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Said SAADI:«Avril 1980 doit devenir un référent nord-africain»

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  • #46
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    Concernant l'assassinat de jeunes kabyles en 2001, la commission Issaad a fait un travail remarquable et a remis un rapport officiel d'enquete qui confirme que ces crimes ont été commandité par je cite "des forces suffisamment puissantes pour contrer les ordres de la hiérarchie militaire qui régente le corps militaire de gendarmerie". Une opération diligentée pour contrer à son époque les réformes entreprises ici et là. L'exploitation éhontée des Arouchs, dont certaines figures de prou ont été particulièrement médiatisés par une certaine presse aux ordres a finis par démontrer aux yeux des kabyles les réelles intentions derrière cette opération.
    je te parle de jeune Algériens lâchement assassiné par l’état, tu me parle des rigolo des arouch, ce mouvement dit des arouch a été enterrer le 14 juin 2001, pour le reste les conclusions de cette commission que tu concidéres a juste titre comme remarquable ne ta pas empêché de voté en 2004 pour qui on sais

    toi qui aime bien le ffs regardes ce que disait ait ahmed en 1980 tu seras surpris http://www.oocities.org/hocine_ait_ahmed/berbere.htm
    "Penser globalement, agir localement" Jacques Ellul

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    • #47
      Je confirme que j'ai voté et soutenu Bouteflika en 2004 contre la mafia qui se cacher derrière Benflis, et la compagne de presse orientée par la meme mafia.
      Othmane BENZAGHOU

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      • #48
        KABYLIE: LES DESSOUS DE L’ENQUÊTE DE LA COMMISSION ISSAD

        Algeria Interface, 8 mai 2003

        Alger, 8 mai 2003 - En juillet 2001, la commission nationale d’enquête sur les événements de Kabylie, présidée par l’avocat Mohand Issad, rendait son rapport au chef de l’Etat. Ce document, qui suggère les noms des responsables de la répression, a été jeté aux oubliettes par la Présidence et n’a pas été exploité par le mouvement des aârouch, les partis politiques ou les journaux. Comment cette enquête a-t-elle été possible? Mohand Issad livre avec prudence l’envers du rapport.


        Alger, 8 mai 2003 - Le 2 mai 2001, rentré chez lui après une matinée ordinaire de travail dans son cabinet de la place des Martyrs, Mohand Issad savoure tranquillement une cigarette lorsque le téléphone sonne. Au bout du fil, Ali Benflis lui demande de lui rendre visite au Palais du gouvernement. Même si le Chef du gouvernement n’est pas un inconnu pour Mohand Issad - «C’est quelqu’un que je connais, on se tutoie, c’est un confrère et un ami» -, sa surprise est grande. Il faut dire que depuis qu’il a rendu, à l'automne 2000, le diagnostic du système judiciaire algérien dans un rapport commandé par la Présidence, ce spécialiste de droit international ne s’occupe plus que de son cabinet et de ses cours à l’université.

        Lorsqu'il retrouve M. Benflis et qu’il s’entend demander de présider une commission d’enquête sur les événements de Kabylie, la première réaction de Mohand Issad est de s’écrier: «Pourquoi moi? Qui m’a fait cette vacherie?!». Aujourd’hui, évoquant ces événements avec plus ou moins de sérénité et de distance, cet avocat «au sens aigu de l’Etat», affirme avoir accepté cette mission parce qu’il ne pouvait «pas se dérober».

        «Ce n’est pas un cadeau, les gens doutaient de moi, moi aussi je doutais…» C’est pourtant sans avoir demandé le moindre délai de réflexion que Mohand Issad a rendu sa réponse à Ali Benflis, sans avoir non plus exigé d’engagements particuliers du gouvernement. Il s’en est tenu, explique-t-il, à la parole donnée par Benflis: «Il m’a dit: tu fais ce que tu veux, tu composes ta commission comme tu veux, tu entends les personnes que tu veux, tu te déplaces comme tu veux, et on met les moyens à ta disposition». Mohand Issad ne rencontrera le président Bouteflika qu’une fois le rapport rendu, trois mois plus tard, en juillet 2001. L’avocat est lapidé d’avance par journaux et militants politiques, coupable selon eux d’avoir accepté de diriger une commission dont on affirmait d’emblée qu’elle n’aura d’autre mission que de blanchir le pouvoir des crimes commis contre les jeunes manifestants. Une hostilité que Mohand Issad explique: «Le pouvoir laisse faire, puis crée une commission d’enquête, ça peut paraître farfelu. Ensuite, une enquête se fait sur un événement clos, mais nous, nous étions en mission alors que les événements en Kabylie se poursuivaient. Cela peut paraître surréaliste». Et de reconnaître: «Nous-mêmes, nous n’étions pas convaincus.»

