Annonce

Réduire
Aucune annonce.

L’Algérie arabe est une imposture

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Bien sur que l'envie à s'identifier à une identité est la seule chose a prendre en compte pour savoir ce que les gens sont.
    Je ne vais pas par exemple attendre à lire les désirs d'un tawe3na sur un forum pour savoir qui suis-je !
    Sinon hazoulat !

    Commentaire


    • L’Algérie arabe est-elle une imposture ? Non, c'est une réalité tangible

      @ karim akouche au canada :

      La darja arabe algérienne n'a pas de substrat Berbere, , elle n'est pas non plus une dérivée du Punique. L’arabe populaire algérien est initialement, à l'origine une dérivée de la fos7a, la classique, qui a évolué en fonction des backgrounds culturels des locuteurs initiaux et des nouveaux locuteurs acculturés, absorbés, intégrés ou gagnés, elle a emprunté des termes aux parlers et influences effectives (tout autour d'elle), en se renouvelant et se reproduisant par des néologismes, des évolutions et des adaptations naturelles durant les 14 siècles de présence en Algérie. Il faut cependant reconnaitre et assumer qu'elle a subi lors de la nuit coloniale de 132 ans et la période de néo-colonialisme culturel après 1962 (jusqu'à nos jours) des agressions, des viols, des atteintes qui l'ont créolisée, déstructurée gravement. Malgré ses péripéties, ses temps difficiles (lors de la colonisation et après) et contraintes et défis modernes (décadence, sous-développement, retards technologiques du pays...), bien qu'étant parler du peuple, elle est plus riche en vocabulaire, en expressions et tournures idiomatiques, idiotismes, dictons, sagesses, proverbes, productions poétiques, plus riche que tous les dialectes berbères dans son environnement ou voisinage. Au contraire ce sont ces dialectes berbères qui ont énormément emprunté de l'arabe algérien dit dérja.

      Commentaire


      • comment reconnaitre un néophyte issu du systeme scolaire? il pense que la darija a été apporté dans les bagages à dos de dromadaires par les hilaliens.
        puis leur dialecte a commencé à se désagreger avec le temps.

        la structure de la darija, aussi bien que sa prononciation et ses expressions idiomatiques sortent tout droit de l'amazigh. on peut meme distinguer l'empreinte des parler amazighs dans la modellisation des dialectes locaux de la darija. les banu hilals ont eux meme fini par troquer leur dialecte arabe issu la peninsule arabique pour adopter la darija.

        Commentaire


        • C'est quoi cette attitude de traiter de bouriqot ceux qui pensent que le parler maghrébin est un dialecte arabe?

          Si notre derja viens directement du berbère,alors pourquoi un arabe algerien ne pige rien à un kabyle? Et en contrepartie il comprend sans difficulté un irakien ou palestinien ?
          Hier quelqu'un m'a appelé par erreur au téléphone. Il causait en kabyleque j'ai reconnu a cause de l'accent. Eh bien je n'ai pigé que les mots arabes qu'il utilisait ( ghalet et smah )

          Je connais un émirati marrié a une algerienne. Il vient souvent sur Alger et n'a pas trouvé trop de difficultés à apprendre notre derja. S'il s'agissait d'une langue différente de l'arabe,il lui aurait fallut des années pour l'apprendre.

          Commentaire


          • @ marroki

            Continue à jouer au chahuteur, heckler, continue, avec ton autre acolyte ignoré, comme les deux chahuteurs du muppet show, statler et waldorf.
            Les vlà, choisis lequel tu es :


            http://www.dvdtalk.com/reviews/image...1123465601.jpg

            Commentaire


            • marroki ! quoi qu'il en soit, pour moi, c'est comme toujours :
              Cause toujours, marrouki, tu m’intéresses.

              Commentaire


              • L’Algérie arabe est une réalité

                @ karim akouche le canadien:

                " La langue d'un peuple est le résultat d’expériences et de vécu communs, parfois millénaires, le produit de l'expression des douleurs et souffrances collectives, des joies, des peines, des aspirations communes, le legs des ancêtres et des aïeuls, de ce qu'a rassemblé la mémoire collective, la substance tirée du génie de ses locuteurs à travers des décennies, des générations et des siècles (poètes, écrivains, romanciers et artistes), d’une production littéraire et artistique profuses et riches. Elle contient dans ses plis et replis le témoignage et le récit de l'histoire, la chronique et les annales propres à ce peuple. Elle ne peut être le résultat d'assemblage, bricolage et montage mécaniques faits dans des salons-laboratoires feutrés, chauffés et climatisés. Malgré toutes les bonnes volontés et les engagements militants, cette langue artificielle ne peut avoir la saveur du spontané, du charnel, de l'émotif, l'émotionnel et de l'affectif. Çà restera toujours quelque chose de fade, de froid, au demeurant insipide. L’expérience non-concluante de l’Espéranto est là pour en témoigner. de plus le tamazight qu'on nous présente comme le standard et qu'on veut nous imposer comme deuxième langue nationale et officielle en concurrence de l'arabe, échafaudé par des chercheurs et linguistes kabyles, donc forcément orienté au profit d'une des composantes berberes ne peut gagner l’adhésion et l'aval des autres composantes de la galaxie amazighe. le bulletin d'information en berbère et les programmes de la chaine 4 obligés de négocier et répartir la programmation entre les différentes variantes du berbère en sont la meilleure illustration.".

