Économie : les promesses non tenues du 1er Novembre
Les experts dressent le bilan, 60 ans après le déclenchement de la révolution
Économie : les promesses non tenues du 1er Novembre
Journal liberté du 30 Octobre 2014
Au moins il reste des Algériens qui ont le courage de regarder la réalité en face, j'avais perdu espoir en lisant le flot de parasitage sur ce fil.
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Aujourd’hui, a-t-il noté, cette justice sociale se dégrade.
Les revenus se concentrent davantage. La campagne est plus dans la misère que la ville. L’État continue de venir au secours de cette justice à travers les dépenses publiques ou les transferts sociaux, directs et indirects qui ont atteint 25% du produit intérieur brut. “Est-ce que c’est la solution ?” s’interroge le professeur qui parle “d’une situation intenable”. Le professeur Abdelhak Lamiri rappelle que l’Algérie, en 1962, avait un PIB de presque 4 milliards de dollars. En 2013, le PIB de l’Algérie, hors hydrocarbures, est évalué à
141 milliards de dollars. La Corée du Sud avait un niveau de développement proche de celui de l’Algérie avec un PIB de 3,4 milliards de dollars. Mais aujourd’hui son PIB a atteint
1 250 milliards de dollars.
Qu’est-ce qui a empêché l’Algérie d’être un pays dragon, comme ceux qui ont une croissance de 8% et plus ? M. Lamiri évoque l’excès de centralisation, l’organisation économique peu efficace, l’absence d’une institution cerveau... Le conférencier indique que les pays qui ont une forte croissance, ce sont ceux qui ont financé la mise à niveau des cerveaux, d’abord et puis peu d’infrastructures par la suite. “Nous avons exagéré dans la direction des infrastructures”, a-t-il indiqué.
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Les experts dressent le bilan, 60 ans après le déclenchement de la révolution
Économie : les promesses non tenues du 1er Novembre
Journal liberté du 30 Octobre 2014
Au moins il reste des Algériens qui ont le courage de regarder la réalité en face, j'avais perdu espoir en lisant le flot de parasitage sur ce fil.
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Aujourd’hui, a-t-il noté, cette justice sociale se dégrade.
Les revenus se concentrent davantage. La campagne est plus dans la misère que la ville. L’État continue de venir au secours de cette justice à travers les dépenses publiques ou les transferts sociaux, directs et indirects qui ont atteint 25% du produit intérieur brut. “Est-ce que c’est la solution ?” s’interroge le professeur qui parle “d’une situation intenable”. Le professeur Abdelhak Lamiri rappelle que l’Algérie, en 1962, avait un PIB de presque 4 milliards de dollars. En 2013, le PIB de l’Algérie, hors hydrocarbures, est évalué à
141 milliards de dollars. La Corée du Sud avait un niveau de développement proche de celui de l’Algérie avec un PIB de 3,4 milliards de dollars. Mais aujourd’hui son PIB a atteint
1 250 milliards de dollars.
Qu’est-ce qui a empêché l’Algérie d’être un pays dragon, comme ceux qui ont une croissance de 8% et plus ? M. Lamiri évoque l’excès de centralisation, l’organisation économique peu efficace, l’absence d’une institution cerveau... Le conférencier indique que les pays qui ont une forte croissance, ce sont ceux qui ont financé la mise à niveau des cerveaux, d’abord et puis peu d’infrastructures par la suite. “Nous avons exagéré dans la direction des infrastructures”, a-t-il indiqué.
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