        Des envoyés spéciaux, membres de la commission
        Une fois revenu de sa surprise, Me Issad téléphone aux personnes qu’il veut faire participer à l’enquête, en général celles avec qui il avait déjà travaillé pour le rapport sur la réforme de la justice. Deux autres personnes ont «été envoyées», dit Me Issad, pour faire partie de la commission: «On m’a suggéré deux personnes. Je les ai prises toutes les deux et je ne le regrette pas. J’ai eu un peu de mal à travailler avec l’une d’entre elles, à cause de son caractère. J’ai en revanche gardé des relations amicales avec la deuxième. Celui-là, en fait, on ne me l’a pas suggéré, il est venu tout seul. Mais je me doutais bien qu’il était envoyé.» L'avocat fait probablement référence à des agents des services de renseignement. En tout cas, interrogé sur l'identité de ces personnes et de ceux qui les envoient, il ne répond pas: «Je n’en sais rien, mais je ne regrette pas, il s’est montré dévoué et loyal». Il accepte la présence de ces «membres spéciaux» de la commission parce que, dit-il, «si on m’envoie quelqu’un, l’essentiel est que je sache qu’il est envoyé, s’ils sont capables de me faire avaler n’importe quoi ça veut dire que c’est moi qui suis un imbécile.»

        Issad crée aussi la surprise en invitant six directeurs des «journaux les plus en vue» à participer à l’enquête. «Je leur ai dit: ce n’est pas une œuvre clandestine, venez, si je suis manipulé, vous en serez les meilleurs témoins et je vous autorise à publier au fur et à mesure qu’on avance.» L'invitation a été déclinée. «Ce sont eux qui ont refusé. Je leur ai marqué un point. Je pense que ça les a gênés. Ils ne s’attendaient pas du tout à cette offre-là». Le meilleur moyen de démontrer son indépendance, dit-il, était «d’inviter précisément ceux qui n’ont jamais cru à l’indépendance de quiconque dans ce pays: les journalistes». Les directeurs de ces journaux ont prétexté l’incompatibilité entre leur «mission d’informer» et celle «d’enquêter». Me Issad, «pas très convaincu» par cet argument, est tout de même satisfait: «J’étais content de les avoir sollicités et je suis content qu’ils aient refusé. Ils m’auraient empoisonné l’existence. Si ce qu’on dit est vrai, que chaque journal a sa chapelle, vous imaginez la difficulté dans laquelle on m’aurait mis!»

        La commission reçoit des kilos de documents
        Le 16 mai s’est tenue la première plénière sans que la liste des 26 membres ait jamais été transmise à la Présidence ou au gouvernement. Les ministères de l’Intérieur et de la Justice, la Direction générale de la sûreté nationale (police, ndlr), la Gendarmerie nationale, le Département de renseignement et de sécurité (DRS, ex-Sécurité militaire) du ministère de la Défense, les groupements de gendarmerie de Tizi-Ouzou et Béjaïa ainsi que ces deux wilayas ont été destinataires d’un même courrier. «Je leur ai demandé de nous envoyer les correspondances, ordres, rapports, enregistrements des messages radio et téléphoniques, entre le 18 et le 30 avril 2001 sur les wilayas de Boumerdes, Tizi-Ouzou, Bejaia, Sétif et Bouira», rappelle Mohand Issad. Huit jours plus tard, ces documents parviennent à la Cour suprême, où siège la commission. «Je n’ai pas eu la transcription des conversations téléphoniques ou radio, ailleurs ça se fait, nous avons eu les fax». Seul le DRS a répondu par un: «Nous ne sommes pas impliqués, ce n’est pas notre mission». Chose étonnante s'il en est: non seulement le DRS est pleinement impliqué dans la vie politique nationale, mais il dispose surtout de centres d'investigation au niveau de toutes les wilayas et qui n'ont pas pu assister en simples spectateurs à des émeutes d'une telle violence dans une région aussi sensible que la Kabylie. Issad, lui, affirme: «Nous n'avons pas rencontré le DRS au cours de nos investigations. En revanche, les autres institutions sollicitées par la commission nous ont transmis des documents essentiels. Ça prouve qu’elles n’ont pas censuré ou qu’elles n’ont pas eu le temps le faire.»

