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L'Etat hébreu voué à la "disparition", affirme le chef du Hezbollah

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  • #46
    Stp Houmaiz, tu risques de décourager les personnes qui devront recevoir une greffe. Tant que le USA existe l'Etat Juif existerait tjrs. Alors arretez de prendre vos reves pours des réalités.
    Lorsqu'il y a dix pas à faire vers quelqu'un, neuf n'est que la moitié du chemin.

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    • #47
      Stp Houmaiz, tu risques de décourager les personnes qui devront recevoir une greffe.
      C'est le grand risque de rejet qui s'en chargera à ma place.
      Tant que le USA existe l'Etat Juif existerait tjrs
      Faux pas tant que les USA existent mais tant qu'ils sont la super-puissance, deux choses totalement différentes.
      Et puis pour combien de temps encore les USA demeureront la super-puissance, un demi siècle, un siècle tout au plus.
      Alors arretez de prendre vos reves pours des réalités.
      En effet, tu peux dire les choses comme ça, entre temps moi j'y crois à mon rêve, tellement fort qu'il finira bien par se réaliser un jour, surtout lorsque ce rêve est partagé pas plus d'un milliard d'individus.
      Ainsi va le monde

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      • #48
        "surtout lorsque ce rêve est partagé pas plus d'un milliard d'individus". ca conforterai pour ls juifs l'idée que les Arabe les haissent vraiment et qu'ils sont leur premier ennemi. Mais just une quetion: on veut la disparition e l'Eta di'israel ou les juifs eux meme?
        Lorsqu'il y a dix pas à faire vers quelqu'un, neuf n'est que la moitié du chemin.

        Commentaire


        • #49
          Bonjour tout le monde.


          L'etat d'Israel est né dans un contexte religieux et le retour à la "terre promise".De cette terre ériger le grand israel: Eretz Israel.

          La société israelienne aujourd'hui est moins portée à la religion,surtout la nouvelle génération.
          A titre d'exemple le shabbat est rarement respecté si ce n'est par les religieux et quelques "croyants".

          Et dans ce cadre là, l'état "HEBREUX" est incontestablement voué à la disparition....
          La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
          De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
          .
          Merci.
          " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

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          • #50
            J'essaye de ne plus intervenir dans les discussions sur le conflit israélo-palestinien, mais je ne peux pas laisser dire de telles aberrations.
            La société israélienne a rarement été autant religieuse pour la simple et bonne raison que le taux de natalité des haredim (orthodoxes juifs) est largement plus élevé que la moyenne. Dans la diaspora, la majorité des enfants issus de haredim finissent laïques, mais en Israël, ce n'est pas le cas, et c'est pour ça qu'aujourd'hui, ils représentent 12% de la population.
            Aussi, Israël n'a pas été fondé dans un contexte religieux, ni Ben Gourion, ni Weizman, ni Peres ne Meyer ne sont pratiquants, et c'est le cas de la majorité des juifs israéliens de l'époque.
            D'ailleurs, l'élite de la société israélienne, celle qui a fondé l'état (kiboutzniks, millitaires, syndicalistes) méprise les pratiquants, et les pratiquants reprochent aux sionistes d'avoir créé un état laïc qui n'oblige pas les juifs à respecter les écritures.

            Si les sionistes étaient des juifs pratiquants et si pour eux, Israël était la terre promise qui devrait correspondre dans ses frontières aux royaumes bibliques, ils se seraient focalisés sur la Cisjordanie (Judée-Samarie) et non sur la plaine côtière, la galilée ou le Neguev qui n'ont jamais fait partie du Royaume d'Israël ou de Juda.
            Dernière modification par absent, 25 février 2008, 10h55.

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            • #51
              Hbibna AANIS bonjour.

              ...de telles aberrations.

              Simple question.
              Toutes ces personnes que tu as citées pouraient-elles manger un plat non "CASHER"?
              Shimon Perez n'as jamais porté la Kippa...
              Le jour Kippor n'est pas feté etc...

              Théodore Herzl fondateur du sionisme à écrit "Der Judenstaat" un état pour les JUIFS....

