congrès de la Soummam.

              De toute évidence, ce pacte national n'aurait pas pu avoir lieu sans le formidable électrochoc psychologique et politique provoqué par les actions entreprises le 1er Novembre 1954, amplifiées par Saout El-Arab et par la panique qui avait gagné les autorités coloniales.

              Certes, les insuffisances militaires du déclenchement de "La Révolution" s'expliquaient par les improvisations qui ont présidé à son organisation. En prenant, en 1951, la décision de dissoudre l'OS, de démanteler son dispositif et son encadrement, les dirigeants du PPA-MTLD avaient commis une grave faute politique.
              L'absence d'une stratégie politique qui devait accompagner la proclamation du 1er Novembre sur le terrain risquait de couper les groupes armés de la population. Du reste, les stratèges de la guerre coloniale ne tarderont pas à exploiter ce vide politique.
              Quand le gouverneur général Soustelle - jusqu'au-boutiste de l'Algérie française - prendra la mesure de remettre en liberté quelques dirigeants politiques algériens qui avaient été arrêtés, au lendemain de la Toussaint, son intention stratégique était d'engager les nationalistes modérés à remplir le vide politique afin de retarder ou de prévenir la généralisation de la dissidence armée.

              Apparemment, il a été pris de court par Abane Ramdane !

              H.A.A.: Tout à fait. Dès son retour au pays, Abane Ramdane, qui venait de purger des années de prison dans le nord de la France, prit contact avec Ouamrane en Kabylie (Ndlr: responsable de la willaya 4, il se réfugia dans la willaya 3 après avoir dirigé des attaques armées dans la région de Blida pour s'informer).

              Ayant longtemps assumé des responsabilités, d'abord au sein de l'organisation clandestine du PPA, et ensuite à la tête de l'OS pour la région de Sétif, Ramdane était un véritable animal politique et un organisateur expérimenté.

              ait ahmed

              Il n'avait pas besoin de son intuition de mathématicien pour, en premier lieu, identifier le sens du problème prioritaire et urgent: l'absence de vision et de stratégie politiques, et, en deuxième lieu, pour mettre en place les structures cohérentes destinées à soutenir la dynamique populaire.
              Sans perdre de temps, il se rendit alors au domicile de Rebbah Lakhdar, à Belcourt (Sidi M'hammed). Qui ne connaissait ce personnage hors du commun ? Certes, il était militant chevronné du PPA, mais il était respecté et aimé, y compris par les adversaires politiques, et ce n'est pas peu dire.

              Car, il avait cet art naturel d'un entregent exceptionnel, fait de gentillesse, d'ouverture d'esprit et d'une serviabilité doublée d'humilité. Petit commerçant dynamique, il connaissait l'ensemble de la classe politique algérienne ainsi que les personnalités religieuses et du monde des affaires.

              (Cet homme avait toujours refusé d'assumer des responsabilités publiques. Sauf une fois: contraint et forcé par ses dirigeants, il se porta candidat aux élections à l'Assemblée algérienne d'avril 1948, à Sour El-Ghozlane, sa circonscription d'origine.

              Son tort fut d'être l'enfant du pays idolâtré, puisque c'est là que le coup de force électoral, sous le règne de Naegelen, prit une tournure dramatique avec des "électeurs assassinés à Aumale" et Deschmya. Et ainsi un béni-oui-oui d'une crasse politique fut proclamé représentant du peuple).

              Abane ne pouvait donc pas trouver un intermédiaire plus crédible. De but en blanc, il s'adressa en ces termes à Rebbah: "Je veux rencontrer toutes les personnalités qui comptent dans notre société".

              Pendant des semaines, il squatta l'appartement pour y recevoir ses nombreux interlocuteurs: dirigeants centralistes du PPA-MTLD, de l'UDMA, du PCA, des Oulémas, Aïssat Idir, le futur chef de l'UGTA, Moufdi Zakaria, l'éternel poète symbole d'un Mzab fidèle à lui-même et à l'Algérie, qui sera l'auteur de l'hymne national de notre pays.

              Sans compter quelques figures de la bourgeoisie en formation pour l'aide financière, nerf de la guerre. L'impact de ces contacts est immense dans la perspective de la mobilisation de toutes les catégories sociales.

              Au niveau politique et à la suite de multiples rencontres, Ramdane réussit à arracher aux délégués attitrés qu'ils procèdent à la dissolution de leurs formations politiques respectives et qu'à titre individuel, leurs militants s'intègrent dans le processus de création du FLN en vue de soutenir l'ALN dans tous les domaines.

              Les dirigeants principaux de l'Association des Oulémas se rallieront aussi à cette perspective de rassemblement national. Il restait à transformer l'essai, c'est-à-dire à organiser le Congrès constitutif du FLN.

