Voici ma théorie en quelques lignes, pour plus de détails n'hésitez pas à me poser vos questions (
)
1) on est d'accord sur un point, la vie d'un chercheur est extrêmement difficile, ça commence par une master recherche (ou un DEA) ensuite il faut chercher un stage, un sujet de thèse, un financement, et qd on trouve tout ça ne croyez pas que c'est fini, c'est alors qu'on commence la vraie recherche avec tout qon lot de stresse, de frustration, de désarois, de nuits blanches (pas de travail mais de cogitation) ..etc et ça dure au moins 3 ans pour les plus "chanceux" j'ai mis les guillemets car ce n'est pas encore finis après la soutenance commence la recherche du boulot et là ça dépends de bcp de paramètres ceux qui ont opté pour un 3ilm nafi3 (science utile) n'auront pas bcp de soucis donc on va les laisser de côté, mais ceux qui ont choisi un 3lim gheir nafi3 (science inutile) comment alors el hissabat edayi9a (litérallement les calculs étroits), et les pires sont ceux qui terminent leur vie dans la recherche ... vous aller certainement vous demander pourquoi je parle de ces aspects de la vie d'un chercheurs qui n'ont apparement aucun lien avec le sujet. et ben détrompez vous, tout est lié, (lire la suite)
2) Maintenant si vous avez compris ce que j'ai raconté avant, vous aller comprendre que le chercheur passe bcp de temps à chercher (plus que la moyenne des gens normaux) et ses recherches se succèdent les unes après les autres donc au moment où il se rend compte qu'il lui faut un partenaire c'est déjà un peu tard et ce pour différentes raisons, soit les personnes susceptibles de lui plaire sont déjà prises, soir il ne sait plus comment aborder une fille ou répondre aux avances d'un mec :22: (et entre nous à l'âge de 26 ou 27 c un peu trop tard)
3) Les exceptions à cette régle sont généralement imbues de leur personne, déjà un chercheur à tendance à se croire supérieur aux autres (déformation professionnelle) je pense même que c'est "hériditaire" (on se surprend souvent à immiter son directeur de thèse )
4) la conclusion est que les chercheurs sont nuls et mal adroits, ils sont frustrés et communiquent leur frustrations aux autres,, ils ont des complexes de superiorité, et ils sont ennuyants à mourir et avec tout ça très exigenants

1) on est d'accord sur un point, la vie d'un chercheur est extrêmement difficile, ça commence par une master recherche (ou un DEA) ensuite il faut chercher un stage, un sujet de thèse, un financement, et qd on trouve tout ça ne croyez pas que c'est fini, c'est alors qu'on commence la vraie recherche avec tout qon lot de stresse, de frustration, de désarois, de nuits blanches (pas de travail mais de cogitation) ..etc et ça dure au moins 3 ans pour les plus "chanceux" j'ai mis les guillemets car ce n'est pas encore finis après la soutenance commence la recherche du boulot et là ça dépends de bcp de paramètres ceux qui ont opté pour un 3ilm nafi3 (science utile) n'auront pas bcp de soucis donc on va les laisser de côté, mais ceux qui ont choisi un 3lim gheir nafi3 (science inutile) comment alors el hissabat edayi9a (litérallement les calculs étroits), et les pires sont ceux qui terminent leur vie dans la recherche ... vous aller certainement vous demander pourquoi je parle de ces aspects de la vie d'un chercheurs qui n'ont apparement aucun lien avec le sujet. et ben détrompez vous, tout est lié, (lire la suite)
2) Maintenant si vous avez compris ce que j'ai raconté avant, vous aller comprendre que le chercheur passe bcp de temps à chercher (plus que la moyenne des gens normaux) et ses recherches se succèdent les unes après les autres donc au moment où il se rend compte qu'il lui faut un partenaire c'est déjà un peu tard et ce pour différentes raisons, soit les personnes susceptibles de lui plaire sont déjà prises, soir il ne sait plus comment aborder une fille ou répondre aux avances d'un mec :22: (et entre nous à l'âge de 26 ou 27 c un peu trop tard)
3) Les exceptions à cette régle sont généralement imbues de leur personne, déjà un chercheur à tendance à se croire supérieur aux autres (déformation professionnelle) je pense même que c'est "hériditaire" (on se surprend souvent à immiter son directeur de thèse )
4) la conclusion est que les chercheurs sont nuls et mal adroits, ils sont frustrés et communiquent leur frustrations aux autres,, ils ont des complexes de superiorité, et ils sont ennuyants à mourir et avec tout ça très exigenants

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