              La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
              De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
              .
              Merci.
              " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

              Commentaire


              • #52
                AANIS, tu me fais rire,

                l'étoile de David sur le drapeau, c'est le signe d'un état laïc ?

                Arrête !
                J'étais là...

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                • #53
                  assez d'accord avec ton message AANIS.


                  Moi je pense que

                  Le Judaîsme , les juifs sont chez eux en Palestine mais ...

                  La Palestine confisquée , sous la seule souveraineté des Juifs apres la domination de l'Empire Anglais et Ottoman est une injustice , une illegalité ..apres pres de 1800 ans sous la pression des USA et des Nations europeennes coupables d'avoir voulu exterminer les juifs d'Europe.


                  A l'epoque du legitime souverainisme arabe et assimilé... Un souverainisme contre les Empire Ottoman et Anglais ...Un souverainisme .. .contrecarré par les USA , la GB, la France et d'autres puissances occidentales .

                  Aucun peuple dans la planète placé dans la même situation que les palestiniens aurait reagi differemment


                  IL faut donc un relevement Palestinien ..Un Etat palestinien .
                  Israel doit faire une proclamation de reconnaissance de l'Etat Palestinien sur cette terre partagée de Palestine

                  Les arabes et assimilés de la region accepteront ..DE LEUR PROPRE CHEF ..un territoire , un Etat principalement juif ..dans la region.de Palestine.

                  la resistance des Georges Habbache et autres Yasser Arafat a été soutenue et est soutenue par les opinions arabes , musulmanes et autres .parce qu'elle est aussi un refus de se voir imposer des choses......c'est une sorte de continuum du souverainisme contre l'imperialisme , de la resistance contre l'imperialisme .


                  Un jour les Palestiniens relevés, avec leur Etat avec pour capitale commune aux 2 Etats ( la m^me ville , 2 immeubles administratifs dans Jerusalem - Al Qods) ..partageront ..et feront DE LEUR PROPRE CHEF un acte unique dans l'histoire de l'Humanité

                  Les dejantés post mythologie mayflower, le colosse au pieds d'argile et autres neo cons ...ne sont pas en mesure avec leur dollar et leurs bombes d'empêcher , d'arrêter la resistance palestinienne sauf à commettre une extermination totale .

                  Ce sont les Palestiniens et les arabes de la region et eux seuls qui decideront d'accepter quand ils le voudront l'Etat d'Israel dans la region.
                  Dernière modification par Sioux foughali, 25 février 2008, 12h10.

                  Commentaire


                  • #54
                    ca conforterai pour ls juifs l'idée que les Arabe les haissent vraiment et qu'ils sont leur premier ennemi.
                    C'est exacte et réciproquement ils sont nos ennemies, après tout on est en guerre avec eux, non ?
                    on veut la disparition e l'Eta di'israel ou les juifs eux meme?
                    Les juifs je n ai rien à cirer de leur sort, qu'ils existent qu'il disparaissent m'est complètement égal. En revanche, un état colonisateur sur la terre d'un peuple qui respire encore, celui-là je ne souhaite pas sa disparition, si j'avais les moyens j'y participerai à sa destruction avec joie.
                    Mais bon ! ce n'est que des paroles malheureusement.
                    Ainsi va le monde

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                    • #55
                      Aussi, Israël n'a pas été fondé dans un contexte religieux, ni Ben Gourion, ni Weizman, ni Peres ne Meyer ne sont pratiquants, et c'est le cas de la majorité des juifs israéliens de l'époque.

                      D'ailleurs, l'élite de la société israélienne, celle qui a fondé l'état (kiboutzniks, millitaires, syndicalistes) méprise les pratiquants, et les pratiquants reprochent aux sionistes d'avoir créé un état laïc qui n'oblige pas les juifs à respecter les écritures.
                      C'est maintenant qu'on met la religion à toute les sauces. (*)

                      En 48, c'était secondaire. Les kibboutz n'étaient pas du tout religieux. C'était des colons. Les arabes environnants idem : ils étaient en conflit pour le territoire (qu'on leur prenait), pas la religion.