        La commission a également reçu des rapports d’autopsie, des projectiles, provenant de plusieurs parquets de Kabylie et livrés sous scellés par le ministère de la Justice. Une équipe d’experts en balistique a été dépêchée par la DGSN sur demande de la commission. Issad est étonné par la disponibilité de tous ces services. «Nous n’avons pas fouillé pour savoir s’ils nous ont caché des choses. Mais ils nous ont envoyé des kilos de documents, beaucoup de photos, des cassettes, ils ont été d’une disponibilité totale.» Issad écarte l’idée de s’entretenir avec les responsables hiérarchiques du ministère de l’Intérieur, de la DGSN ou de la Gendarmerie, car dit-il, «je n’ai jamais vu un responsable algérien reconnaître sa responsabilité dans quoi que ce soit». Le travail est partagé entre ceux qui compulsent les documents à Alger et ceux envoyés en Kabylie pour enquêter. Cinq groupes de travail épluchent les documents reçus. «J’étais le seul à centraliser toute l’information, je l’ai fait à dessein pour que personne n’ait la totalité de l’information, afin d'éviter les fuites. Je ne voulais pas qu’on anticipe sur les conclusions de l’enquête».

        Il n’y a pas eu de machination
        C’est Me Ghouadni Mahi, bâtonnier d’Oran, qui a rencontré, à la prison militaire de Blida, le gendarme Mestari Merabet, qui a tout déclenché en tirant sur Massinissa Guermah le 18 avril 2001, dans la brigade de gendarmerie de Beni Douala. Entre sa déposition préliminaire et celle présentée devant le juge d’instruction militaire, Mestari change de version. Mais «c’est un pauvre gosse perdu que rencontre Me Ghouadni à la prison de Blida, dit Me Issad, ce n’était plus le Mestari d’avant. On m’a dit de lui, sous toutes réserves, qu’à Beni Douala, il jouait un peu les Rambo, comme tout garçon revêtu de l’uniforme et portant une kalachnikov. Mais en prison, en attendant de passer devant le tribunal militaire, il s’aperçoit qu’il a été à l’origine d’un séisme. On lui dit: «tout cela c’est de ta faute». Ce n’était plus le même homme. On découvre en prison un garçon effaré. Qu’il change de version ne m’étonne pas du tout». Ce qui est arrivé dans la brigade de gendarmerie de Beni Douala, conclut Me Issad, n’a pas été prémédité pour faire plonger la Kabylie dans le chaos.

        «Nous n'avons pas décelé de complot. Je suis persuadé que les événements ont été récupérés après, en cours. Quand on prépare un complot, on n’en confie pas l’exécution à un semi-analphabète comme Mestari. On ne commence pas par ramasser des collégiens sur le chemin du stade pour les tabasser. Les complots se trament, se conçoivent de façon plus sophistiquée.» Le geste de Mestari contre Guermah, estime Mohand Issad, n’est qu’un acte d’abus de pouvoir comme il y en a tant, prolongement de l’impunité dont bénéficient les gendarmes. Issad ne pense pas que Mestari ait délibérément voulu tuer Guermah. Mais il a commis une série de fautes tellement graves que les juristes assimilent son acte à l’homicide volontaire. «Il a peut-être voulu tirer à côté, peut être ailleurs, le problème ne se pose pas comme ça pour les juristes, la question est: a-t-il voulu tuer?» Pour Me Issad, le cas Mestari, en lui-même, «n’est qu’une affaire de police judiciaire, il n’est pas parlant, ce qui est important ce sont les 123 morts et le lien entre tous ces morts».
        Othmane BENZAGHOU

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        • #49
          ./..


