Ali Belhadj devant le juge
L’ancien dirigeant du FIS dissous Ali Benhadj comparaîtra en justice aujourd’hui à Alger pour incitation à la révolte et atteinte à la sécurité et l’intégrité de l’état et d’incitation à l’attroupement armé.
L’ex-numéro 2 du FIS a été arrêté au premier jour des émeutes du sucre et de l’huile au début du mois en cours dans un quartier de Bab El Oued (Alger) alors qu’il prenait part à une manifestation de jeunes qui se sont élevés contre la vie chère. Le N°2 de l’ex-parti du Front Islamique du Salut dissous a été relâché après avoir été mis en examen.
Quatre autres islamistes qui accompagnaient Belhadj lors de son arrestation ont été également relâchés. Ali Benhadj qui a déjà purgé une peine de 12 années de prison risque selon les chefs d’inculpation d’ y retourner encore.
Au sujet de son arrestation Ali Belhadj a déclaré « J’ai été en route vers la présidence de la République, porteur d’un message des manifestants avant que je ne sois interpellé par des policiers». Comme à ses habitudes, le lieutenant de Abassi Madani n’a pas manqué de tirer à boulets rouges sur les pouvoirs en Algérie et en Tunisie, les accusant d’être les valets des Européens, Américains et d’Israël.
L’ancien dirigeant du FIS dissous Ali Benhadj comparaîtra en justice aujourd’hui à Alger pour incitation à la révolte et atteinte à la sécurité et l’intégrité de l’état et d’incitation à l’attroupement armé.
L’ex-numéro 2 du FIS a été arrêté au premier jour des émeutes du sucre et de l’huile au début du mois en cours dans un quartier de Bab El Oued (Alger) alors qu’il prenait part à une manifestation de jeunes qui se sont élevés contre la vie chère. Le N°2 de l’ex-parti du Front Islamique du Salut dissous a été relâché après avoir été mis en examen.
Quatre autres islamistes qui accompagnaient Belhadj lors de son arrestation ont été également relâchés. Ali Benhadj qui a déjà purgé une peine de 12 années de prison risque selon les chefs d’inculpation d’ y retourner encore.
Au sujet de son arrestation Ali Belhadj a déclaré « J’ai été en route vers la présidence de la République, porteur d’un message des manifestants avant que je ne sois interpellé par des policiers». Comme à ses habitudes, le lieutenant de Abassi Madani n’a pas manqué de tirer à boulets rouges sur les pouvoirs en Algérie et en Tunisie, les accusant d’être les valets des Européens, Américains et d’Israël.
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