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Un monde sans femmes

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  • #61
    entre une vague et une sirene, laquel je choisit pour laisser les elements me submerger

    mon coeur balance

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    • #62
      sans femme , il n' y aurait plus de joie de vivre

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      • #63
        un monde sans femmes... ce n est pas possible il ne resterait qu une bande d idiot qui passeraient leur temps a jouer à la guéguerre ....
        un monde sans femmes c est comme une feuille blanche (diams).......

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        • #64
          je ne peux pas vivre sans sentir la douceur feminine .

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          • #65
            L'Algerie deverait peut etre songer a exporter, en plus de la tres bonne qualite
            Je trouve que c'est honteux de parler ainsi de la femme Algérienne de la traiter comme moins de rien. Comme une marchandise de qualité pour l'exporter pourquoi ne pas la vendre ça serait encore mieux pour l'économie du Pays. C'est désolant de lire ça même si c'est pour rigoler.

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            • #66
              Je ne sais pas pour l'Inde mais je sais que pour la Chine, ce n'est pas qu'il détestent les filles et qu'elles sont un fardeau mais c'est que ces parents doivent absolument assurer leur retraite et seul leur fils pourra les entretenir, pas leur fille.

              C'est terriblement malheureux pour ces jeunes hommes dans une société qui valorise le mariage, vraiment très malheureux, ça va engendrer des drames.

              Un monde sans femmes? Vous savez bien combien les femmes rendent les hommes meilleurs. Alors ne prenons pas de risques!

              Kikka

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              • #67
                Un monde sans femmes? Vous savez bien combien les femmes rendent les hommes meilleurs. Alors ne prenons pas de risques!
                un monde sans femme , c'est comme une planete sans eau , ou une crème glacé sans sucre .

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                • #68
                  Je ne sais pas pour l'Inde mais je sais que pour la Chine, ce n'est pas qu'il détestent les filles et qu'elles sont un fardeau mais c'est que ces parents doivent absolument assurer leur retraite et seul leur fils pourra les entretenir, pas leur fille.
                  Das la majorite des regions de Chine, la fille doit offrir a son epoux une dot d'un equivalent minimum de 20.000 Euro.

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                  • #69
                    justement le probleme dans ces pays viens de la dot qu'il faut fournir pour marier sa fille, ce qui peut ruiner des familles.
                    Deja dans notre société c'est l'invre mais malgré tous les filles ne sont pas aimé, alors la bas :22:

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                    • #70
                      Das la majorite des regions de Chine, la fille doit offrir a son epoux une dot d'un equivalent minimum de 20.000 Euro.
                      Cap sur la chine .
                      Anti-conformiste mais pas forcément anarchiste.

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                      • #71
                        L'Inde manque de femme!

                        En Inde, la préférence traditionnelle va aux garçons. Depuis les années 70 et 80, et encore plus depuis que les échographies se sont répandues dans le pays, l’utilisation de l’avortement sélectif au détriment des filles est devenue une pratique courante. A tel point que certains parlent de véritable « fœticide ». Une étude, publiée en janvier dernier par le journal médical The Lancet, comptabilise 10 millions de fillettes « manquantes » durant les 20 dernières années. Manquantes, c’est à dire avortées. 500 000 filles « manqueraient » chaque année en Inde. Hindustan Times rapporte qu’au moins 5 millions d’avortements de fœtus féminins y sont pratiqués chaque année. Le chiffre officiel est de 2 millions. Dans ce pays de 1,07 milliard d’habitants, le ratio national hommes/femmes est tombé de 972 femmes pour 1 000 hommes en 1901 à 933 femmes pour 1 000 hommes en 2001 (chiffres du dernier recensement).

