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  • #91
    tiziniza:
    merci des photos c superbes, à propos ta pas une photo de "baoulo" ou "9rita" parceque j'ai fain

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    • #92
      @Oujdi
      bonne idée mais trop exploité a Marrakech ! la il y a plus d'agence que de touriste

      @Parisienne
      tu m'as tué de rire !! Baolo ? tu connais !! mon dieu que c'est bon !

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      • #93
        Marrakech c'est une superbe ville pour se promener,découvrir,rencontrer,rever.
        Mais la seul chose qui me manque quand je suis la-bas c'est le poisson,le poisson à la marocaine que l'on retrouve à ELJADIDA,ASFI,ESSAOUIRA, de la mer à l'assiette.J'y vais 4 fois par ans et la meilleur periode je pense est de avril à juin.
        Pour le logement,vous avez raison le mieux sont les hotels que l'on trouve sur place tres bonne qualité est pas cher ou chez l'habitant vous vous promenez avec avec votre sac dans la medina et l'on viendras vers vous vous proposer de la simple chambre à 10 euro et moins au superbe riade.Le chois est vaste donc commencer les visites tres tot et prener le temps de réfléchir.
        MARRAKECH QUAND TU NOUS TIENS.

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        • #94
          apres le vol d'alger casa tu peus toujours conduire pour Marrakech mais il faut faire attention au constuction et les moutons sur la route .

          casa marrakech video en voiture
          Dernière modification par auscasa, 14 mai 2006, 20h22.

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          • #95
            superbe video Auscasa !! le mec est un fou de volant !!
            mais vraiment tres beau a voir !!!

            je me demande en combien de temps ils ont fait le trajet Casa-Marrakech ?!!

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            • #96
              c'est super tous commence de Paris
              http://videos.onestopwebhosting.com/...y%20begins.wmv
              l'arrive au port de Nador
              vue de l'exterieur

              et pour le temps de casa marrakech tu n'as qu'a faire le calcuel un tanger casa a 246 km/h

              http://videos.onestopwebhosting.com/...Casablanca.wmv

              une autre video de la region de fes avec les gendarmes a la fin
              http://videos.onestopwebhosting.com/...gInmorocco.wmv

              bon spectacle et n'essaye pas de faire comme avec ta honda cette ete
              Dernière modification par auscasa, 16 mai 2006, 02h31.

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              • #97
                Nourredine FIDALI : Artiste peintre marocain

                Place Jemaa el Fna

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                • #98
                  Les Sept Saints de Marrakech

                  Les Sept Saints de Marrakech « sebaâtou rijales » : Le Panthéon des Marrakchis

                  La « Dekka Marrakchia », si appréciée de tous les Marocains, ne manque pas d’invoquer les Saints de Marrakech. Par ailleurs, saviez-vous que dire : « Je vais à sebaâtou rijales » signifie que l’on se rend à Marrakech ? D’ailleurs la légende des Sept Saints est telle que l’expression est quasiment devenue un synonyme de la ville ocre. En fait, il y a bien longtemps, le statut de capitale de Marrakech a attiré des gens de tous les horizons. La diversité des origines de la population exigeait un ciment d’unité auquel les saints ont largement contribué. Mais pourquoi sept d’entre eux seulement font partie du cercle étroit des saints patrons de Marrakech ?

