elle etait allongé sur son lit rouge en forme de coeur, regardant le president discourire à la télé, elle s'ennuyait, la solitude etait mortelle... elle fumait du thé et restait eveillée, son cauchmard approchait...
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L'histoire sans fin...
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La nuit, elle la connaissait aussi bien qu'elle....Sa chevelure étincellante qui la recouvrait, couleur de nuit...ses yeux couleur de nuit...elle ne pouvait que connaitre ce qui lui arrive...
..........elle s'appelait Leïla...."La femme est le calme et l’apaisement de l’homme, elle est sa conjointe, la mère de ses enfants, l’endroit périlleux de son coeur et la clef de ses secrets"
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"Tu es belle comme la mort" dit le vieil homme, "cette mort qui vient te prendre comme tu m'as pris mon coeur"
La pauvre fille ne se doutait pas...dans ses pensées, toujours les meme mots revenaient: "P**** de télécomande.Bloqué sur un discours de ce vieux***de président a la c**" que de mots délicats qui la représentaient tout a fait."euh..hum hum...bon j'y vais: youuuuyouyouyouyouyouyouyouuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiii iiiiii"
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Cette réplique laissa sans voix les téléspectateurs...exactement ce que voulait la réalisatrice.La personalité de la jeune fille était mise a nue ainsi que la jeune fille elle meme qui se préparait pour le bain.La parfaite scene de crime ordinaire à la télévision...Dernière modification par Chun Li, 14 janvier 2007, 18h02."euh..hum hum...bon j'y vais: youuuuyouyouyouyouyouyouyouuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiii iiiiii"
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attendez couper
svp on arrete tout coupé , on a sauté un chapitre , jossia tu n'a pas revisé ton texte encore une fois quand va tu te mettre serieusement on veut le finir ce film et tu va me faire le plaisir de ne plus venir sur le plateau bourré allez on recommence , jossi stp lie nous le passage de ta replique enfin....!!!! tu a destabilisé meme tes collegues leilasagefemmeDernière modification par shamsdine, 14 janvier 2007, 18h08.
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chere chun li
on est des adultes qui s'octroyant virtuellement le pouvoir d'etre une legende jouant de son sabre et si on lui demandais pourquoi je crois qu'elle nous repondrait mon enfant aime regarder ses dessins animés , alors on me faufilant dans ce costume inconsciement et virtuellement j'espere que mon enfant verra sa maman et que je pourrai le voir et le bonheur que je lui aurait apporté car il me manque , et chacun d'autre nous essai de s'amuser lui meme avant d'amuser les autres , car il peut faire ici ce que la vie ne lui permet plus de faire réellement alors moi voyons tous ce bonheur autour de mes amis , je me suis proclamé chef d'orchestre , et realisateur de cette parade pour diriger tous mes amis a faire une fable d'adulte qui nous fait rever d'un temps on l'ont fut tous
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...dit l'un des personnages du film.Les spectateurs se posent des questions.Que voulait dire ce personnage?Etait-ce un message venu du fin fond du gouffre de l'egoisme possessif qui s'octroyait tous les droits du film?Ou une invitation à l'obéissance par la censure?La spectatrice qui s'imissa dans le film et son scénario croyant pouvoir jouir de la liberté de création qu'impliquait cet espace , se résigna à quitter la scène dans l'assourdissant vacarme des sifflements et du mécontement du public suite à ce départ prématuré de l'étoile montante..."euh..hum hum...bon j'y vais: youuuuyouyouyouyouyouyouyouuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiii iiiiii"
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