Quasard,
En dehors des possibles motifs scientifiques ayant trait à la santé publique (Danielle a raison cf la vache folle), il y a des raison éthiques et sociales qui font que je déplore et combat la diffusion des OGM :
- la nature et les hommes nous ont doté de tout un pannel de semences et d'outils et voilà que quelques firmes s'octroient un patrimoine et prennent sous leur contrôle le processus de production.
Je suis contre le principe de monopole de l'outil de production et les nouvelles méthodes de production font souvent du bas de gamme, pour rester polie.
- La sterilité des semences et l'instauration d'une dépendance entre les agriculteurs et les marchés et d'un contrôle absolu de la production de manière centralisée me m'inspire rien de bon. Quand je pense comme on a (à juste titre) décrié les politiques centralisatrices et leurs désatreux effets jusqu'alors... (mais les libéraux ne sont pas à une preuve de mauvaise foi près)
- Je ne vois pas l'utilité de continuer à augmenter ou péréniser une capacité de production, qui, l'actualité nous le montre régulièrement, amène systématiquement à un lamentable gâchis ! Quotas, subvention et surproduction sont je crois les mots qui qualifient le mieux l'agriculture française en particulier, européenne aussi. Alors, si on veut jouer sur la pollution aux pesticides, il faut plutôt revoir le modèle économique et arrêter de favoriser la suproduction bas de gamme à bas prix qui génère tous les problèmes ci-dessus. Mais entre loi des marchés et répartition des richesses, il y a comme un blocage...
En dehors des possibles motifs scientifiques ayant trait à la santé publique (Danielle a raison cf la vache folle), il y a des raison éthiques et sociales qui font que je déplore et combat la diffusion des OGM :
- la nature et les hommes nous ont doté de tout un pannel de semences et d'outils et voilà que quelques firmes s'octroient un patrimoine et prennent sous leur contrôle le processus de production.
Je suis contre le principe de monopole de l'outil de production et les nouvelles méthodes de production font souvent du bas de gamme, pour rester polie.
- La sterilité des semences et l'instauration d'une dépendance entre les agriculteurs et les marchés et d'un contrôle absolu de la production de manière centralisée me m'inspire rien de bon. Quand je pense comme on a (à juste titre) décrié les politiques centralisatrices et leurs désatreux effets jusqu'alors... (mais les libéraux ne sont pas à une preuve de mauvaise foi près)
- Je ne vois pas l'utilité de continuer à augmenter ou péréniser une capacité de production, qui, l'actualité nous le montre régulièrement, amène systématiquement à un lamentable gâchis ! Quotas, subvention et surproduction sont je crois les mots qui qualifient le mieux l'agriculture française en particulier, européenne aussi. Alors, si on veut jouer sur la pollution aux pesticides, il faut plutôt revoir le modèle économique et arrêter de favoriser la suproduction bas de gamme à bas prix qui génère tous les problèmes ci-dessus. Mais entre loi des marchés et répartition des richesses, il y a comme un blocage...
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