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Relancer le sport équestre en Algérie

dimanche 6 juillet 2008, par Rédaction

Le sport équestre reste peu développé en Algérie mais plusieurs cavaliers algériens se disent optimistes quant à l’avenir de leur sport favori.

Le sport équestre en Algérie.

Trois jours de concours ont eu lieu à la grande joie des amoureux du cheval et ils étaient assez nombreux, vendredi pour la finale des épreuves. Le championnat d’Algérie Senior de saut d’obstacle a été remporté vendredi par le cavalier Akkache Hamid et son cheval Jamaïke. Il représente le Club hippique CE Mohamadia. Il a été sacré à la fin du concours international, organisé du 2 au 4 juillet par le club hippique algérois du Caroubier, en collaboration avec l’Office public des parcs et loisirs d’Alger (OPlA). La manifestation, qui se veut avant toute chose pour objectif de relancer l’activité du CHA, s’est tenue sous l’égide de la Fédération équestre algérienne. Ainsi, trois jours de concours ont eu lieu à la grande joie des amoureux du cheval et ils étaient assez nombreux, vendredi pour la finale des épreuves. Onze clubs nationaux se sont disputés les différentes épreuves du FEIB. Le concours de saut d’obstacle dont les parcours et les règles sont dictés par la Fédération équestre internationale. Le FEIB est une épreuve qui se déroule selon les mêmes règles dans chaque pays mem-bre de la fédération. Elle concerne les cavaliers et amazones cadets et seniors, du 1er et 2e degrés et inclut des obstacles de 1,10 m, 1,2 m jusqu’à 1,35m et de 1,10 à 1,50 m pour les seniors. L’épreuve du FEIB a été remportée par Drissi Mehdi du Club Etrie oranais, et son cheval Blanco.

Ainsi et au-delà de l’organisation de ce challenge, une vive volonté de relancer l’association et de donner un souffle nouveau au sport équestre en Algérie est ressentie chez les trois cavaliers et tous ceux qui les ont aidés et encouragés pour organiser une telle manifestation en trois semaines seulement. « Nous allons élire un bureau, tracer un plan de travail, former une des équipes, cadets, et juniors, créer une école et faire tout pour redorer le blason de ce sport et de l’association », a avancé de son côté M Louafi. Il a tenu par ailleurs à préciser que « l’OPLA a énormément aidé à la réalisation du FEIB, contrairement à ce qui se disait ». « L’Opla ne bloque pas les activités, elle nous a aidés bien au contraire. »

Synthèse de Rayane, www.algerie-dz.com
D’après le Jour d’Algérie