                        Les deux principales causes du déséquilibre du ratio sont l’avortement des fœtus féminins et l’infanticide des bébés filles. La sélection pré-natale et l’avortement ont atteint des proportions inquiétantes dans certains Etats, à cause de la banalisation des échographies, de plus en plus accessibles et bon marché (moins de 80 roupies, soit moins de 2 dollars). La BBC note que dans certaines régions, les équipements en ultra-sons mobiles sont plus accessibles qu’un bon approvisionnement en eau potable… Les Etats les plus touchés par les interruptions discriminatoires de grossesse (Haryana, Punjab, Delhi, Gujarat, Maharashtra et Chandigarh) ont un ratio qui tourne autour de 800 femmes pour 1 000 hommes.

                        « Elever une fille c’est comme arroser le jardin de son voisin »

                        Si la détection du sexe des fœtus est devenue une source de rendement juteux pour les médecins et les fabricants d’équipement médical, cette pratique trouve surtout sa source dans des facteurs socio-économiques anciens. La société indienne est depuis longtemps dominée par les hommes. Dans les campagnes, le garçon est considéré comme une force de travail. Il hérite du patronyme, des biens et chez, les Hindous (communauté religieuse qui compte le ratio hommes/femmes le plus faible), c’est lui qui doit prendre en charge le rituel funéraire du père. Les filles sont considérées comme inférieures et comme une charge économique puisqu’il faudra payer la dot. Dans l’Etat du Punjab, on peut encore trouver des inscriptions sur les murs comme « Dépensez 500 roupies, sauvez-en 500 000 » : dépensez 500 pour une échographie et économisez 500 000 de dot… « Elever une fille c’est comme arroser le jardin de son voisin », dit d’ailleurs un proverbe indien. Hindustan Times précise que la pratique ne touche pas que les familles pauvres et rurales mais s’est largement répandue dans les classes aisées, cultivées et urbaines.
                        Les chiffres du recensement de 2001 ont alerté les autorités qui, depuis, tentent de réagir. Car le manque de filles a déjà conduit dans certaines régions à un manque cruel de femmes à marier… Les enquêtes dans les cliniques, comme celle qui a menée à la condamnation mercredi du médecin et de son assistant, ont été multipliées. Dans l’Etat du Punjab, les femmes enceintes qui acceptent de jouer les leurres, gagnent 5 000 roupies. Depuis 2002, 166 licences de cliniques ont été confisquées ou suspendues dans le pays. Le 10 mars dernier, l’Etat d’Andhra Pradesh (qui enregistre 943 femmes pour 1 000 hommes) a annoncé qu’il allait allouer 2 300 dollars aux familles qui auraient une fille unique. La somme sera donnée à l’enfant lorsqu’elle aura atteint l’âge de 20 ans. L’Etat a aussi lancé une campagne de sensibilisation avec, sur les affiches, la jeune joueuse de tennis surdouée Sania Mirza. Le slogan : « Votre fille pourrait être le prochain champion ».

                        Article de Olivia Marsaud ( RFI )

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                        • #72
                          Des hommes "louent" leurs épouses en Inde

                          A cause du manque criant de femmes, certains hommes mariés n'hésitent pas à "louer" leurs épouses pour un mois à des hommes de caste supérieure dans l'état indien de Gujarat, indique le Times of India dans son édition de ce lundi. Un homme marié a ainsi demandé 140 euros pour la "location" de sa femme pendant un mois.

                          Dans l'état du Gujarat, d'Haryana, du Punjab, de Delhi, de Maharashtra et de Chandigarhrindiens, il y a de moins en moins de filles car elles sont "avortées" avant leur naissance en raison de leur sexe ou tuées alors qu'elles sont encore en bas âge. Le décalage entre le nombre d'individus de sexe mâle et ceux de sexe féminin y est très important. Il y a moins de 800 filles pour 1000 garçons.

                          Les échographies pour connaître le sexe de l'enfant sont interdites en Inde en raison des nombreux avortements dicriminatoires. Les échographies clandestines sont cependant pratiquées pour moins de deux dollars et lorsque le futur bébé est une fille, les parents choisissent souvent d'avorter. La pratique est tellement étendue qu'on évalue à quelque dix millions, le nombre de foetus avortés ces dix dernières années et certains n'hésitent pas à parler de "foeticide".