                      En 1900 et + ça ne se bousculait pas au portillon chez les juifs d'Europe pour aller vivre en Palestine. Pourquoi changer de vie ? Pourquoi par exemple un juif viennois, un prof, commerçant, employé, là depuis des siècles, aurait été vivre en Palestine ? Pour bronzer ? Planter des tomates ? Voir Jérusalem de près ?

                      Le déclencheur définitif a été le génocide.

                      Les plus acharnés à garder cette terre d'Israël sont ces juifs de l'Est persécutés par les russes, les polonais (*), les allemands ...

                      En 45, les juifs colonisateurs venant d'Europe étaient orphelins de leur famille, partie en fumée, ça explique leur ténacité à s'accrocher et leur dureté (enfin assez relative, il faut se rappeler le niveau de violence de l'époque, énorme).

                      Les juifs ailleurs qu'en Europe, les africains, les yéménites, les indiens mêmes, ayant été moins ou même pas du tout persécutés en tant que minorité, sont présentés comme plus coulant en Israël, je ne sais pas si c'est vrai, mais on voit que les dirigeants sont des juifs d'Europe de l'est.

                      Ben Gourion : né en Pologne
                      Sharett : ne en Russie
                      Eshkol : né en Russie
                      Meir : née en Russie
                      Rabin : né à Jérusalem, parents russes
                      Begin : ne en Pologne
                      Shamir : ne en Pologne
                      Peres : né en Russie
                      Netanyahu : né à Tel Aviv, parents immigrés aux EU,
                      Barak : né dans un kibboutz, parents de Lituanie et Pologne
                      Sharon : né à Kfar Malal (dans la Haganah à 14 ans !), parents russes
                      Olmert : né à Binyamina, parents russes

                      __________________________________________________ ______

                      (*) On ne parlait pas de religion dans les affaires mondiales avant que Khomeiny s'en serve pour établir sa dictature en Iran.

                      (**) Les polonais ont quand même fait un dernier petit pogrom APRES 45 ! C'est dire leur sale mentalité, de l'époque je précise.

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                      • #56
                        Bonjour tout le monde.

                        Alain tu cites:
                        (*) On ne parlait pas de religion dans les affaires mondiales avant que Khomeiny s'en serve pour établir sa dictature en Iran.

                        Permets-moi de te contredire par quelques-uns des centaines d'exemples qui infirment ce que tu avances:


