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Le gouvernement algérien répond aux sociétés françaises

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  • #16
    cela montre une fois de plus que les algériens ne veulent pas bosser !!! bravo !!!

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    • #17
      bref se faire de l'argent par la sueur de l'algerien ,contrairement au maroc
      nous ne voyons pas la couleur du fond des caisse de l'état ,c'est nos
      condition au alors dehors
      Ce sera "autre part". Avec une mentalite pareille, l'Algerie risque d'aller tres loin...

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      • #18
        je pense que l'Algerie n'a tellement pas besoin de diversifier son economie qu'elle ne doit faire aucun effort pour attirer des construteurs.
        Si l"effort est de dire "Oui" à toutes les exigences, vendre au rabais tos les joyaux de la couronne, traiter de gré à gré pour tout ce qui émane de l'héxagone .... et
        - Se retrouver avec une croissance de 2.8% parce que les nuages n'étaient pas au rendez-vous pour "cataplasmer" la plaie
        - Trainer le fardeau de toutes sortes de déficits : ALE, commerciaux, de paiments
        - Des avoirs extérieurs qui fondent comme neige au soleil au point de n'avoir que pour six mois d'importation (Taux de couverture en dessous de 50%)

        ...

        Non Merci ! On ira doucement jusqu'à trouver l'équilibre qui préserve les interets des uns et des autres.

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        • #19
          Si l"effort est de dire "Oui" à toutes les exigences, vendre au rabais tos les joyaux de la couronne, traiter de gré à gré pour tout ce qui émane de l'héxagone ....
          Peux tu nous citer ces joyaux de la couronne que le Maroc a vendu a Renault pour qu'ils s'installent a Tanger? Question de ne pas parler de futilités sans preuves. Encore mieux, peut-on avoir une idee de ces "joyaux de la couronne algeroise" que Renault a exigé du gouvernement algerien?

          et
          - Se retrouver avec une croissance de 2.8% parce que les nuages n'étaient pas au rendez-vous pour "cataplasmer" la plaie
          - Trainer le fardeau de toutes sortes de déficits : ALE, commerciaux, de paiments

          - Des avoirs extérieurs qui fondent comme neige au soleil au point de n'avoir que pour six mois d'importation (Taux de couverture en dessous de 50%)
          T'as raison, faut surtout pas que le Maroc soit volontariste pour diversifier son economie, le meilleur moyen de devenir independant d'un secteur donné c'est d'adopter une politique nifiste du "NIET" pour tout investisseur qui veut venir creer de la richesse et des emplois dans le pays. Voila le meilleur moyen de preparer le futur...


          Non Merci !
          En pleurnichant, par voie de presse, sur le pourquoi du comment des que la premiere pierre est posée autre part.

          On ira doucement jusqu'à trouver l'équilibre qui préserve les interets des uns et des autres.
          Les uns sont les generaux et les autres sont les colonels?
          Dernière modification par Invité, 12 juillet 2010, 19h19.

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          • #20
            T'as raison, faut surtout pas que le Maroc soit volontariste pour diversifier son economie
            Du volontarisme qui l'a amené tout droit à une situation de mendicité (voir offrandes séoudiennes, émiraties et autres).

            Hahaha, gallou volontarisme !! ça me rappelle quelques formules judiciares du type : 'La victime était consentante'

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            • #21
              Du volontarisme qui l'a amené tout droit à une situation de mendicité (voir offrandes séoudiennes, émiraties et autres).
              lol, bien sur bien sur... Ah ce Maroc soumis, il nous etonnera toujours, dans u netat delabre de mendicite et de famine et tous les groupes internationaux s'y installent. Regardez moi la belle Algerie fiere et rebelle, elle dit Non, Non et Non a tout ce qui bouge afin de preserver le paradis sur terre dans lequel vivent les algeriens.

              Hahaha, gallou volontarisme !! ça me rappelle quelques formules judiciares du type : 'La victime était consentante'
              Ca faut demander a Bouteflika, c'et lui qui est un habitué des "Viens!" de Sarzo... Il te parlera non pas que de la definition du consentement, mais aussi de "Je t'aime moi non plus". Quand tu combines les deux, tu as une autre defintion, celle du masochsime.

              ah qu'est-ce qu'on avait rigolé sur ce forum meme a propos de Renault:

              Dernière modification par Invité, 12 juillet 2010, 19h34.