                  La tradition des Sept Saints de Marrakech est née suite
                  à une décision politique prise par le sultan Moulay Ismaïl (1672-1727) pour contrebalancer l’influence grandissante des sept saints Regraga autour d'Essaouira. Il en confia l’institution à Hassan El Youssi, grand savant et fin connaisseur du Maroc de l’époque. Celui-ci choisit donc sept saints, dont le seul point commun était d’être enterrés dans divers endroits de la ville. Deux d’entre eux seulement sont nés à Marrakech : Sidi Youssef Ben Ali et Sidi Abdelaziz Tebbaâ.
                  Cadi Ayyad et Sidi Bel Abbas sont originaires de Sebta, Sidi Ben Slimane du Souss, Sidi Abdellah El Ghazouani des Jbala, dans le nord, et l’Imam Souheili d’Andalousie. Un pèlerinage sur les tombes des sept protecteurs de la ville fut institué pour redorer le blason de Marrakech qui souffrait, sur le plan religieux, de la concurrence du pèlerinage des sept saints Regraga. Cette manifestation annuelle eut beaucoup de succès. Elle fut, à partir du XVIIIème siècle, vivement contestée par les Musulmans orthodoxes.
                  Ces derniers rappelaient que le croyant ne pouvait adresser de prières qu'à Dieu seul.
                  Tous ces Saints étaient de grands savants en théologie islamique ou de grands mystiques soufis. Et bien qu’ils soient tous sur un même pied d’égalité du point de vue du culte qui leur est consacré, l’un d’entre eux se distingue dans l’imaginaire des gens : Sidi Bel Abbès Sebti, considéré comme le véritable saint patron de la ville. Les patrons de Marrakech sont tous cités dans une qasida composée par Cheikh El Youssi lui-même. La rime de ce chant ancestral est “aïne”. La qasida s’appelle donc “el Aïna” et invoque les sept saints dans l’ordre où doit s’effectuer la tournée.

                  ***************

                  Les 7 saints de Marrakech ont une realite histrorique. La population les a parent de legendes invraissemblables. Ils etaient tous des celibataires.
                  La saintete a Marrakech n'est pas hereditaire, elle se gagne par initiation grace a une force psychique.
                  Le role social des patrons de Marrakech est primordial. Ces derniers assurent la perennite de la paix, de lajustice…
                  Dernière modification par Tizinissa, 24 mai 2006, 14h32.

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                  • #99
                    Les étapes du pèlerinage

                    La visite - « ziara » - se fait de préférence le vendredi dans l’ordre suivant :

                    Sidi Youssef Ben Ali: le protecteur des lepreux , l’éprouvé, mort en 1196, inhumé à Bab Ghmat. Il était atteint de la lèpre et sa vie se passa dans l’ancienne léproserie de Marrakech. Il fut un modèle émouvant de résignation, de charité et de confiance en Dieu.

                    Originaire du Sahara qu'il quitta jeune pour venir apprendre les sciences religieuses a Marrakech alors capitale du Maghreb. Il fut le brillant eleve du Cheikh Ben Asfour.
                    On l'appelait l'eprouve car il avait beaucoup souffert de son ame et de sa chaire.
                    Il est mort en 593 de l'hegire.
                    La coupole sous laquelle il reposait avait ete construite par les saadiens.
                    Sidi Youssef a pris l'habitude de reciter a voix basse le poeme suivant :
                    « Dieu, dissipe les soucis
                    Dieu, propage la lumiere
                    Dieu, protege les faibles
                    Dieu, pardonne toujours et partout
                    Dieu, ne vous abondonera point »


                    Cadi Ayyad: le juste, mort en 1149, enterré près de Bab Aylan. Il est le plus célèbre des doctes du malékisme en Occident musulman. Son amour du Prophète exprimé magis-tralement dans son ouvrage « Al-Chifaa » et sa rigueur orthodoxe lui valurent son titre de saint.

                    Son père ben Moussa ben Ali etait le grand Imam de Ceuta
                    Ali ben Youssef ben Tachafine l'almoravide l'a nomme Cadi de Grenade
                    A l'avenement des Almoravides, il connaitra l'exil au Tadla puis a Marrakech ou il a vecu jusqu'à sa mort a Bab Aylan.


                    Sidi Bel Abbès: Le saint patron de Marrakech , mort en 1205, enterré près de Bab el Khemis. Il a bâti sa doctrine sur l’éthique du don. Il était le défenseur et le consolateur des pauvres, des déshérités, des malheureux, des handicapés, plus particulièrement des aveugles.

