Malgré sa traversée "d'années de sang" et de son "bannissement international", force est de reconnaître qu'aucun autre pays n'a pu ou su prendre la place de leader du Maghreb convenu de facto à l'Algérie auparavant de 1990.
Seule peut-être la Libye-cette mer de pétrole- aurait pu suppléer à l'Algérie mais tel en fut pas le cas dès lors que la nation de Kadhafi par un concours de circonstances invraisemblable s'était aussi vue être mise au "banc des bannis".
Donc qui d'autre-à supposer- que l'Algérie en chef de file maghrébin?
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L’ingérence étrangère, voilà l’ennemi, a martelé Gaïd Salah, un «
Seule peut-être la Libye-cette mer de pétrole- aurait pu suppléer à l'Algérie mais tel en fut pas le cas dès lors que la nation de Kadhafi par un concours de circonstances invraisemblable s'était aussi vue être mise au "banc des bannis".
Donc qui d'autre-à supposer- que l'Algérie en chef de file maghrébin?
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L’ingérence étrangère, voilà l’ennemi, a martelé Gaïd Salah, un «
défi que nous devons relever en pleine co-responsabilité ».
Source: mensuel Afrique-Asie
Washington et Paris, qui, l’une et l’autre, n’ont pas renoncé à prendre
pied dans la zone ou à y consolider saprésence, doivent prendre note de
cette détermination.pied dans la zone ou à y consolider saprésence, doivent prendre note de
Source: mensuel Afrique-Asie
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