                          Cette situation favorise les trafics de jeunes filles et il arrive que plusieurs frères se partagent la même femme. La société indienne est dominée par les hommes et, chez les Indiens de confession hindoue, les garçons sont considérés comme une force de travail et ce sont eux qui s'occupent du rite funéraire au décès du père. Quant aux filles, elles sont considérées comme une charge puisqu'il faut payer une dot à son mariage.

                          Source: 7/7 ( Belgique )

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                          • #73
                            Journal d’une fillette qui n’a jamais vu le jour

                            25 OCTOBRE:
                            Ma vie a commencé aujourd’hui. Mes parents ne le savent pas encore, mais je suis déjà là. Et je serai une fille. J’aurai les cheveux noirs et les yeux marrons. Tout mon patrimoine est déjà fixé, même mon attirance pour les fleurs.

                            8 NOVEMBRE:
                            Certains disent que je ne suis pas encore un être véritable, que seule ma mère existe. Mais je suis une personne bien réelle, de même qu’une petite miette de pain n’en est pas moins du pain. Ma mère existe, c’est une chose, mais moi aussi j’existe.

                            12 NOVEMBRE:
                            Ma bouche commence à présent à s’ouvrir. Pensez que dans un an je me mettrai à rire et puis qu’un peu plus tard je parlerai. Je sais que mon premier mot sera: “MAMAN!”

                            14 NOVEMBRE:
                            Aujourd’hui, mon cœur s’est mis à battre tout seul. Désormais, il va battre durant toute ma vie sans jamais s’arrêter. Au bout de plusieurs années, il finira par se fatiguer. Quand il s’arrêtera, je mourrai.

                            22 NOVEMBRE:
                            Je grandis tous les jours un peu plus. Mes bras et mes jambes commencent à prendre forme. Mais il faudra encore du temps avant que maman me serre dans ses bras sans se baisser, et que j’arrive à tenir un bouquet de fleurs et à embrasser papa.

                            2 DEMCEMBRE:
                            Des doigts minuscules commencent à apparaître sur mes mains. Comme ils sont petits! Plus tard, je pourrai caresser les cheveux de maman avec.

                            10 DECEMBRE:
                            C’est seulement aujourd’hui que le docteur a dit à maman que j’étais là, sous son cœur. Comme elle doit être contente! Tu es heureuse, dis, maman?

                            15 DECEMBRE:
                            Papa et maman doivent sûrement me chercher un prénom. Ils ne savent pas encore que je suis une petite fille. Moi, j’aimerais bien m’appeler Anjali. Je commence déjà à être grande.

                            30 DÉCEMBRE:
                            Mes cheveux poussent. Ils sont fins, souples et brillants. Je me demande bien de quelle couleur sont ceux de maman.

                            2 JANVIER:
                            Ça y est; je commence à voir. Tout est sombre autour de moi. Quand maman me mettra au monde, il y aura du soleil et des fleurs. Mais ce qui me plairait le plus, c’est de voir maman. Dis, maman, comment es-tu?

                            13 JANVIER:
                            Je me demande si maman entend les faibles battements de mon cœur. Certains enfants arrivent au monde avec un handicap. Quant à moi, j’ai le cœur solide et en parfaite santé. Il bat régulièrement: boum-pa, boum-pa. Maman, tu as une petite fille en excellente santé!

                            17 JANVIER:
                            Aujourd’hui ma mère m’a tuée.

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                            • #74
                              Un monde sans femmes ?

                              un cataclysme ! la fin du monde !
                              vous vous imaginez ? nous ne seront pas là pour vous aimer, vous cajoler, prendre soin de vous et surtout....
                              ....
                              vous embêter !

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                              • #75
                                Je ne pensais pas que ce phénomème avait pris une telle ampleur... c'est vraiment triste!!!
                                moi jveux que des filles


                                ...bon et un garcon aussi mais tout tout pitit

                                Commentaire

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