              C'était une véritable gageure. OU, QUAND et COMMENT. Mission quasi-impossible ? Où se réunir en pleine guerre, mais dans des conditions de sécurité absolues ?

              Quand se réunir et dans l'urgence absolue, l'hystérie des répressions coloniales risquant d'étouffer et de réduire les foyers de résistance armée, et comment acheminer les délégués et surtout les états-majors des willayas, étant donné le redoutable quadrillage du territoire par les forces et les opérations de guerre ?

              Force est de constater que ce quasi-miracle s'est réalisé. Grâce à la réflexion et au savoir-faire du tandem Ben M'hidi Larbi-Abane Ramdane, aux officiers de l'ALN, à celles et ceux qui ont participé aux commissions préparatoires des assises de cet événement, et aussi à ce mur de vigilance patriotique des villageois qui étaient mobilisés par le sens de l'honneur, sans même savoir la nature de l'événement attendu.
              En ce qui concerne les résultats des travaux, je vous renvoie aux textes publiés par nos historiens honnêtes. En résumé, pour la première fois, le FLN se donne une plate-forme politique; on peut en discuter les lacunes et les insuffisances. Mais, une première également, les structures de l'ALN et du FLN ont été précisées.

              Les professions de foi ne sont pas définies seulement par des idéaux mais par la stratégie de mise en application. En effet, juger comme si les moyens ne sont pas partie intégrante d'un programme relève de l'ignorance délibérée ou de la dissimulation. Ce qui explique que le principe de la primauté du politique sur le militaire avait une portée et garde, jusqu'à nos jours, une validité incontestable.
              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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              • #67
                Des historiques se sont opposés au congrès de la Soummam ?

                Quelques historiques se sont effectivement opposés au congrès de la Soummam. Un congrès antagoniste avait même été prévu, soutenu par Nasser et Bourguiba, qui avait notamment mis la "Garde nationale" à la disposition des tenants de la contestation.

                Une crise extrêmement plus grave que celle qui avait opposé Centralistes et Messalistes par congrès rivaux interposés. Imaginez les engrenages de tueries opposant des hommes, voire des régions ou des wilayas en armes: c'était la guerre fratricide se substituant à la guerre de libération.

                J'étais le seul à la prison de la Santé à reconnaître les décisions du congrès de la Soummam. Pour toutes les raisons indiquées, et surtout en raison du consensus national qui y fut esquissé et qui pouvait servir de support international à la constitution d'un gouvernement provisoire.

                J'avais transmis au CCE - la nouvelle direction élue par le Congrès -, par l'intermédiaire du sénateur Ahmed Boumendjel, notre avocat, un message écrit dans lequel je soulignais l'absurdité d'un conflit de souveraineté, alors que le pouvoir colonial continuait à en être le vrai détenteur au regard de la communauté internationale. Et que je tenais à leur disposition un rapport concernant la constitution urgente d'un gouvernement provisoire.

                hocine ai ahmed

                Une initiative qui, non seulement pouvait transcender les blocages résultant des luttes de clans et de personnes, mais qui devait principalement créer la dynamique diplomatique et médiatique indispensable à une solution négociée avec la puissance coloniale.

                Quant aux prolongements sur la situation actuelle, que dire sinon que l'Algérie n'en serait pas là, exsangue et dévastée, si Abane n'avait pas été assassiné par les siens et si Ben M'hidi n'avait pas été exécuté par les autres. En d'autres termes, si le principe du primat du politique sur le militaire avait été respecté.

                Le congrès de la Soummam donne lieu à des lectures idéologiques contradictoires...

                Aucune autre lecture idéologique ou partisane ne pouvait être faite de ce congrès. La plate-forme de la Soummam a été, je le répète, le premier pacte politique contractuel, donc fondé sur le respect du pluralisme et non pas sur un consensus populiste. Sauf qu'on n'empêchera pas les racontars d'aujourd'hui – à l'exemple des racontars d'hier - de tenter d'asservir l'histoire à des fins de légitimation et de propagande.
                Vous avez connu Abane Ramdane. Pouvez-vous nous parler de l'individu, de l'homme qu'il fut ?

                J'ai connu Ramdane au cours de cet été 1945, le plus chaud et le plus surréaliste. Il venait de Châteaudun - Chelghoum Laïd - où il travaillait comme secrétaire dans l'administration. Il était profondément marqué, malgré sa froideur apparente, par les répressions et la chasse à "l'arabe" qu'il avait vécues de très près.

                Je préfère vous parler de l'homme avant de vous donner quelques repères sur son itinéraire. Quelques semaines avant de passer l'examen du baccalauréat 2ème partie au lycée de Blida, il avait sollicité de l'administration d'être dispensé des heures de gymnastique pour mieux se préparer aux examens, car, en plus au lieu de choisir entre le bac philo et le bac mathématiques, il tenait à se présenter aux deux examens.