                        Nicolas Sarkozy veut remettre la religion au cœur de la vie de la cité

                        Le "discours du Latran" laissera plus de traces que la visite officielle de Nicolas Sarkozy, jeudi matin 20 décembre au Vatican, au pape Benoît XVI. Les deux hommes ont constaté leur proximité de vues sur la place de la religion dans la vie publique et, à l'étranger, sur le Liban, le Proche-Orient, l'Afrique, et la libération des otages de Colombie.
                        Le discours prononcé jeudi soir par le président français à la basilique du Latran, lors de la prise de possession – toute symbolique– de son siège de "chanoine d'honneur", est un acte politique d'une autre ampleur, une tentative d'enterrer la "guerre des deux France" (cléricale et révolutionnaire) et de réconcilier, pour de bon, la République laïque et l'Eglise catholique.
                        C'est la première fois que Nicolas Sarkozy en tant que président –il avait déjà affiché ses convictions comme ministre de l'intérieur– choisissait aussi nettement son camp, sans complexe ni dogme préétabli, sur un terrain aussi miné.
                        Le discours du Latran est, d'abord, une relecture de l'histoire de France à partir de ses "racines" chrétiennes, d'évidence inspirée par Henri Guaino et Max Gallo, qui faisaient partie de la délégation française à Rome. "Les racines de la France sont essentiellement chrétiennes, martèle M. Sarkozy. J'assume pleinement le passé de la France et ce lien particulier qui a si longtemps uni notre nation à l'Eglise.
                        Nicolas Sarkozy rappelle comme le christianisme a façonné la nation française, sa culture, son éthique, ses arts et cite Pascal, Bossuet, Péguy, Claudel, Bernanos, Mauriac, Maritain, Mounier, René Girard et des théologiens comme de Lubac et Congar.
                        Il ne craint pas d'évoquer les "souffrances" infligées au clergé par la loi de séparation de 1905 (expulsion des congrégations, querelle des inventaires). L'interprétation aujourd'hui consensuelle de la loi de séparation des Eglises et de l'Etat de 1905 relève, dit-il habilement, d'une "reconstruction rétrospective". Mais on ne bâtit pas l'avenir d'une nation en ressassant les "blessures du passé".
                        C'est un ton nouveau. Pour Nicolas Sarkozy, la religion n'est plus un tabou, alors que, pour François Mitterrand ou Jacques Chirac, elle relevait d'abord de la conviction privée. Sur les "racines" chrétiennes, le président de la République prend ostensiblement ses distances avec Jacques Chirac, avec Lionel Jospin et aussi Valéry Giscard d'Estaing, ex-président de la Convention européenne, qui avaient invoqué la laïcité "à la française" pour faire obstacle à la mention des racines chrétiennes de l'Europe dans le préambule du traité constitutionnel. On doute cependant que Nicolas Sarkozy relance la polémique dans l'Union sur cette épineuse question.
                        "SACRIFICES"
                        La laïcité, selon Nicolas Sarkozy, n'est pas en péril, mais le discours du Latran en propose une autre pratique. Il n'est pas question de remettre en cause les "grands équilibres" de la loi de 1905, dont Jacques Chirac disait qu'elle était un "monument" inviolable.
                        Mais, à contre-courant des campagnes hostiles à la religion liées à la montée des intégrismes, puis d'un "antichristianisme" si souvent dénoncé par René Rémond, enfin d'un nouvel athéisme revendiqué par le philosophe Michel Onfray, le président affirme que la France a tout à gagner à une "laïcité positive", à une reconnaissance effective de la place des courants spirituels dans la vie publique, à leur concours dans la définition d'une "morale" pour le pays.
                        Des allusions à une laïcité "épuisée" ou guettée par le "fanatisme" vont faire des vagues. Ne craignant pas de choquer, M. Sarkozy dit que l'intérêt de la République est de compter des populations qui "croient" et "espèrent" et qu'il n'est pas de bonne politique sans référence à une "transcendance".
                        A Rome, on n'en attendait pas tant. Les catholiques n'ont jamais été si bien traités. Dans un troisième temps, le président lance un appel aux "catholiques convaincus" pour qu'ils l'aident à répondre au besoin de sens, de repères, d'identité et d'espérance. Il loue l'exemple des moines de Tibéhirine et de Mgr Claverie, évêque d'Oran, tués en 1996 en Algérie.
                        S'il n'a pas un mot pour l'islam, il confirme l'utilité de la commission Etat-Eglise catholique lancée, en 2002, par Lionel Jospin, reprise par ses successeurs. Et, dans un hommage au clergé français pour les "sacrifices" endurés, sans précédent dans la bouche du président d'une République laïque, il arrachera bien des sourires sur le visage des cardinaux, évêques, prélats et prêtres venus l'écouter, en tentant cette comparaison entre la vocation sacerdotale et celle de chef de l'Etat : "On n'est pas prêtre à moitié. Croyez bien qu'on n'est pas non plus président à moitié. Je comprends les sacrifices que vous faites pour répondre à votre vocation parce que moi-même, je sais ceux que j'ai faits pour réaliser la mienne!" Curieux discours que celui du Latran fondateur, mais aussi naïf et un peu provocateur.

                        Henri Tincq
                        Sources.LeMonde.fr.

                        __________________________________________________ ___________

                        Le 1° qui évoqua la religion:
                        _Eisenhower ex-président Américain qui cita:"l'Oeil de Dieu veille sur nous",avant le départ des troupes.

                        _John Ashcroft, le nouvel attorney général de Bush [le ministre de la justice, ndt], lors d'une discussion avec Bob Jones a déclaré: "C'est différent pour l'Amérique. Nous n'avons pas de roi mais nous avons Jésus"

                        _Pâques 1997, l'ex-président Américain,Bill Clinton, déclarait aux citoyens américains:
                        "En cette ère de renouveau, nous devons réïtérer notre voeu de faire de l'Amérique la première nation du royaume de Dieu... Nous devons nous rappeler que le Christ est mort pour racheter tous les hommes, qu'ils soient blancs ou noirs. "


                        _Aussi la fameuse déclaration del'ex-président Américain, Ronald Reagan:"l'Année de la Bible" .