          «Fouillez les gendarmes avant chaque sortie !»
          Dès que la dépouille de Massinissa Guermah a été ramenée de l'hôpital d’Alger à Beni Douala et qu’il a été enterré en présence de plus de 4.000 personnes, «ça a été comme une traînée de poudre», dit Mohand Issad. «Là, il y a eu ordre de tirer sur la foule, je pense qu’on leur a dit: défendez vos brigades, défendez la République». Pourtant, les membres de la commission qui examinent les correspondances de la gendarmerie découvrent plusieurs instructions datant du 15 avril (en prévision des commémorations annuelles du «Printemps berbère» de 1980), du 25 avril et du 21 mai 2003, interdisant l’usage des armes contre les manifestants et ordonnant que «les munitions de guerre (soient) retirées aux personnels agissant en opération de maintien de l’ordre». Le message du 21 mai, émis par le commandant du groupement de gendarmerie de la wilaya de Béjaïa, ordonne même «la fouille à corps» de chaque gendarme avant chaque sortie. Le rapport contient des extraits de telles instructions et, à ce jour, il n’y a pas eu le moindre démenti.

          Mohand Issad garde de la découverte du message du 21 mai un souvenir épique. «Imaginez ça! La personne qui a découvert ce document est venue en tremblant me voir, elle me dit: ce n’est pas normal, c’est le groupement de gendarmerie qui ordonne la fouille des gendarmes. Les gendarmes n’obéissent-ils pas? Il ne suffit pas de leur interdire de tirer, il faut en plus les fouiller! Mais dans quel pays nous vivons?» La découverte de cette pièce oriente l’enquête: «nous nous sommes dit que, probablement, d’autres instructions sont parvenues aux gendarmes leur disant: n’écoutez pas vos chefs, tirez.»

          La loi est claire, mais personne ne veut la lire
          «Personne n’a contesté nos conclusions. La presse a dit: il n’y a pas de noms. Moi je réponds: vous êtes stupides, vous ne savez pas lire. C’est volontairement que nous avons décidé de ne pas donner de noms.» Pour Mohand Issad et toute son équipe, les noms et les postes de responsabilité de ceux qui ont donné l’ordre de tirer peuvent être clairement déduits du rapport. C’est à la société civile, à la justice que le Professeur Issad laisse la responsabilité de suivre la piste qu'il a ouverte, en se reportant tout simplement à la loi, aux règlements. Il a estimé, lui, avoir défriché le terrain en éliminant du tableau des responsabilités DRS, walis et commandement national de la gendarmerie. Demeure alors la responsabilité de la hiérarchie militaire dont dépendent, pour les opérations de «rétablissement de l'ordre», les groupements de gendarmes. La «hiérarchie militaire», en l'occurrence, est celle qui remonte des secteurs militaires des wilayas de Kabylie aux commandements des 1 ère et de la 5 ème régions militaires, au commandement des forces terrestres et, enfin, à l'état major de l'armée.

          L'interprétation de son rapport par les journaux comme une charge contre la gendarmerie ou le DRS était «une lecture étroite», estime Me Issad. Concernant le DRS, il est formel: «Nous n’avons pas rencontré le DRS durant notre enquête. Le DRS n’a aucun intérêt à faire cela (plonger la Kabylie dans le chaos, ndlr). Certains milieux ont peut-être des comptes à régler avec le DRS, héritier de la sécurité militaire. Quant à moi, j'ai fait mon rapport en mon âme et conscience.» Lorsqu’il faut mobiliser les forces de sécurité «contre une foule, c’est le wali qui doit réquisitionner les forces de l’ordre», rappelle-t-il, «mais les walis, dans ce cas-là, ont été mis en dehors de l’opération.»

          La responsabilité de la hiérarchie militaire ainsi soulignée dans le déclenchement de la répression, la commission en identifie une autre. Personne, non plus, n’a donné l’ordre d’arrêter de tirer sur les manifestants. «Quand on écrit dans le rapport que pendant deux mois personne n’a donné l’ordre de cesser le feu, vous pensez à qui?», interroge-t-il, soulignant qu'«aucune autorité civile ne s'est manifestée». Même deux ans plus tard, Issad n’ira pas plus loin dans l’insinuation, le sort réservé à son rapport par la Présidence de la République ne l'y encourageant guère.