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              • #22
                Pour mieux comprendre la supercherie du siècle qui risque de laisser le peuple algerien sur le carreau:


                Pourquoi l’Algérie fait-elle un si grand saut en arrière?

                Par le Pr. Michel FOURRIQUES

                L’Algérie est un pays étonnant: l’Etat est riche mais la population, si attachante, est pauvre. Rappelons que le kilo de bœuf coûte 10 euros (113 DH) quand le Smic y est à 120 euros (soit 1.356 DH). Le chômage touche entre un quart et un tiers de la population (13% selon les chiffres officiels). Le peuple algérien a en réalité le sentiment que rien ne change, malgré les recettes pétrolières et rêve de visa, notamment les plus jeunes, lesquels représentent 70% des moins de 30 ans.

                Grosse manipulation politicienne?

                Force est de constater que ce régime n’a jamais su développer ce pays, en dépit de son immense potentiel économique. Pourtant, ses ressources en hydrocarbures et ses riches terres agricoles auraient pu faire de l’Algérie une grande puissance de la Méditerranée. En effet, l’économie algérienne tire de l’exportation des hydrocarbures 98% de ses revenus et 75% des recettes fiscales. On constate une incapacité structurelle à diversifier son économie pour moins dépendre du pétrole (exportations d’hydrocarbures = 96,64% de la valeur globale des produits exportés; les exportations hors hydrocarbure représentent 2,36% des exportations). L’Algérie est victime de ce que les économistes appellent le «syndrome hollandais» (ressources liées à l’exploitation du gaz naturel dans les années 1960 en Hollande). En effet, la richesse liée à l’exploitation d’une ressource naturelle entraîne le déclin des autres productions locales et donc une flambée des importations.

                Certains disent que le gouvernement a laissé filer les importations volontairement pour satisfaire le lobby des importateurs puis offrir un exutoire facile à frustration de la population en accusant les sociétés étrangères d’être à l’origine de la dégradation de la situation économique.

                Dans ce contexte économique quasi catastrophique pour la majorité de la population, les sociétés étrangères sont effectivement regardées avec suspicion et deviennent des boucs émissaires de l’échec de la politique économique gouvernementale. C’est ce qui est arrivé à la filiale algérienne d’Orascom, Djezzy (14 millions d’abonnés avant les matchs de qualification pour le Mondial entre l’Algérie et l’Egypte). En constatant qu’en 2007, les sorties de dividendes ont été cinq fois plus importantes que les nouvelles entrées de capitaux, on reproche aux sociétés étrangères de «piller le pays». Autrement dit, pour le gouvernement algérien, si le peuple algérien ne voit pas son niveau de vie progresser, c’est la faute aux entreprises étrangères et non à la non-redistribution de la rente pétrolière.

                Le bouc émissaire parfait

                La société Orascom (téléphonie mobile; entreprise d’origine égyptienne) est l’exemple du parfait bouc émissaire. Elle avait acheté la première licence téléphonique algérienne pour moins de 800 millions de dollars (7,3 milliards de DH, un tiers en moins que la licence payée par Méditel au Maroc alors que le PIB par tête des Algériens est deux fois plus élevé que celui des Marocains).

                Le gouvernement algérien essaie de mettre en difficulté le groupe Orascom en empêchant la filiale algérienne de transférer les dividendes à la société mère et en lançant un contrôle fiscal.

                En effet, la filiale algérienne a du mal à transférer à sa société mère les 580 millions de dollars de bénéfices réalisés en 2008 alors qu’elle avait obtenu le 15 septembre dernier l’autorisation de transférer 257 millions de dollars. Depuis son installation en Algérie en 2001, c’est la première fois que ce groupe rencontre un tel problème. De plus, la filiale algérienne a fait l’objet de contrôles fiscaux aboutissant à un redressement de 600 millions de dollars sur les exercices 2005, 2006 et 2007 (40 millions de dollars pour l’exercice 2004).

