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Apostats, Athées, à tous nos sœurs et frères en humanité.

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  • #76
    En même temps je comprend que beaucoup d'Algériens ne tentent pas leur chance:

    Art. 144 bis 2. (Nouveau) - Est puni d’un emprisonnement de trois (3) ans à cinq (5) ans et d’une amende de cinquante mille (50.000) DA à cent mille (100.000) DA, ou l’une de ces deux peines seulement, quiconque offense le prophète (paix et salut soient sur lui) et les envoyés de Dieu ou dénigre le dogme ou les préceptes de l’Islam, que ce soit par voie d’écrit, de dessin, de déclaration ou tout autre moyen. Les poursuites pénales sont engagées d’office par le ministère public. (3)

    J'ai de la chance d'être né en France, ici la loi m'autorise à utiliser mon cerveau.

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    • #77
      et je vois que cette loi n'a pas été écrite pour décorer (Rédaction 01 Févr. 2023 à 13:27 TSA):

      L’islamologue Saïd Djabelkhir relaxé en appel

      L’universitaire et islamologue algérien Saïd Djabelkhir a été relaxé en appel par la Cour d’Alger de l’accusation d’offense aux préceptes de l’Islam,
      a annoncé ce mercredi 1er février le concerné sur les réseaux sociaux. L’information a été confirmée par son avocate Fetta Sadat.
      Universitaire spécialisé dans la Charia islamique, Saïd Djabelkhir, 54 ans, a été jugé en première instance devant le tribunal de Sidi M’hamed en avril 2021.
      Il avait écopé de trois ans de prison ferme, sans mandat de dépôt, et de 50 000 dinars d’amende. Le procureur de la République avait requis l’application de la loi.
      L’islamologue était poursuivi pour offense aux percepts de l’Islam suite à une plainte d’un enseignant à l’université de Sidi Bel Abbès et d’un groupe d’avocats pour « offense à l'islam ».
      De nombreux intellectuels en Algérie et à l’étranger se sont solidarisés avec Said Djabelkhir mettant en avant la liberté de conscience garantie par la Constitution, d’autant plus qu’il s’est exprimé en sa qualité d’universitaire spécialiste du sujet.


      Said Djabelkhir : « Un combat pour la liberté de conscience »

      Saïd Djabelkhir avait relevé qu’il était le premier universitaire à être condamné « pour avoir exprimé des idées qui relèvent de son domaine de compétence académique ».
      Après le verdict du tribunal de Sidi M’hamed, il a annoncé qu’il ferait appel du jugement et irait jusqu’en cassation « s’il le faut », estimant que « le combat pour la liberté de conscience est non négociable ». Lors du procès en appel, le parquet de la Cour d’Alger a requis la semaine passée la confirmation de la peine prononcée en première instance.
      Le verdict a été rendu ce mercredi 1er février. L’universitaire est relaxé de toutes les accusations.
      « Merci à tous les amis (es) qui m’ont soutenu dans cette affaire », a-t-il réagi après le verdict.

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      • #78
        Issa, Shadock, Rédha,

        Merci d'avoir apporté la contradiction sous le sujet Allah rendra-t-il aveugles ceux qui se détournent de l’islam ?

        Rien ne vous empêche de continuer à argumenter sur les points que vous jugerez nécessaire, sur les erreurs du Coran relevées par Majid, l'esclavage ou l'âge d'Aïcha j'ai exposé mes arguments que je juge suffisant, vous n'apportez rien de nouveau, je ne n'explorerai pas les considérations vaseuses sémantiques et autres tactiques dilatoires que vous me proposerez pour disqualifier la critique plutôt que de l'analyser sincèrement, chacun pourra lire nos échange et réfléchir librement.
        Je souhaite maintenant explorer de nouveaux sujets concernant le statut et l'identité des femmes dans l'islam, les erreurs scientifiques du Coran, la cruauté dans l'islam...

        Infinite1 ayant pris les devants il me semble intéressant de commencer par les erreurs scientifiques du Coran.

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        • #79
          D'abord une petite analyse du livre et de son contenu (wiki) :

          Qu'est le Coran ?

          Le Coran (القرآن) est le texte religieux pilier central de l'Islam. Les musulmans croient que le Coran est le livre des directives divines et des orientation pour l’humanité.
          Ils prennent le texte dans sa rédaction originale en arabe comme étant la parole littérale d’Allah révélée par l'ange Gabriel à Mohammed pendant une période de vingt-trois années, ils voient le Coran comme la révélation fiable de Dieu, les ulémas disent que le Coran est incréé car il est la parole d'Allah donc l'un de ses attributs.

          Structure et contenu du Coran

          En longueur, le Coran est sensiblement plus court que le Nouveau testament chrétien (avec environ 165.000 mots en Anglais).
          Le texte n’est pas publié dans son ordre chronologique, mais classé, en gros, par longueur des sourates, des plus longues vers les plus courtes.
          Les Ayahs (versets) sont écrits à la première personne (c’est Allah qui parle), ainsi généralement il leur manque le contexte.
          Pour le contexte, les musulmans utilisent les collections de Hadiths (traditions orales qui recueillent les paroles et les actions du prophète et la Sirat (biographie de Mohammed).
          Avec cette aide, les sourates peuvent être séparées en deux categories : celle de la Mecque et celle de Médine.

          Alors qu’il y a au moins 300 références à Allah et à la peur dans le Coran, il y a seulement 49 références à l’amour.
          Sur ces 48 références, 39 sont négatives comme le sont les 14 relatives à l’amour de l’argent, du pouvoir et de la position sociale.

          Trois versets commandent à l’humanité d’aimer Allah et deux versets concernent la manière dont Allah aime un croyant.
          Il y a 25 versets sur la manière dont Allah n’aime pas les kouffars .

          Ceci laisse 5 versets sur l’amour. De ces 5, 3 concernent la famille ou un frère musulman. Un verset commande à un musulman de donner pour l’amour Allah.
          Reste un verset quasi-universel sur l’amour: donnez ce que vous aimez pour la charité.
          Mais même celui-ci est contaminé par la dualité: on ne donne pas la zakat aux pauvres mécréants, car la zakat est à distribuer aux musulmans.

          Les non-musulmans et la punition dans le Coran

          Approximativement 67% des versets de la Mecque concernent la punition des incroyants qui sont en désaccord avec le prophète
          Plus de 50% des versets de Médine concernent les hypocrites et le Djihad contre les incroyants.
          500 versets (en gros un sur douze) dans le Coran entier parlent de l'Enfer
          Environ 400 enseignent sur la haine des Juifs, Chrétiens, Idolâtres and incroyants.

          Le djihad

          Sans inclure les versets qui traitent des merveilleuses récompenses des djihadistes, des mentions génériques de "victoire" et des opinions negatives du prophète sur
          ceux qui ne participent pas au djihad, il y a en gros 164 versets de djihad dans le Coran traitant directement d’expéditions militaires, de combats, de pillages de guerre, etc.

          Immoralité

          Le Coran justifie et permet bien des choses que nous souhaitons considérer comme immorales en 2024:
          Ceci inclut; la haine des Homosexuels, le mensonge, la pédophilie, la polygamie, le racisme, le discrimination religieuse, le terrorisme, la violence contre les femmes, l’esclavage et le viol.
          Bien sûr, même présentées avec les preuves pertinentes tirées du Coran, de telles déclarations seront ignorées par beaucoup comme étant islamophobes.
          Dernière modification par Neufseptrois, 29 janvier 2024, 18h11.

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