                Commentaire


                • Envoyé par Maximo Voir le message
                  C'est quoi cette attitude de traiter de bouriqot ceux qui pensent que le parler maghrébin est un dialecte arabe?

                  Si notre derja viens directement du berbère,alors pourquoi un arabe algerien ne pige rien à un kabyle? Et en contrepartie il comprend sans difficulté un irakien ou palestinien ?
                  Hier quelqu'un m'a appelé par erreur au téléphone. Il causait en kabyleque j'ai reconnu a cause de l'accent. Eh bien je n'ai pigé que les mots arabes qu'il utilisait ( ghalet et smah )

                  Je connais un émirati marrié a une algerienne. Il vient souvent sur Alger et n'a pas trouvé trop de difficultés à apprendre notre derja. S'il s'agissait d'une langue différente de l'arabe,il lui aurait fallut des années pour l'apprendre.
                  d'abord, juste au passage, néophyte et bouriquot ont deux significations totalement differentes, d'accord?

                  la darija a une sythaxe qui se base sur l'amazigh, une phonetique amazigh et surtout les expressions idiomatiques sont des traductions exactes de l'amazigh. uniquement le lexique est issu majoritairement de l'arabe.
                  maintenant pourquoi un darijophone ne pige rien au kabyle, parce que le kabyle utilise un lexique amazigh tout simplement.
                  tu comprend les dialectes orientaux, parfais! la television est passée par là.
                  contrairement à ce que tu prétends, les orientaux (les vrais arabes) ne comprennent pas la darija, malgré que le lexique est arabe, pourquoi?
                  ils comprennent les mots mais ne saisissent pas le sens, parce que la structure des phrases (la syntaxe) leur est etrangère et les tournures idiomatiques sont tiré de l'amazigh.
                  quand tu dis: ضربها بنعسة
                  il comprend "dreb" et "ne3ssa" mais ne comprend pas le sens. oeilfermé

                  Commentaire


                  • Envoyé par leftissi Voir le message
                    marroki ! quoi qu'il en soit, pour moi, c'est comme toujours :
                    Cause toujours, marrouki, tu m’intéresses.
                    pardon?
                    est ce que je peux discuter avec ces honnêtes gens sans que tu t'immices?oeilfermé

                    tu veux que je commence à t'ignorer?

                    Commentaire


                    • Si notre derja viens directement du berbère,alors pourquoi un arabe algerien ne pige rien à un kabyle? Et en contrepartie il comprend sans difficulté un irakien ou palestinien ?
                      C'est une faute , une grande faute que de vouloir ré-écrire l'histoire culturelle et civilisationnelle de l'Algérie avec l'encre usagée de débats portés ailleurs ( en Palestine, en Irak, en Syrie, en Égypte, ou en Arabie, pour l'essentiel ) : comme si notre histoire était transparente et nous des clones sans personnalité ...

                      C'est un tort de laisser croire que les normes linguistiques sont produites et validées par une académie ; comme si les langues n'étaient pas le produit de leur locuteurs (natifs) mais celui d'une institution ! ...

                      C'est une faute de nier une culture "Maghribine" avec son socle Berbère plusieurs fois millénaires ... , comme si nous n'avons pas de patrimoines historique avéré et disponible ..., comme si nous n'avions pas notre propre "classification" pour aller chercher ailleurs une culture de substitution ! ...

                      Arézki HAMOUDI

                      Cofondateur du MCB (n'en déplaise à lftissi)
                      Dernière modification par infinite1, 19 mai 2017, 21h44.

                      Commentaire


                      • @ marroki

                        - tu veux que je commence à t'ignorer?

                        - AH, oui ! C'est pas encore fait ?! Qu'est ce que tu attends pour le faire ?!

                        Commentaire


                        • @ arezki hamoudi co-fondateur du mcb en 1976/77 ,

                          - Cofondateur du MCB (n'en déplaise à lftissi)

                          - Et ton autre compère, c'est qui ?! T'as rien prouvé, bonhomme. Que du pipeau, de la mythomanie, ton histoire. le mcb a été crée après les événements d'avril 1980 et ses fondateurs sont connus et reconnus et sont inscrits dans l'historiographie du mouvement. Toi, ne t'en déplaise, tu n'y figures pas.