                Reprise en main de l’économie

                Les difficultés de ce groupe proviennent, en partie, de la vente par le groupe début 2008 de ses deux cimenteries algériennes au cimentier français Lafarge. L’opération a été critiquée par le président Bouteflika dans le discours à la nation prononcé fin juillet 2008 et qui a permis au groupe de réaliser une plus-value de plus de 2 milliards de dollars. Dans ce conflit, le but du gouvernement algérien est de pousser le groupe égyptien à vendre ou à céder une partie de sa filiale algérienne à un groupe public algérien.
                D’une manière générale, le gouvernement algérien accuse les entreprises étrangères de piller ses ressources en transférant la totalité de leurs bénéfices et donc en ne les réinvestissant pas localement et de ne pas transférer le savoir-faire.

                Face à ce que les médias appellent les «prédateurs étrangers» (dont le groupe Orascom n’est qu’un exemple) un nouveau patriotisme économique a été mis en place après quinze ans d’approche plus ouverte. C’est en réalité une véritable reprise en main de l’économie à laquelle on assiste et ce protectionnisme est en réalité destiné à favoriser les entreprises nationales et à réduire les importations que le gouvernement n’arrive pas à endiguer par sa politique économique.

                S’il est tout à fait normal que les entreprises étrangères implantées dans un pays concourent et contribuent à sa richesse, il est moins normal qu’un gouvernement réduise l’accès à son marché intérieur à des entreprises étrangères essentiellement parce que sa politique économique n’arrive pas à endiguer les importations et in fine la pauvreté d’une grande partie de sa population. Dans une économie globalisée et donc ouverte, les relations entre partenaires doivent reposer sur «le gagnant-gagnant» et non sur le rejet des acteurs économiques étrangers. L’autarcie n’a jamais démontré sa supériorité économique sur le libre-échange, bien au contraire.

                Il est grand temps pour le peuple algérien que l’Algérie retrouve son rayonnement international d’antan par, notamment, des politiques volontaristes et sans trouver de faux boucs émissaires.

                N.B.: Les comparaisons avec les données marocaines ont été calculées par la rédaction de L’Economiste. Il y a néanmoins une petite marge d’erreur car les statistiques marocaines suivent les normes internationales alors qu’il n’y a pas de certitude que les données algériennes soient effectivement normalisées.
                ________________________________________

                Quelques chiffres

                L’Algérie a accumulé ces dernières années plus de 120 milliards de dollars rien qu’en réserves de changes grâce à son pétrole (soit plus que tout le PIB d’une année au Maroc!). Mais, les importations ont quadruplé depuis 2000 pour approcher 40 milliards de dollars en 2009 (360 milliards de DH). On a assisté à une folle croissance des importations: + 28% en 2007, + 42% en 2008.

                Ainsi, par exemple, la facture des céréales, du lait et des médicaments, selon les chiffres officiels, a-t-elle augmenté de 75% en un an, passant de 3,39 milliards d’euros en 2007 à 5,91 milliards d’euros en 2008 (soit 67 milliards de DH: par comparaison les importations alimentaires du Maroc la même année ont été de 31 milliards de DH, pour une population équivalente). Idem pour les produits agro-alimentaires, dont la facture s’est élevée à 6 milliards d’euros en 2008, contre 1,89 milliard d’euros en 2003. La facture alimentaire a flambé de 7 milliards de dollars en 2008. Selon les chiffres sur le commerce extérieur du Centre des statistiques des douanes algériennes (CNIS), l’excédent commercial de l’Algérie a atteint 1 milliard de dollars en janvier 2009, soit un plongeon de 72,03% par rapport à janvier 2008.

                _______________________________________

                Brimades démagogiques

                Cinq textes visant à enserrer les investissements étrangers s’appliquent désormais aux entreprises étrangères présentes en Algérie ou désirant s’y implanter. Ces textes tentent à exclure la présence étrangère et à récupérer les entreprises existantes (comme l’avait fait en 1972-73 la marocanisation qui a laissé de mauvais souvenirs au Maroc).

