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Tension à Tigzirt après une descente de gendarmes dans une cafétéria fréquentée par des non-jeûneurs

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  • #61
    C'est le seul endroit où j'ai vu des amis jeûneurs et non jeûneurs mélangés. Les uns prenant leur café tout en discutant avec les autres qui font le carême, ça n'a tué personne
    Comme au bon vieux temps,et non au temps de cette nouvelle génération, sachant tout sur tout, et née bien avant tout le monde

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    • #62
      massnen
      non un vrai algérien ne mangeras jamais devant un musulmans
      arrêter de supporter ces jeunes et leur actions non respectables
      certes ils sont libres de faire ou pas faire le ramadhan juste ils ne doivent pas manger en public
      c'est pire qu'une insulte

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      • #63
        non un vrai algérien ne mangeras jamais devant un musulmans
        C'est donc toi qui distribue lles passeport à la Daira ....
        شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

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        • #64
          histo
          non moi je distribues les règles de comportement envers les jeuneurs

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          • #65
            Ils mangeaient dans un commerce pas en public

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            • #66
              mmamellus
              c'est pire encore
              ce commerce est un café

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              • #67
                Non c'est une cafétéria. Et alors c'est quoi le problème y a rien qui l'empêche d'ouvrir, arrêtez de croire que 100 % des algériens sont pratiquants

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                • #68
                  Et je ne sais pas pourquoi les gendarmes se sont acharnés sur cette cafeteria.
                  Beaucoup d'établissement servent à manger tout au long du Ramadhan. On y trouve des gens venus d'Alger, Boumerdès, Dellys pour casser la croûte tranquillement sans jugement de valeur !

                  Laissez les gens tranquilles ! Celui qui veut jeûner, qu'il le fasse et celui qui veut manger, qu'il mange !
                  Jeûner c'est bien. Manger c'est mieux.

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                  • #69
                    pas uniquement a tigzirt mais partout en kabylie y a eu toujours des gens qui jeunent d´autres non sans que ca cree des tensions entre populations. ailleurs en algerie j´en suis sur qu il ya autant de gens qui ne jeunent pas mais le font discretement . peut etre qu en kabylie les gens sont moins hypocrites.

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                    • #70
                      apres tout c est un truc personnel,les gendarmes n ont rien a foutre la dedans

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                      • #71
                        avucic je te le répète qu'ils aillent en france ou en israel tous comme ces athés marocains
                        Il feront ça le jour où tu prouveras que l'Algérie est une possession de ton père et qu'ils sont des invités chez toi!

                        Et je ne sais pas pourquoi les gendarmes se sont acharnés sur cette cafeteria.
                        Tout simplement parce qu'ils se sentent investis d'une mission divine!.. Dire qu'on attend de terroristes de lutter contre le terrorisme!...

                        Ils mangeaient dans un commerce pas en public
                        Dans un lieu fermé! Personne n'est trainé de force à l'intérieur et obligé de manger!... Pourquoi y aller chercher la petite bête?!
                        "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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                        • #72
                          On la connaît l'embrouille depuis le temps de faire passer la Kabylie pour des kouffars alors que c'est la région d'Algérie où il y a le plus de mosquées, comme par hasard quand c'est ce genre de fait divers ça se passe toujours en Kabylie, à croire que les 30 autres millions d'algériens sont tous des saints

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                          • #73
                            On la connaît l'embrouille depuis le temps de faire passer la Kabylie
                            Si refuser l'intégrisme et le terrorisme islamiste c'est être kaffer, alors la Kabylie en est fière!...
                            "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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                            • #74
                              Je parle des histoires des non jeûneurs t'emballes pas

                              Commentaire


                              • #75
                                Algeristan

                                Je parle des histoires des non jeûneurs t'emballes pas
                                T'inquiète!
                                On connait la chanson...

                                Algeristan
                                On l’attendait. Chaque Ramadhan a droit à son lot de mécréants “casseurs” de jeûne débusqués par les Vigiles de la Vertu. Nos services arrivent toujours à en cueillir quelques-uns, quitte à aller les déloger d’un chantier de Aïn El Hammam ou dans la cafeteria insoumise dans un village perdu du côté de Tigzirt.
                                Pour l’exemple, peut-être. Mais sûrement aussi pour montrer aux “frères” que l’État s’acquitte consciencieusement de sa mission sacrée. Si le projet de la grande mosquée ne suffisait pas, peut-être que le harcèlement des mauvais pratiquants finira-t-il par les convaincre que la religion est bien défendue par le pouvoir en place et qu’il n’est, alors, nul besoin de porter un “vrai” parti islamiste au pouvoir. Le syndrome Belkhadem, en quelque sorte.
                                Mais il ne faut pas croire que les agents qui traquent le transport d’alcool, pourchassent les non-jeûneurs ou vérifient la chasteté des filles croisées en douteuse compagnie, ne le font que pour exécuter les directives rigoristes de leurs chefs. Ils le font aussi pour le compte de leur propre conviction intégriste. En effet, l’engagement dans ce genre d’intervention est parfois tel que le seul impératif d’ordre public ne suffit pas à l’expliquer.
                                L’École fondamentale est passée par là. Depuis tant de générations. Le glissement s’étant opéré de manière progressive, la frontière chronologique entre une société algérienne susceptible de se concevoir dans un État de droit régi par des règles civiles d’organisation et une société dont les membres ne se représentent aucune autre autorité que celle, divine, que leur traduisent les imams et les milliers d’exégètes autoproclamés. Même si, dans notre droit, certaines lois séculières subsistent chez la plupart des Algériens, y compris dans les institutions, il n’y a, mentalement, plus de place au droit positif.
                                Au lieu de réformer l’État, l’on a réformé la société. Pour les besoins du compromis avec un islamisme belliqueux qui menaçait le système dans sa survie, le pouvoir lui a cédé les institutions formatrices de la société du futur (École, mosquées, mouvement associatif, mouvement sportif, eh oui !…). Ce faisant, il croit avoir gardé la main sur les institutions qui lui assurent le contrôle immédiat de la société : la force publique, la justice, le budget… Mais c’est oublier que toutes les institutions recrutent dans la société. Et que toutes les recrues ont subi l’épreuve du même “tronc commun” culturel, celui de l’École fondamentale, de l’ENTV, des “akhina” de quartiers.
                                Dans les années 1990, nous avons vu les parents se convertir aux religions de leurs enfants, celle qui privilégie les apparences qui uniformisent au fond spirituel qui libère. Celle qui concilie les manifestations d’un regain de religiosité avec une recrudescence, mesurable celle-là, de la délinquance et du crime.
                                De la même manière que ces parents, surpris par la violence de leurs enfants fraichement convertis à l’islamisme, ont dû obtempérer à leurs sommations rédemptrices, le pouvoir devra s’adapter à l’idéologie dominante de son personnel : celle qui se moque de l’ordre d’ici-bas, puisqu’elle donne les moyens du salut ultime.
                                Le jour où le système voudra céder la place à la République du droit et de la modernité, il se rendra compte que, chacun ayant choisi sa chapelle confessionnelle, plus personne n’en veut !


                                M. H.
                                "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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