                    Il fut recueilli par son oncle qui le placa dans une medersa.
                    Du Coran, il n'a retenu qu'une seule chose : «la justice recommande la partage des biens ».
                    Il se retourne au pied du Gueliz (Coline a marrakech) et vecut aupres d'une source d'eau a cote d'une grotte.
                    Le Calife Abdel moumen vint lui rendre visite, il n'obtint de lui qu'une phrase « tout ce que tu veux qu'on fasse pour toi fais le pour tes sujets ».
                    Le successeur d'Abdel moumen, Aou youssef yacoub, l'invite a s'installer a Marrakech pour l'enseignement.
                    Il se lia d'une grande amitiee avec avereos.


                    Sidi Ben Slimane el Jazouli: Le guide spirituel , mort en 1465 dans les environs d’Essaouira. Son corps fut transféré à Marrakech. Il est le rénovateur du soufisme marocain en vue d’une mobilisation contre l’invasion ibérique. Auteur du célèbre recueil de prières Dala’il al-Khayrat.

                    Né au Sous, il le quitta jeune pour la recherchedu savoir.
                    Il rejoignit Fes a pied et s'inscrit a la Medersa ou il excella dans le hadith et l'exegere.
                    « Dalil al Khayrat » est le résumé de sa pensé religieuse.

                    De lui proviennent une vingtaine Zawiya eparpillées sur tous le Maroc dont les plus importantes aujourdhui.


                    Sidi Abdelaziz Tebbaâ: Le guerrisseur, mort en 1508, enterré non loin de la Mosquée Ben Youssef. Il est le principal disciple de Sidi Ben Slimane et le propagateur de l’éthique soufie dans les milieux des corporations d’artisans.

                    Sidi Abdelaziz Tebaa, marchand de soie s'interessa tardivement a la vie spirituelle. Il se deplaca a Fes pour y apprendre les rudiments de l'Islam.
                    Il exella dans l'exegere du Coran et du Hadith.
                    Il revint a Marrakech et s'installa a la Mosquee Ben Youssef a cote de laquelle il est enterre.
                    Sur le zellige decorant sa tombe on peut lire encore « Rejouissez-vous, o vous qui venez en pelerinage en ce lieu ! Souez satisfaits. Votre but sera attaeint. L'eclat de la tombe d'Aziz illumine ceux qui la visitent et leur predit le bonheur.
                    O vous qui penetrez dans ce sanctuaire, Dieu vous fera prosperer. Rejouissez vous, la bonte de votre maitre va se repondre sur vous » .


                    Sidi Abdellah El Ghazouani: L'Ascete, dit Moul El Ksour, mort en 1528, enterré non loin de la Mosquée Mouassine.
                    Il consolida le renouveau soufi initié par Sidi Ben Slimane et fascina les populations par ses vertus.

                    Originaire de la tribu berbere de Ghomara, il avait fait des etudes a Fes puis a Grenade ; il a vecu pendant le reigne des wattassides. Il etait revenu a Marrakech pour completer son enseignement aupres de Sidi Abdelaziz Tabaa.
                    Il rejoignit sa tribu ou sa reputation ne tarde pas a porter ombrage au sultanSidi Mohamed Cheikh, qui l'incarcera a Marrakech.
                    Le sultan watasside le liberera et crea a son intention un Zaouia a Fes, en vue de l'eloigner et de l'isoler.
                    Mais tres vite, il quitta Fes et revint a Marrakech qui etait redevenu capitale du Maroc.
                    Sidi El Ghezouani fonda a Marrakech une Zaouia dans le quartier El Ksour.


                    Imam Souheili: le Poéte, mort en 1186, enterré près de Bab Robb. Il est connu pour ses vertus spirituelles, sa poésie soufie et son ouverture d’esprit à un moment de forte censure doctrinale.

                    Les etudiants qui n'ont pas de memoire viennent visiter la tombe de Sidi Souhaeil.
                    Il serait ne dans un village pres de Malaga ou il devint un grand savant
                    Il suivit le roi Yacoub El Mansour a Marrakech ou il finit ses jours.
                    Apres avoir ecrit deux chefs d'eouvre : l'un sur les noms propres des prophetes cites dans le Coran, l'autre sur la biographie de Sidna Mohamed.
                    Sidi Souhail eut une vie simple.