                La dispense lui ayant été refusée, il se mit en colère et alla se briser le bras contre un rempart de fer ou de marbre. Ce qui ne l'empêcha pas de bouder les exercices physiques pour mieux se préparer et réussir brillamment le double examen.

                Autre anecdote sans commentaire: arrêté par la PRG, alors qu'il était le responsable de l'OS dans la région de Sétif, il n'avait pas fait le moindre aveu malgré toutes les formes de torture utilisées pour le faire parler.

                Combien de fois il fut transféré d'une prison à une autre, à force de faire des grèves de la faim ou d'inciter les droits communs à l'agitation ou à la violence. Pour se débarrasser de Abane, les services pénitenciers d'Algérie durent l'envoyer en relégation dans le nord de la France. Quel tempérament !

                Son identité, c'est ce qu'il a fait de lui-même dans les pires épreuves. Ceci dit, qui n'a pas de défaut ? Il était autoritaire et jacobin. Son franc-parler le desservait terriblement. Par contre, il savait aussi écouter et exécuter les décisions prises démocratiquement.
                Quels commentaires vous inspire notre rapport à l'histoire ?

                Pour les Algériens informés, le 20 Août 1956 est inséparable du 1er Novembre 54. Et par-dessus les déclarations officielles, par-dessus les rituels aussi insipides qu'hypocrites, ces deux dates de notre passé suscitent chaque année un engouement de plus en plus réconfortant au sein de notre jeunesse et de ses élites locales et régionales.

                Et cela, en dépit du délabrement planifié de la mémoire historique et peut-être à cause de ce délabrement. Chez ces exclus, cette avidité naturelle ressemble fort à une volonté de réintégration et d'enracinement profond dans le présent et l'avenir de leur nation.

                Ce ne sont pas les retours en arrière, à la recherche nostalgique de faits glorieux, qui les intéressent. Ils attendent de l'histoire, en tant que discipline, qu'elle leur livre des leçons et des enseignements. Leur rêve est de participer pleinement et efficacement à l'histoire comme dynamique populaire qui se construit dans les luttes quotidiennes pour une vie de liberté, de dignité et de justice pour tous et toutes.
                The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                Commentaire


                • #68
                  Mounir,

                  encore tu mens tout les moyens sont bon pour dire le mal sur le voisin??? pourtant da ait ahmed allah irahmou !!!dit le contraire et tu le sais très tres bien
                  Et pourtant Ben Bella (AY) affirme que Hassan 2 les a trahi:

                  http://www.dailymotion.com/video/x9f...ous-a-ven_news
                  My will is strong,it's my won't that is weak.

                  Commentaire


                  • #69
                    S'il l'a fait moi je lui dit Bravo d'avoir trahi les futur traitres du Maroc et du peuple algeriens

                    Commentaire


                    • #70
                      "Que fut réellement le congrès de la Soummam, un renforcement de la révolution ou une déviation ? "

                      Votre interrogation ne concerne que les Algériens. Certes que le Congrès de la Soumman avait élaboré la conclusion de l'utopie à la consécration d'un futur Etat agérien le plus moderne au monde et l'octroi de la primauté à "l'intérieur" face à "l'extérieur".

                      Mais le peuple avait-il l'instruction d'accéder à la théorie factice de Ramdanme Abane? Il s'agit d'une question bien évidemment.

                      Toutefois, très vite des distancions se sont apparus entre Abane (l'intellectuel) et Krim Belkacem ( homme de terrain), vecteur unique du combat d'indépendance.

                      C'est aussi là dans ce genre de désarroi que le peuple algérien se doit prendre position sereine entre l'inanimé de Abane et Krim.

                      Commentaire


                      • #71
                        alors vous voulez me dire que c'est glorieux révolutionnaires sont allé quémander chez un monarque?

                        Commentaire


                        • #72
                          posté par asam16

                          S'il l'a fait moi je lui dit Bravo d'avoir trahi les futur traitres du Maroc et du peuple algeriens
                          .

                          ....... ....... pour le Bravo ???
                          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                          Commentaire


                          • #73
                            Taisez-vous donc et laissez parler M. Ferhat Abbas, le fondateur de la République Algérienne et véritable héro de l'indépendance algérienne, exprimer sa reconnaissance au Maroc et à son souverain :



                            L'histoire peut étre réécrite par les putschistes et imposteurs au pouvoir en Algérie, mais les images restent...

                            Commentaire


                            • #74
                              @spoutnik

                              Ce que tu n avais jamais saisi ..??

                              Une hirondelle ne fait jamais le printemps

                              Un seul fait, ne suffit pas à tirer des conclusions.
                              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                              Commentaire


                              • #75

                                ....... ....... pour le Bravo ???
                                wach hbibna houari, le froid du Canada commence a t'affecté? loin de cette belle panorama d'Alger dont les caporaux t'on privé?

                                Commentaire

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