                Les sociétés d’importation étrangères ne peuvent plus être détenues à 100% par des capitaux étrangers; elles doivent inclure 30% de capitaux algériens dans leur actionnariat.
                Pour les sociétés de production souhaitant investir, elles ne peuvent le faire qu’en partenariat avec des acteurs algériens devant détenir au moins 51% du capital.

                Il y a également:

                - L’obligation de réinvestir dans les quatre ans les bénéfices des avantages liés aux investissements.
                - L’Imposition sur les plus-values de cession.
                - La taxation des transferts des succursales des sociétés étrangères.
                - Un droit de regard et de préemption sur les cessions d’actifs opérés entre des groupes locaux et étrangers. Le gouvernement a créé, début 2009, un fonds d’investissement doté de 1,5 milliard d’euros pour s’emparer des filiales locales de groupes étrangers si ces derniers décident de quitter le pays.

                Tout projet doit générer plus d’entrées que de sorties de devises.
                Et dernière mesure en date, le durcissement des conditions d’attribution des marchés publics aux entreprises étrangères depuis le 1er janvier dernier (limitation au maximum du recours aux entreprises étrangères pour les projets publics et obligation de justifier l’attribution des marchés à des étrangers). Les entreprises algériennes peuvent ainsi obtenir des contrats avec des offres supérieures de 25% à celles de leurs concurrents étrangers, contre 15% jusqu’ici.

                in l'Economiste
                Dernière modification par Invité, 12 juillet 2010, 19h40.

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                • #23
                  Il y a une sacrée mauvaise foi dans les interventions

                  On a juste retenu le non catégorique que s'est vu opposer Renault (sans doute parce que ce dernier avait des exigences disproportionnées ou en clair voulait plutôt les bénefs mais pas les charges) mais on n'a pas jugé bon de relever qu'Alstom et Total avaient eux eu l'aval du gouvernement...

                  Pi de toutes façons nous sommes chez nous, nous faisons ce que nous voulons et c'est aux autres de se plier. Ce que de toutes façons ils feront, l'argent étant roi et plutôt dans les poches algériennes
                  « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

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                  • #24
                    Ce qu'il faut retenir de l'article:

                    . Total va investir 3 milliards de dollars en Algérie et va permettre d'accroitre et diversifier les exportations algériennes, du jamais vu en Algérie et au maghreb

                    . Alsthom va opérer un transfert de technologie très intéressant pour le pays, très bon investissement

                    . troisièmement l'Algérie vient de tirer définitivement un trait sur une hypothétique industrie automobile et là c'est le gros point noir de cet article:22:

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                    • #25
                      voila l'article original d'elkhabar.

                      il parait que renaullt n'avait rien proposé de concret, tout en demandant des privileges qui sont a l'encontre du code d'investissement algerien.
                      et que la porte n'est pas completement fermée, renault peut revenir avec une offre serieuse qui respecte les lois algerienne et prend en compte les interets du pays, puis prendre attache avec le ministere concerné.


                      مشروع رونو للشاحنات ملغى وللسيارات مرفوض
                      ومن بين الملفات التي تم استعراضها وقوبلت بالرفض، ذلك الذي يخص مجموعة ''رونو''.. فقد أوضحت الحكومة الجزائرية أنها قررت التخلي عن مشروع الشاحنات والحافلات لرونو تراكس بعد انتظار دام ثلاث سنوات؛ حيث قررت الحكومة الجزائرية صرف النظر عن خيار ''رونو تراكس'' وإبرام الاتفاق مع شريك آخر لم يتم توضيح جنسيته. وتوجد العملية في مرحلتها النهائية؛ حيث يرتقب أن يتم قريبا التوقيع على اتفاق الشراكة. بالمقابل، فإن مقترحات ''رونو'' بخصوص مشروع السيارات قوبل بالرفض التام من قبل الجانب الجزائري؛ حيث تعتبر الحكومة الجزائرية أن شركة رونو الفرنسية تستفيد من السوق الجزائري من الناحية التجارية وتقوم سنويا بتسويق حوالي 50 ألف سيارة، ولكن بالمقابل، لم تقدم مقترحات تفيد السوق الجزائري فيما يتعلق بمشروع مصنع السيارات؛ حيث لم تلتزم رونو بالاستثمار أو توفير موارد مالية خاصة وتحقيق نسبة اندماج في الجزائر، مقابل مطالبتها بالعديد من المزايا التي تتناقض والإطار التشريعي المعتمد حاليا في مجال الاستثمار. وعليه، قررت الحكومة الجزائرية وضع حد للمفاوضات مع ''رونو'' وإعلان رفضها العروض التي قدمتها الشركة الفرنسية.
                      ووضع الطرف الجزائري شروطا لاستئناف المفاوضات التي ترغب فيها ''رونو''، حسبما أعلنه الوفد الفرنسي الذي قاده غيون للجزائر لنظرائه الجزائريين، من بينها القبول بالإطار القانوني والتشريعي الجديد، والالتزام بالمساهمة ماليا في مشروع الشراكة، وضمان نسبة اندماج في المشروع، ومنح علامة ''رونو'' للمنتوج الذي يخرج من المصانع الجزائرية وتصدير المنتوج خارج الجزائر بعد تغطية حاجيات السوق. وفي حالة القبول بالشروط الجزائرية، توجه الشركة الفرنسية إلى الوزارة الوصية لاستكمال الإجراءات.

