J’ai lu sur ce forum, que les femmes qui n’accordaient aucune importance au coté physique de l’homme. Notamment, un sujet de notre ami l’oiseau bleu qui a dit a son ami, qu’il n’était pas physiquement son idéal. La question est : êtes-vous honnete avec vous-même ??
J’ai été touché par cela, je dirais même blesser. Voyez-vous, je ne suis pas physiquement beau. J’ai une tête de pomme de terre sur un corps de seringue. Un regard qui fait fuir les boussoles, une bouche que même fermée, on voit les dents. Enfin, je suis le tableau des horreurs, le tout enveloppé dans un corps, dont les portes des salles de bain se ferment a l’approche.
Et récemment, ma mère m’a avoué qu’elle a essayé de me tuer deux fois. La première fois en essayant de dormir sur moi, quand j’avais trois semaines et la deuxième fois en me jetant entre les pieds d’une mule quand j’avais cinq mois. Dans les deux cas, cela a servi uniquement à accentuer ma laideur.
Je ne sais pas ce que je serais devenu sans l’invention de l’internet. Car, c’est la seule chose qui me permet de discuter avec les gens (et surtout les femmes) sans avoir à m’exposer et à lire le dégoût dans leurs yeux comme Sarko en parlant des banlieux. Alors, je dis à tous les hommes de ce forum :
Vous avez de la chance d’avoir été aimé au moins une fois par une femme même si cette femme n’est autre que votre chère mère. Une chance que moi, je n’ai pas eu. Dès mon jeune age, j’ai commencé à composer des poèmes sur ma laideur en riposte aux gens qui composait uniquement des poèmes sur la beauté. Alors en voici un :
Ô-Dieu ! Pourquoi m’as tu fait laid
Et me nourrit de rejection
Est-ce le lourd prix que je paie
Pour oser poser la question ?
Ô-Dieu ! Pourquoi m’as tu fait laid
J’ai peur même de contempler la beauté
De pouvoir aimer et enfin vivre en paix
Ô-Dieu ! Pourquoi m’as tu fait laid
Je veux attirer le sourire des femmes
Comme un beau jour du mois de mai
Et non des regards infâmes
J’ai été touché par cela, je dirais même blesser. Voyez-vous, je ne suis pas physiquement beau. J’ai une tête de pomme de terre sur un corps de seringue. Un regard qui fait fuir les boussoles, une bouche que même fermée, on voit les dents. Enfin, je suis le tableau des horreurs, le tout enveloppé dans un corps, dont les portes des salles de bain se ferment a l’approche.
Et récemment, ma mère m’a avoué qu’elle a essayé de me tuer deux fois. La première fois en essayant de dormir sur moi, quand j’avais trois semaines et la deuxième fois en me jetant entre les pieds d’une mule quand j’avais cinq mois. Dans les deux cas, cela a servi uniquement à accentuer ma laideur.
Je ne sais pas ce que je serais devenu sans l’invention de l’internet. Car, c’est la seule chose qui me permet de discuter avec les gens (et surtout les femmes) sans avoir à m’exposer et à lire le dégoût dans leurs yeux comme Sarko en parlant des banlieux. Alors, je dis à tous les hommes de ce forum :
Vous avez de la chance d’avoir été aimé au moins une fois par une femme même si cette femme n’est autre que votre chère mère. Une chance que moi, je n’ai pas eu. Dès mon jeune age, j’ai commencé à composer des poèmes sur ma laideur en riposte aux gens qui composait uniquement des poèmes sur la beauté. Alors en voici un :
Ô-Dieu ! Pourquoi m’as tu fait laid
Et me nourrit de rejection
Est-ce le lourd prix que je paie
Pour oser poser la question ?
Ô-Dieu ! Pourquoi m’as tu fait laid
J’ai peur même de contempler la beauté
De pouvoir aimer et enfin vivre en paix
Ô-Dieu ! Pourquoi m’as tu fait laid
Je veux attirer le sourire des femmes
Comme un beau jour du mois de mai
Et non des regards infâmes
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