          Élites et institutions peu intéressées par la vérité et la justice
          Si une ou plusieurs personnes ont donné l’ordre de tirer, elles l'ont fait verbalement ou à travers des messagers, pense Issad pour qui «ce genre d’ordre ne se donne pas par écrit.» Mais, insiste-t-il, «les responsabilités ont été localisées par nous et par d’autres. Il n’y a pas de difficulté, hormis la mauvaise foi, à en tirer les conclusions, car ceux qui savent comment fonctionne l’Etat comprennent parfaitement ce que dit le rapport.» Issad estime avoir fait le travail qui lui a été demandé: «J’ai prouvé que c’était possible». C’est pour lui l’essentiel. Le plus étonnant, deux ans après la répression des émeutes, ce n’est pas tant qu’il n’ait pas livré de noms des responsables de la répression, réclamés par les médias: le deuxième rapport de sa commission est prolixe sur les ambiguïtés de la loi qui auraient conduit à considérer les opérations anti-émeutes en Kabylie comme des opérations de «rétablissement de l’ordre» à gérer directement par l’autorité militaire (la région militaire). En dépit de l'agacement que peut avoir causé, aux médias et militants politiques un Mohand Issad qui ne va jamais au-delà de l'insinuation, le plus étonnant est que personne, ni la Présidence qui a commandé ce rapport d'enquête, ni ceux qui exigent que justice soit faite, ne se soit penché sur des pistes aussi intéressantes que celles qu'il propose. C'est pour le moins significatif du peu d’intérêt que tous, institutions et élites politiques, par-delà leur adversité, portent à la vérité et la justice.

          Daikha Dridi
          Othmane BENZAGHOU

          Commentaire


          • #50
            ott
            Je confirme que j'ai voté et soutenu Bouteflika en 2004 contre la mafia qui se cacher derrière Benflis
            je ne sais pas quel genre de couche couvre les figures de certains au point de dire des grossièretés pareilles.. Quel défaut de culture et d'éducation nous produisent cette catégorie qui nous asphyxie la vie avec ces momies qui nous gouvernent et le réclament avec fierté en plus?
            Dernière modification par bel-court, 17 avril 2015, 06h34.
            Pas à la tique ..

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            • #51
              Code HTML:
               Je confirme que j'ai voté et soutenu Bouteflika en 2004 contre la mafia qui se cacher derrière Benflis, et la compagne de presse orientée par la meme mafia.
              c'est ton droit le plus absolu mais tu confirmes une chose tu n'as rien compris a ce qu'a dit maitre Issad allah yarahmou.
              le rapport complet que tu juge remarquable est disponible sur internet, mais malgré ces conclusions ça ne ta pas empêché de voté pour qui on sais.
              "Penser globalement, agir localement" Jacques Ellul

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              • #52
                je ne sais pas quel genre de couche couvre les figures de certains au point de dire des grossièretés pareilles..
                A weldi, tu as affaire à un chargé de mission qui défends bec et ongle sont bifteak parisien!
                Tu peux argumenter comme tu veux, tu ne le convaincra pas car cela équivaudrait, pour lui, à renoncer au mangeoire!... Le mieux c'est de l'ignorer!

                PS: Ce n'est pas pour rien que ses post sont signés de son nom!
                "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

                Commentaire


                • #53
                  Pour convaincre, il faudrait que les agitateurs aient quelque chose à transmettre, un message, une proposition, autre chose que l'agitation et la haine au nom de la secte, subventionné par des intérêts étrangers. Le reste ne mérite pas plus d'attention et est très significatif des mêmes guignols...
                  Othmane BENZAGHOU

                  Commentaire


                  • #54
                    @ott

                    Très significatif encore une fois de la culture de privatisation et d'exclusion de certains agitateurs. La langue tamazigh est parlée par des algériens de différentes régions,
                    tout a fait, des régions berbérophones, bien identifiées, circoncises et connues par tous, mais ne me dit pas que c'est la langue de tout les algériens, les grandes stratégies et les décisions concernant la promotions et le developpement de cette langue appartiennent aux berbérophones.


                    et n'est certainement pas la propriété de MAKAKES qui recoivent des dirhams et des Shekels pour agiter une revendication exclusive, dans le but connu de ses sponsors, celui de diviser...
                    elle est la propriété des berbèrophones d'abord y compris les MAKAK comme tu les appelles ne t'en déplaise, ça t'exclue déjà de toute ingérence ou avis dans la question de sa promotion et son développement.

