les parlers berbères en question n'avaient encore jamais servis de langue administrative, de langue de culture (au sens élevé du terme) ou de savoir scientifique (toutes disciplines confondues). Tout cela, c'est l'arabe qui en était l'instrument dès le premier siècle de l'Islam au Maghreb.
Ibn Khladoun, dans l'histoire des berbères et les dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionale écrivait quelque chose de différent.
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