                          Commentaire


                          • @Afellay

                            Ce que tu avances est très difficile à prouver, voire impossible.
                            Il te faut d'abord prouver que ces constructions sont d'origine berberes avec des écrits qui précèdent l'avènement des arabes, et que ces arabes ne les utilisaient pas et l'ont emprunté du berbere parla suite.
                            Que des variations dans la langue arabe locale s'introduisent a notre parler est tout à fait normal.
                            Pense-tu qu'un khalidji d'aujourdui parle comme un Chanfara ou Amr ibn Kalthoum?
                            Ils ont eu aussi leur par du changement dans leur derja.

                            C'est amusant ton exemple. L'utilisation du verb ضرب est tellement diverse qu'on pourrait le mettre la ou nous voudrons. D'autre part la structure est typiquement arabe.
                            فعل و فاعل و مفعول به و حرف جر و اسم مجرور.

                            Commentaire


                            • , ton histoire. le mcb a été crée après les événements d'avril 1980 et ses fondateurs sont connus et reconnus et sont inscrits dans l'historiographie du mouvement. Toi, ne t'en déplaise, tu n'y figures pas.

                              A quel moment ces acteurs des évenements de 80 ont-ils créer le MCB ? ...

                              -Pendant les émeutes ?

                              - En detention , ou devant les juges ?

                              -A leur libération ?

                              En vérité sans la création du MCB dans les années 70 par moi et trois autres cofondateurs ( un jugement en ma possession peux l'attester ) et le travail en profondeur de l’académie Berbère animée par feu le Grand BESSAOUD , jamais la manifestation dite "printemps Berbère de 80 , ou Tafsoutht Imazighens n'aurait us lieu ! ...

                              Ps-1 : un RDV à Tizi ( avec description comme je te l'ai proposé ) te permettras de recevoir une copie du jugement qui atteste de la véracité de ce que j'avance .

                              Ps-2 : la proposition tiens pour tous les intervenants sur ce forum qui voudrons se substituer à toi dans ce défit , puisque toi tu te dérobe chaque fois alors que tu na rien à perdre, sinon à me confondre sur ce que j'avance ! ...
                              Dernière modification par infinite1, 19 mai 2017, 23h00.

                              Commentaire


                              • l'Algérie est arabe depuis 14 siècles

                                - Tiens pendant que j'y pense : si l'arabe algérien dérive vraiment du berbere, pourquoi il n'a pas repris, ni imité la forme négative en berbere. Que je sache chez nous la négation se traduit par la particule "ma" (comme en arabe classique) et une terminaison "che" après le verbe de la proposition. Ex: ma njich, ma nja7ch, ma 7abach, ma kache, ma na3rafch, ma nemenench etc.. Alors que cette terminaison n'existe pas en berbere. De plus comment une langue qui aurait été le noyau et le substrat d'une autre langue dérivée, comment se fait-il qu'elle n'y garde aucun vocabulaire, pas même 0,01% du vocabulaire de la derja ??!! Bien au contraire, cette supposée langue substrat ou noyau prend et emprunte plus de 60% au vocabulaire de son dérivé ? invraisemblable, quand même!

                                De plus dans l'ouvrage intitulé :"grammaire et dictionnaire abrégés de la langue berbère", année 1844, l'auteur amédée jaubert écrit dans sa préface page xviii :

                                "Le fond de la langue berbere n'est que le jargon d'un peuple sauvage, elle n'a pas de termes pour exprimer les idées abstraites et elle est obligée de les emprunter aux arabes. L'homme n'est pas sujet à la paresse, à la mort, il est paresseux, il est mort. Le pain n'a pas de rondeur, il est rond. la langue de ces peuples ne leur fournit que les termes concrets pour exprimer des qualités unies à leurs sujets. les berberes n'ont aucune conjonction qui répond à notre "et" ...pour dire il boit et il mange, ils disent il boit, il mange. l'habitude leur apprend à faire des phrases courtes pour exprimer leurs sensations bornées presque aux seuls besoins animaux. tous les mots relatifs aux arts, et à la religion sont empruntés de l'arabe. ils leur donnent un terminaison berbere en retranchant l'article "el" et en mettant au commencement un "t" et un autre "t" ou "nit" à la fin. exemple: el-mouka7la = tamouka7lat, macass (ciseaux) "tamecast" ou "temacasit". Ils empruntent aussi de l'arabe les épithètes qui leur manquent et ils les habillent à la berbere en les faisant précéder de la syllabe "da" : qadim (en arabe) = daqadim, raquiq (maigre) = daraqaq ....".

                                Monsieur karim akouche, trouve autre chose, "chouf ghirha".
                                Dernière modification par leftissi, 20 mai 2017, 09h19.

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X