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                      • #26
                        RABAT - L'Arabie saoudite a décidé d'accorder au Maroc un "soutien" de 500 millions de dollars pour "atténuer l'impact exceptionnel" de la facture pétrolière marocaine, a-t-on appris lundi de source officielle à Rabat.

                        La décision saoudienne répond à une demande que le roi Mohammed VI du Maroc a récemment adressée au roi Abdallah d'Arabie saoudite, a indiqué le ministère marocain des Affaires étrangères dans un communiqué.

                        "Le Royaume d'Arabie Saoudite frère (a décidé) d'accorder un soutien financier au Royaume du Maroc d'un montant de 500 millions de dollars pour atténuer l'impact de l'augmentation exceptionnelle de sa facture énergétique", selon la même source.

                        Le Maroc importe la quasi-totalité de ses besoins pétroliers pour une facture de plus de 2,5 milliards de dollars par an.

                        (©AFP / 05 mai 2008 21h29)
                        De la mendicité, te dis-je !!!

                        Commentaire


                        • #27
                          l'investissement de total, est dans les hydrocarbure, c'est bien, mais ca va pas changer la sitution..
                          Alstom parcontre, ca c'est une tres tres tres bonne initiative il faut la multiplier par mille... vous avez l'argent pour! vous auriez pu faire pareil pour airbus par exemple...

                          Commentaire


                          • #28
                            il parait que renaullt n'avait rien proposé de concret, tout en demandant des privileges qui sont a l'encontre du code d'investissement algerien.
                            et que la porte n'est pas completement fermée, renault peut revenir avec une offre serieuse qui respecte les lois algerienne et prend en compte les interets du pays, puis prendre attache avec le ministere concerné.
                            ranault offrais exactement ce qu'elle a offert au maroc! l'usine auto la plus moderne du monde...

                            Commentaire


                            • #29
                              De la mendicité, te dis-je !!!
                              Mais oui mais oui , c'est ce que je te dis , c'est suite a la demande marocaine aupres de l'arabie saoudite que Renault a laisse tomber l'algerie pour le Maroc (que ne faut-il pas sortir pour noyer le poisson)

                              Bravo a l'Algerie, un exempel a suivre, elle dit Non pour ne pas faire de la mendicité. Oust les investiseurs etrangers! on ne mendie pas ici en algerie! ou comme l'a dit un celebre ministre : En Algerie, il n'existe pas de pauvres, que des necessiteux...
                              Dernière modification par Invité, 12 juillet 2010, 20h10.

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                              • #30
                                l'investissement de total, est dans les hydrocarbure, c'est bien, mais ca va pas changer la sitution..

                                Non il ne s'agit pas à proprement parlé d'un investissement dans les hydrocarbures (exploration/production), ça Sonatrach sait faire, il s'agit plutôt de la création d'une industrie pétrochimique à forte valeur ajoutée, les hydrocarbures ne sont ici qu'une matière première

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