                    Autre détail, les MAKAKES ne représentent en rien la kabylie.
                    pas de crise de représentativité !!! dans l'absolue chacun représente soi même, mais que ça te plaise ou non, les autonomistes ont investit le terrain en kabylie, déserté par les partis politiques traditionnels, et sont devenus les plus influents et donc incontournable, ne t'en déplaise.
                    "Win yeččan tayazit' n Iflissen, iheggi-d tin-is"

                    Commentaire


                    • #55
                      tout a fait, des régions berbérophones, bien identifiées, circoncises et connues par tous, mais ne me dit pas que c'est la langue de tout les algériens, les grandes stratégies et les décisions concernant la promotions et le developpement de cette langue appartiennent aux berbérophones.
                      ...
                      elle est la propriété des berbèrophones d'abord y compris les MAKAK comme tu les appelles ne t'en déplaise, ça t'exclue déjà de toute ingérence ou avis dans la question de sa promotion et son développement.
                      Étonnant est une certaine hystérie chez certains de clamer haut et fort que le tamazigh doit être une langue nationale et officielle, ce qui me semble pertinent pour la langue national, mais moins pour officiel, non dans l'absolu, mais du fait qu'elle n'est pas suffisement structurée, de clamer la généralisation de son enseignement, et ensuite d'affirmer qu'elle est la propriété de ceux qui la pratiquent. Ceci exclu ainsi les amazigh arabophones d'une langue, partie entière de leur patrimoine, et exclue les berberophones des régions bien identifiés, qui pratiquent peut ou prou la langue. Au fait cette appropriation linguistique traduit bien les dessein macabres de certains de vouloir territorialiser une langue, puis ensuite l'ethniciser pour en faire le vecteur principal de differentiation.

                      Quant à ma personne, qui par ricochet dans ton esprit sectaire représente les arabophones, il est autant concerné par toutes les composantes de l'identité nationale que quelques excites qui veulent construire une identité exclusive et differentiatrice. D'illustres co-tribains ont sanctionnés à leur époques les dessein exclusifs des berberistes, à l'image de Abane Ramdane ou de Krim Belkacem, et les algériens entiers en feront de même quitte à vous pousuivre jusqu'au sommets de vos montagnes...

                      pas de crise de représentativité !!! dans l'absolue chacun représente soi même, mais que ça te plaise ou non, les autonomistes ont investit le terrain en kabylie, déserté par les partis politiques traditionnels, et sont devenus les plus influents et donc incontournable, ne t'en déplaise.
                      Intéressant que les mêmes agitateurs de la secte considèrent des partis politiques sensés êtres nationaux, comme des partis régionaux. Rien de bien nouveau chez les sectaires. En effet, il y a toujours eu chez une partie des kabyles une forte propension à l'expression tribale. Cette propension à la differentiation fut exploitée de divers manières par les puissances mondiales, ayant soumis cette région à la colonisation. Ce fut le cas déjà des Massyles alliés à Rome contre les Massaesyles alliés de Carthage, ce qui a permis l'installation pendant 5 siècles des Romains en Numidie, et la suite historique est prolixe en exemples et démonstrations. Heureusement que cette expression tribale est minoritaire et que la majorité des kabyles se considèrent partie prenante du destin national, n'en déplaise à des agitateurs de desseins macabres, subventionnés par des intérêts hostiles à la nation algérienne.
                      Othmane BENZAGHOU

                      Commentaire


                      • #56
                        Heureusement que cette expression tribale est minoritaire et que la majorité des kabyles se considèrent partie prenante du destin national, n'en déplaise à des agitateurs de desseins macabres, subventionnés par des intérêts hostiles à la nation algérienne.
                        Le discours populiste n'a plus cour , quand une nation est sur le point de s'écrouler , il est normale que ceux parmi sa composante qui ne sont nullement responsable de son chaos , se cherchent un autre destin ...