                    Source:
                    « Les Rencontres mondiales Sidi Shiker des affiliés du Tasawwuf », Marrakech, 2004, document du Ministère des Habous et des Affaires islamiques.
                    Dernière modification par Tizinissa, 24 mai 2006, 14h35.

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                    • Les mausolées des Sept Saints

                      Les mausolées des Sept Saints ont été construits à diverses époques. Leur architecture est typique de ce genre d’établissements en milieu urbain :

                      coupoles quadrangulaires recouvertes de tuiles vertes, reposant sur des pièces carrées richement ornées de décors de zelliges, de plâtres sculptés et de bois peints. Les tombes sont recouvertes de catafalques, témoins de la ferveur de millions de pèlerins durant des siècles. Sur les fers forgés des fenêtres, des cadenas sont scellés jusqu’à l’exaucement d’une prière faite au saint : le succès d’une entreprise amoureuse, la venue d’un enfant désiré, le retour d’un être cher, la guérison d’une maladie… Des mendiants, des aveugles et des infirmes élisent domicile devant les sanctuaires durant la journée, quémandant l’aumône des visiteurs. D’autres font commerce de bougies et de flacons d’eau de fleur d’oranger, les unes confiées aux préposés aux mausolées, les autres servant à asperger le tombeau du saint. À Sidi bel Abbès, saint patron des aveugles, une rangée de ces malheureux se tenant coude à coude récitent des versets du Coran à longueur de journée, au rythme des pièces de monnaie qui tintent dans le bol qu’ils tiennent à la main.

                      En entrant dans le mausolée, on ôte ses chaussures et on salue les esprits qui peuplent le lieu sacré. On y vient pour demander une intercession, faire un vœu, remercier le saint pour un autre exaucé. On y vient aussi pour prier, se recueillir, trouver le salut d’une âme égarée dans un monde oppressant, chercher le soutien sûr du saint à défaut de celui, incertain, des vivants, ou plus prosaïquement chercher un peu de fraîcheur les jours de canicule.
                      Les Sept Saints accompagnent également les grandes réjouissances qui ponctuent la vie des gens. Les garçons sont emmenés faire la visite des mausolées la veille de leur circoncision. Le henné de la mariée est porté sur le parcours du pèlerinage pour invoquer la baraka des saints, et leur demander de bénir et de protéger le nouveau couple.

                      Les mausolées des Sept Saints ne sont pas seulement des lieux sacrés ouverts à la visite. Ils sont comme autrefois des espaces d’intense dévotion. Le recueil de prières de Sidi Ben Slimane, fondateur de la Jazoulia, une branche mystique affiliée à la Chadilia, est régulièrement récité de manière collective par les disciples de la voie. Le Mouloud, fête marquant l’anniversaire de la naissance du Prophète, est un moment privilégié pour l’organisation de ces séances de chant religieux sans accompagnement instrumental. Elles ont lieu dans les mausolées des Sept Saints ainsi que dans plusieurs mosquées de la ville et même d’autres régions du pays.

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                      • Sid Bel Abbès: Le saint patron, le Saint des Saints

                        Le mausolée de Sidi Bel Abbès.
                        Le Saint des Saints
                        « Il [Sidi Bel Abbès] est des « sept hommes », le plus invoqué dans les actes essentiels de la vie. Les marchands de beignets lui dédient encore le premier fruit de leur travail, appelé pour cela Al Abbassia, les paysans, leur première gerbe de blé. Les femmes l’appellent à leur secours dans les douleurs de l’enfantement. Son évocation est le prélude nécessaire au rituel de la halqa, évoqué invariablement par tous les conteurs de la place Jemaâ el Fna :

                        « Au nom du saint patron de Marrakech,
                        Celui qui veille sur la ville
                        Immuable
                        Un pied sur l’autre
                        Et qui ne retrouve sa quiétude que si tout le monde est rassasié
                        Enfant du pays ou visiteur étranger ». (*)


                        (*) Ouidad Tebbaâ, « Les Sept Hommes de Marrakech » in Mohamed Sijelmassi, dir., Vivre Marrakech, éditions Oum, à paraître, septembre 2005.

