@franc_lazur
... si tu considères cela comme une futilité et que ALLÂH n'avait pas à "perdre Son temps" dans des détails insignifiants, pourquoi des futilités autrement plus futiles apparaissent dans le Livre.
Ne "pervertit" pas trop ce que je dit FRANC, c'est pas trés élégant et ne plus ca te fait perdre des points au lieu d'en gagner IoI
Dans le cas précis du récit du sacrifice on a convenu plus haut que le concerné par l'épreuve est Abraham, l'enfant n'étant qu'un élément du décor d'une certaine manière. L'épreuve consiste à étaler au grand jour si oui ou non cet homme (Abraham) peut sacrifier son "fils unique" (en tant que tel) sur ordre de Dieu, le nom de l'enfant devenant donc pas important. C'est des sentiments paternels en général qu'il s'agit et non pas d'un enfant bien précis.
Mon propos se limite donc au cas qui nous intérésse ; si donc dans une autre histoire les données changent alors la méthode changera en toute logique !
... Ainsi :
[1] Que périssent les deux mains d'Abû-Lahab et que lui-même périsse
[2] Sa fortune ne lui sert à rien, ni ce qu'il a acquis.
[3] Il sera brûlé dans un Feu plein de flammes,
[4] de même sa femme, la porteuse de bois,
[5] à son cou, une corde de fibres."
Et bien comme Abraham était le premier concerné par la bénédiction plus haut, Abu Lahab est le premier concerné par la malédiction ici ! Normal donc que son nom sois cité et cela d'autant plus que Dieu veut malmener un des plus grand ennemis de son Prophète au vu et au su de toute sa tribu.
Pour preuve que seul lui est concerné ? Et bien il est le seul à être cité nomémment (alors que sa femme n'est citée qu'en adjonction) pour qu'il n'y est aucun doute sur son identité (car c'est important dans le cas d'une malédiction bien personelle IoI) au même titre qu'Abraham était nommé parceque c'est lui qui est concerné par l'épreuve et pas la bénédiction (et non pas son fils qui n'est nommé qu'en adjonction aussi) !
Tu risques donc de chercher longtemps avant de trouver la moindre faille de ce genre dans le Coran ... normal c'est de Dieu que nous le tenons
... si tu considères cela comme une futilité et que ALLÂH n'avait pas à "perdre Son temps" dans des détails insignifiants, pourquoi des futilités autrement plus futiles apparaissent dans le Livre.
Ne "pervertit" pas trop ce que je dit FRANC, c'est pas trés élégant et ne plus ca te fait perdre des points au lieu d'en gagner IoI
Dans le cas précis du récit du sacrifice on a convenu plus haut que le concerné par l'épreuve est Abraham, l'enfant n'étant qu'un élément du décor d'une certaine manière. L'épreuve consiste à étaler au grand jour si oui ou non cet homme (Abraham) peut sacrifier son "fils unique" (en tant que tel) sur ordre de Dieu, le nom de l'enfant devenant donc pas important. C'est des sentiments paternels en général qu'il s'agit et non pas d'un enfant bien précis.
Mon propos se limite donc au cas qui nous intérésse ; si donc dans une autre histoire les données changent alors la méthode changera en toute logique !
... Ainsi :
[1] Que périssent les deux mains d'Abû-Lahab et que lui-même périsse
[2] Sa fortune ne lui sert à rien, ni ce qu'il a acquis.
[3] Il sera brûlé dans un Feu plein de flammes,
[4] de même sa femme, la porteuse de bois,
[5] à son cou, une corde de fibres."
Et bien comme Abraham était le premier concerné par la bénédiction plus haut, Abu Lahab est le premier concerné par la malédiction ici ! Normal donc que son nom sois cité et cela d'autant plus que Dieu veut malmener un des plus grand ennemis de son Prophète au vu et au su de toute sa tribu.
Pour preuve que seul lui est concerné ? Et bien il est le seul à être cité nomémment (alors que sa femme n'est citée qu'en adjonction) pour qu'il n'y est aucun doute sur son identité (car c'est important dans le cas d'une malédiction bien personelle IoI) au même titre qu'Abraham était nommé parceque c'est lui qui est concerné par l'épreuve et pas la bénédiction (et non pas son fils qui n'est nommé qu'en adjonction aussi) !
Tu risques donc de chercher longtemps avant de trouver la moindre faille de ce genre dans le Coran ... normal c'est de Dieu que nous le tenons

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