                        D'ailleurs pour les missionnés sur ce forum , leur rôle est de rendre compte des réactions ,et de ce que pense de nombreux Algériens déçues de leur gouvernants , et non pas faire avaler cette gabegie à tout le monde ...

                        Commentaire


                        • #57
                          Le discours populiste n'a plus cour , quand une nation est sur le point de s'écrouler , il est normale que ceux parmi sa composante qui ne sont nullement responsable de son chaos , se cherchent un autre destin ...

                          D'ailleurs pour les missionnés sur ce forum , leur rôle est de rendre compte des réactions ,et de ce que pense de nombreux Algériens déçues de leur gouvernants , et non pas faire avaler cette gabegie à tout le monde ...
                          *
                          Si on prenait en considération le critère absurde de differentiation à travers la langue, les berberophones ont autant été aux responsabilité que les arabophones. Ils ont tout autant participé à la consolidation d'un système politique dictatorial que les arabophones, si ce n'est plus, avec une forte représentation militaire.

                          Le reste participe aux desseins macabres des mêmes vautours, subventionnés par des intérêt étrangers...
                          Othmane BENZAGHOU

                          Commentaire


                          • #58
                            Le reste participe aux desseins macabres des mêmes vautours, subventionnés par des intérêt étrangers...
                            Soit , ces desseins aussi macabres soit-ils , désormais il faut apprendre à vivre avec...C'est le système pourri qui les à engendrer .
                            Dernière modification par euclid, 17 avril 2015, 13h34.

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                            • #59
                              Les desseins macabres sont ceux des agitateurs à la solde d'intérêts étrangers. Il n'y a aucun doute sur le sort que les algériens leur réserve, comme ça a été le cas dans le passé. Ils verront leur douleur quand le peuple pourra exprimer avec force le rejet des vautours qui rodent...
                              Othmane BENZAGHOU

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                              • #60
                                @ott

                                Étonnant est une certaine hystérie chez certains de clamer haut et fort que le tamazigh doit être une langue nationale et officielle,
                                je ne suis pas de ceux la, et ceux qui clament cela sont des inconscients pas assez investi dans cette cause qui n'ont jamais réfléchi aux conséquence d'une telle orientations, en tant que kabyle je préconise l'officialisation de tamazight dans un état kabyle autonome. que chacun parle et s'occupe de sa langue.

                                Quant à ma personne, qui par ricochet dans ton esprit sectaire représente les arabophones, il est autant concerné par toutes les composantes de l'identité nationale que quelques excites qui veulent construire une identité exclusive et differentiatrice. D'illustres co-tribains ont sanctionnés à leur époques les dessein exclusifs des berberistes, à l'image de Abane Ramdane ou de Krim Belkacem, et les algériens entiers en feront de même quitte à vous pousuivre jusqu'au sommets de vos montagnes...
                                tu peux même te sentir concerné par l'identité chinoise si tu veux mais je te dénie le droit de légiférer dans l'avenir de tamazight , quant a nous tu sais ou nous trouver on saura te recevoir toi et ton escorte comme on a reçu sidek abd el kader ainsi que ton président.

                                Intéressant que les mêmes agitateurs de la secte considèrent des partis politiques sensés êtres nationaux, comme des partis régionaux. Rien de bien nouveau chez les sectaires. En effet, il y a toujours eu chez une partie des kabyles une forte propension à l'expression tribale.
                                ça restera des partis régionaux que tu le veuilles ou non et c'est ainsi qu'ils seront toujours perçu, leur socle est en kabylie ainsi que leur électorat, s'ils s'en éloignent ils dépériront et la réalité nous le montre chaque jour, le FFS et le RCD ne sont que l'ombre d'eux même et les prochaines élections le démontreront encore plus.
                                quant a cette propension à l'expression tribale que les arabophones comme toi trouve a certains kabyle ce n'est que le refus de ces derniers d'avaler vos salades et d'adhérer a votre projet national aussi foireux qu'incertain ou il est question a terme l'assimilation par l'arabisation.
                                "Win yeččan tayazit' n Iflissen, iheggi-d tin-is"

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