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                        • 7, Le nombre sacré ! sa légende

                          Le chiffre sept a une symbolique cosmologique forte dans plusieurs cultures et religions. Il représente la perfection de toute création : les notes pures de la gamme des couleurs, les sept jours de la semaine, les sept ans correspondant à l’âge de raison. Dans les livres sacrés des religions monothéistes, Dieu créa le monde en sept jours ainsi que les sept cieux. Les dormants d’Ephèse étaient au nombre de sept. Le Coran leur a consacré une sourate, Ahl el Kahf, les Gens de la Caverne, une légende que l’on retrouve sous d’autres formes de la Bretagne à l’Afghanistan et de la Finlande au Yémen. On pourrait multiplier à loisir les exemples attestant de l’importance du chiffre sept dans les traditions monothéistes. A Marrakech, la légende des Sept Saints semble recouvrir une multitude de croyances profondément enracinées chez les Berbères du Maroc.

                          À Rissani dans le Tafilalet, le sanctuaire de Sbaâ rsan - les Sept Mariés - est dédié à sept frères qui se donnèrent la mort parce que leurs familles avaient refusé les épouses de leur choix. Plus proche de Marrakech est le pèlerinage des Regraga qui perpétue le daour, la visite des tombeaux des Sept Saints fondateurs de la confrérie des Chiadma, situés dans l’arrière-pays d’Essaouira.
                          À Marrakech même, deux endroits de la médina matérialisent le souvenir d’une tradition des Sept Hommes protecteurs de la cité : d’une part, un sanctuaire proche du tombeau de Sidi Bel Abbès et contenant sept petites tombes alignées l’une à côté de l’autre, d’autre part, un long derb - ruelle - portant le nom de Derb Sebâtou Rijal (ruelle des Sept Hommes), situé dans le quartier des tanneurs, à l’est de la ville. De ce point de vue, les Sept Saints de Marrakech renvoient à une tradition berbère antérieure à la consécration des saints musulmans qui constituent aujourd’hui le panthéon de la ville.

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                          • Les personnalités succombent au charme de Marrakech

                            L’hebdomadaire « Jeune Afrique » écrit dans sa dernière livraison que les hommes et les femmes de pouvoir succombent au charme de Marrakech, la perle du Sud marocain qui donne l’impression de ne plus vivre que par et pour le tourisme.

                            De Jean-Louis Borloo, à Madonna et de Dominique Strauss-Kahn à Bernard-Henry Lévy ou à Thierry de Beaucé, nombre de dirigeants politiques, chefs d’entreprise, intellectuels médiatiques et célébrités du Show-biz ont à Marrakech une résidence secondaire. Lle temps est loin où, dans les rues de Marrakech l’on pouvait voir surgir un improbable palmier au beau milieu de la chaussée, les routes sont désormais impeccablement goudronnées, les trottoirs soigneusement pavés et -fait probablement unique au Maghreb- abondamment fleuris.

                            L’aéroport de Marrakech est si souvent embouteillé qu’il a fallu procéder à une extension des terminaux 1 et 2. Sur le tarmac, les compagnies de charters (Aigle Azur, Atlas Blue, Air Méditerranée) se bousculent pour desservir plusieurs fois par semaine, voire par jour, les principales villes européennes, notamment Paris, Bruxelles, Lyon et Madrid.

                            La ruée des touristes français vers la perle du Sud marocain avait commencé en 1999 lorsque la célèbre émission de la chaîne de télévision française M6 Capital avait réalisé un reportage sur la ville, démontrant que pour le prix d’un modeste pavillon en banlieue parisienne, il est possible d’acquérir un somptueux Riad à Marrakech. Une véritable déferlante gauloise va s’en suivre. Plus de cinq mille résidents permanents sont inscrits aujourd’hui au consulat de France à Marrakech. Parmi ces résidents français, figurent beaucoup de retraités, des galeristes, architectes, décorateurs d’intérieur, restaurateurs et gérants de Riads transformés en maison d’hôtes.

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                            • Tizinissa

                              Bientôt une autre personnalité à Marrakech !
                              « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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                              • Faut se depecher on affichera bientôt complet

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