«Nous sommes aussi les enfants de l’Algérie !»
Ils ne sont ni les enfants de l'Algérie ni les enfants de la France, ils insultaient les deux en traitant les métropolitains de "Patos" (canards les pieds dans la boue) et nous de bougnoules et de bicots, j'ai travaillé avec eux à Blida souvent ils parlaient espagnole entre eux!
Ils ne se sont jamais sentis Français, un grand nombre est venu en Métropole en 1962 pour y être indemnisés et ensuite sont partis en Espagne.
Mais il ne faut pas faire une généralité, car parmi eux, il y avait des gens très bien.
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