                        _Et Golda Meir (mabovitch) et sa célèbre citation:" Israel ne craindra les musulmans une fois que leur grande majorité ira prier la prière d'elFedjr (l'aube,1°prière de la journée)...
                        ...etc.
                        Dernière modification par arayzon, 25 février 2008, 12h39.
                        La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
                        De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
                        .
                        Merci.
                        " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

                        Commentaire


                        • #57
                          Israel ne survit que grace aux américains.
                          C'est le 52 états des USA. s'il arrive à l'oncle sam ce qui est arrivé à l'URSS, les sionistes disparaitront eux aussi.

                          Commentaire


                          • #58
                            Pour répondre à Houmaiz, je dirai que que c'est plutot les juifs qui détestent les arabes car il parait qu'ils envient à ces derniers le fait que le dernier prophète n'est pas descendant d'Isaac mais plutot d'Ismael. Sinon, juifs et arabes sont des cousins. De par l'histoire, les juifs fut chassés de la Judée et maintenant sont revenus (dument ou indument) et doivent cohabiter avec leurs voisins qui sont justement arabes. S'agissant de la disparition des juifs, une choses est sure : soit sont eux qui vont disparaitre ou les arabes car en fait le grand Israel s'étend du tigre jusqu'au limites du Nil. Sont justement les arabes qui occupent ces territoires et ma foi seules l'un d'entre eux y viverai. Moi non plus je ne crois pas à cette cohabitation, le poids de l'histoire est tres lourd.
                            Lorsqu'il y a dix pas à faire vers quelqu'un, neuf n'est que la moitié du chemin.

                            Commentaire


                            • #59
                              Mon cher Arayson, je ne vais pas faire une thèse de 100 pages ... Ce que je dis est archi connu ... Google te donneras beaucoup de phrase contenant dieu. Ce qui compte ce sont les tendances lourdes.

                              Je parlais de l'après guerre, mais même la sécularisation européenne était presque totale dans la pensée politique au début du XXème. Marx ne parle pas de religion (peu).

                              Avant les années 78/80, la typologie politique était : capitalisme / communisme. Même chez les arabes, Arafat, Nasser, Boumediene, Bourguiba ... A celle-ci s'ajoutait l'axe : tiers monde / monde nanti (occindental) et toute la problématique du post colonialisme symbolisé par http://fr.wikipedia.org/wiki/Conf%C3%A9rence_de_Bandung.

                              La RELIGION N'ETAIT UN THEME NI PORTEUR NI STRUCTURANT aussi bien dans les rapports internationaux que les thèses populistes. C'est venu après, c'est ce que je veux dire. Maintenant que les gens allaient prier et autres rituels. C'est autre chose. Qu'il y ait des sphères d'influence aussi.

                              Khomeiny a donné l'exemple aux apprentis dictateurs, qu'on pouvait tenir un pays avec la religion au 21 siècle. Ce qui n'était absolument pas certains. Carter, Giscard et autres dirigeants qui ont largué le Shah, ont été extrêmement surpris. Les iraniens aussi, dès la 1ère année, crois moi, j'ai bien connu des gars du Toudeh à Paris (en fuite et avant), personne n'avait vu venir le coup.

                              Israel, pour revenir à ça, a aussi utilisé la religion à des fins stratégiques locales. L'ensemble a fait monter la mousse. Le Liban s'est déchiré, etc. Les fameux néocons. US sont venus en force dans les années 80. La suite est connue.

                              Commentaire


                              • #60
                                Khomeiny a donné l'exemple aux apprentis dictateurs, qu'on pouvait tenir un pays avec la religion au 21 siècle
                                Disons que ça a culminé avec Khomeini...
                                Il n'y a que dans le monde musulman, qu'on peut tenir un pays avec la religion, à notre époque. Malheureusement pour nous...
                                ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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