La République maghrébine
Se chercher, apprendre à se connaître est un remède fort appréciable qui permet nombre de solutions à des problèmes inextricables et souvent insolubles.
Se chercher, apprendre à se connaître est un remède fort appréciable qui permet nombre de solutions à des problèmes inextricables et souvent insolubles. Se remettre en question est l'apanage des grands hommes et des grandes cultures qui ont essaimé de par le monde et ont marqué leur empreinte avec une encre indélébile rappelant à tout un chacun l'ivresse de réussite avec laquelle ils sont parvenus à dompter la nature hostile et plus courageusement à dompter leurs pulsions, leurs avanies et plus ingénieusement leurs égos.
Nous maghrébins, nouvellement installés en Europe et aux Amériques sommes appelés à ne plus se draper sous un quelconque sortilège ou excuse, mais sommes plutôt soumis à mettre de l'ordre dans notre petit carré; je sous entends par là notre environnement aux pays du Maghreb ou aucune responsabilité ou presque n'est assumée, si ce n'est pour jeter la pierre à l'autre, ultime justificatif et merveilleux échappatoire pour ne point reconnaître l'erreur de chacun d'entre nous, fut elle nanométrique.
Je me plairai tout bonnement à vilipender la gent maghrébine, mais cela serait un affront à ma culture et un désaveu à mes racines qui m'ont donné vie et appris à être un fier maghrébin. Les histoires les plus insolites qui parviennent des contrées les plus retirées, nous enseignent que force rime avec sagesse et que pérennité rime avec largesse d'esprit; tout manquement aux principes de démocratie, de tolérance a immanquablement jeté aux ornières des civilisations florissantes; leurs assises furent ébranlées car elles ont fait fi de l'importance cruciale de l'homme ,de ses droits et de ses devoirs qui ne peuvent être préservés sans le ferment du respect mutuel, du respect partagé.
Il n'est point important de palabrer sur la grandeur d'un pays, géographiquement parlant, ou l'ancienneté d'une royauté; il est plus louable d'interpeller nos âmes, nos cours et se dire que s'arcbouter sur des réflexes féodaux ou des intentions expansionnistes, n'aideront en rien une communauté immigrante qui se doit d'être un levier duquel s'élèveront d'autres valeurs et d'autres approches.
Pour lever une armée, l'adage nous apprend qu'il faut de l'argent; pour lever un espoir, il faudrait un levain qui puisse offrir à nous tous, la certitude de réussir notre intégration et permettre à nos pays respectifs de réussir leur développement qui tarde à venir. Laissons de coté nos divisions, nos rancunes; cédons la place grande à nos ententes, entraides et c'est à ce moment là que naîtra un jour inchAllah un magma nouveau, précurseur de toutes nos espérances constamment freinées par nos ardeurs de jalousie et de compétitivité stérile.
Des ténors maghrébins ont fait un jour un appel d'unité un jour de l'année 1958, je prie Allah qu'un autre appel partira pour fédérer tant de ressources, tant d'espoirs.
La société d'accueil nous apportera plus d'attention si nous lui prouvons avec vigueur et intelligence notre disponibilité à nous tolérer mutuellement et surtout se rencontrer pour enfin se parler.
La république du chacun pour soi est révolue, on n'a qu'a voir ses effets dévastateurs dans notre grand et beau Maghreb sans exception aucune. La république du chacun pour tous est le meilleur parti de réussite; alors rêvons au royaume enchanteur de notre république maghrébine.
Se chercher, apprendre à se connaître est un remède fort appréciable qui permet nombre de solutions à des problèmes inextricables et souvent insolubles.
Se chercher, apprendre à se connaître est un remède fort appréciable qui permet nombre de solutions à des problèmes inextricables et souvent insolubles. Se remettre en question est l'apanage des grands hommes et des grandes cultures qui ont essaimé de par le monde et ont marqué leur empreinte avec une encre indélébile rappelant à tout un chacun l'ivresse de réussite avec laquelle ils sont parvenus à dompter la nature hostile et plus courageusement à dompter leurs pulsions, leurs avanies et plus ingénieusement leurs égos.
Nous maghrébins, nouvellement installés en Europe et aux Amériques sommes appelés à ne plus se draper sous un quelconque sortilège ou excuse, mais sommes plutôt soumis à mettre de l'ordre dans notre petit carré; je sous entends par là notre environnement aux pays du Maghreb ou aucune responsabilité ou presque n'est assumée, si ce n'est pour jeter la pierre à l'autre, ultime justificatif et merveilleux échappatoire pour ne point reconnaître l'erreur de chacun d'entre nous, fut elle nanométrique.
Je me plairai tout bonnement à vilipender la gent maghrébine, mais cela serait un affront à ma culture et un désaveu à mes racines qui m'ont donné vie et appris à être un fier maghrébin. Les histoires les plus insolites qui parviennent des contrées les plus retirées, nous enseignent que force rime avec sagesse et que pérennité rime avec largesse d'esprit; tout manquement aux principes de démocratie, de tolérance a immanquablement jeté aux ornières des civilisations florissantes; leurs assises furent ébranlées car elles ont fait fi de l'importance cruciale de l'homme ,de ses droits et de ses devoirs qui ne peuvent être préservés sans le ferment du respect mutuel, du respect partagé.
Il n'est point important de palabrer sur la grandeur d'un pays, géographiquement parlant, ou l'ancienneté d'une royauté; il est plus louable d'interpeller nos âmes, nos cours et se dire que s'arcbouter sur des réflexes féodaux ou des intentions expansionnistes, n'aideront en rien une communauté immigrante qui se doit d'être un levier duquel s'élèveront d'autres valeurs et d'autres approches.
Pour lever une armée, l'adage nous apprend qu'il faut de l'argent; pour lever un espoir, il faudrait un levain qui puisse offrir à nous tous, la certitude de réussir notre intégration et permettre à nos pays respectifs de réussir leur développement qui tarde à venir. Laissons de coté nos divisions, nos rancunes; cédons la place grande à nos ententes, entraides et c'est à ce moment là que naîtra un jour inchAllah un magma nouveau, précurseur de toutes nos espérances constamment freinées par nos ardeurs de jalousie et de compétitivité stérile.
Des ténors maghrébins ont fait un jour un appel d'unité un jour de l'année 1958, je prie Allah qu'un autre appel partira pour fédérer tant de ressources, tant d'espoirs.
La société d'accueil nous apportera plus d'attention si nous lui prouvons avec vigueur et intelligence notre disponibilité à nous tolérer mutuellement et surtout se rencontrer pour enfin se parler.
La république du chacun pour soi est révolue, on n'a qu'a voir ses effets dévastateurs dans notre grand et beau Maghreb sans exception aucune. La république du chacun pour tous est le meilleur parti de réussite; alors rêvons au royaume enchanteur de notre république maghrébine.
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