La Coordination nationale pour les Libertés et la transition démocratique (CNLDT) a appelé à marcher, mardi 24 février, à Alger pour se solidariser avec les manifestants d'In Salah et dénoncer l'exploration du gaz de schiste. Plus de 30000 policiers ont été déployés dès l'aurore dans les principaux axes de la capitale. Obejctif ? Empêcher les opposants à l'exploitation du gaz de schiste de se rassembler et surtout d'encercler les militants.
Les principaux leaders de l'opposition qui devaient se retrouver à la Grande Poste ainsi que les autres manifestants ont été empêchés de se rassembler. Très vite, la police a procédé d'une manière brutale aux premières arrestations. Selon les premières informations qui nous sont parvenues, il y aurait une soixantaine de personnes arrêtées.
A Boumerdès, la répression a été encore plus féroce, les policers n'ont pas hésité un moment pour matraquer à tout va les étudiants qui ont tenté de se réunir. On parle ici encore d'une dizaine d'arrestations et de nombreux manifestants traumatisés par la répression policière.
L.M.
Les principaux leaders de l'opposition qui devaient se retrouver à la Grande Poste ainsi que les autres manifestants ont été empêchés de se rassembler. Très vite, la police a procédé d'une manière brutale aux premières arrestations. Selon les premières informations qui nous sont parvenues, il y aurait une soixantaine de personnes arrêtées.
A Boumerdès, la répression a été encore plus féroce, les policers n'ont pas hésité un moment pour matraquer à tout va les étudiants qui ont tenté de se réunir. On parle ici encore d'une dizaine d'arrestations et de nombreux manifestants traumatisés par la répression policière.
L.M.
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