Annonce

Réduire
Aucune annonce.

LA GRECE:Alexis Tsipras annonce un référendum le 5 juillet

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #46
    Salam

    "Ce monde est le meilleur des monde, c'est le seul que nous connaissons" in 1984

    Dictature avérée et décriée, démocratie de pacotille, république bananière, état de droit, république démocratique et populaire, tout ça pour ça...

    Quand les chefs de gouvernements ont décidé, suffrage universel, référendum, 49.3, peu importe le postulat, le résultat est un oui, plus ou moins unanime...

    Lors de la construction européenne, on a pu le constater...

    Demain, quelque soit la décision, les grecs vont grave trinquer, les européens aussi, un peu comme à l'école des fans, ils auront tous 10, surtout certains ici ou là-bas, pas belle la vie...
    Dernière modification par amarlekabyle, 29 juin 2015, 07h02.

    Commentaire


    • #47
      Grèce : les banques seront fermées pendant une semaine

      Le gouvernement grec a décidé de fermer les banques jusqu'au 7 juillet. Les retraits autorisés aux distributeurs seront limités à 60 euros par jour et par carte bancaire, un contrôle des capitaux sera en place.

      Les banques grecques resteront fermées lundi 29 juin et jusqu'au 7 juillet. La décision a été prise à l'issue d'un conseil de stabilité financière tenu à Athènes dimanche 28 juin au soir avec plusieurs membres du gouvernement et le gouverneur de la Banque de Grèce (BoG) Yannis Stournaras. C'est la conséquence directe de la décision de la BCE ce dimanche de maintenir le plafond de la liquidité d'urgence (le programme ELA) disponible pour le système financier grec à son niveau de vendredi. Durant la fermeture des banques, il sera possible de retirer des petites sommes d'argent, on évoque des retraits jusqu'à 60 euros par jour et par carte bancaire, ce qui est cinq fois moins qu'à Chypre en 2013. Un contrôle des mouvements de capitaux a également été décidé. Tous les transferts à l'étranger devront être approuvés par le ministère des Finances. La Bourse d'Athènes restera également fermée ce lundi. Dimanche soir, les Grecs se sont précipités vers les distributeurs d'argent pour retirer ce qu'ils pouvaient. Dans le centre d'Athènes, la plupart des appareils étaient vides vers 23 heures.

      Pas assez de liquidités disponibles

      Durant tout le week-end, les retraits se sont accélérés en Grèce. Des queues se sont formées, surtout samedi matin, devant les distributeurs automatiques de billets et certains étaient vides dans l'après-midi. Depuis vendredi soir, 1,3 milliards d'euros ont été retirées des comptes grecs. Compte tenu de l'annonce du référendum sur les dernières propositions des créanciers et de l'annonce de la fin du programme d'aide au pays mardi prochain par l'Eurogroupe, la plupart des Grecs ont préféré prendre leurs précautions. Incapables de se refinancer davantage que vendredi dernier auprès de la BCE, les banques grecques risquaient de se retrouver rapidement à court de liquidités. Les mesures annoncées visent donc à stopper l'accélération des retraits. En théorie, les Grecs, qui détiennent 14 millions de cartes bancaires, pourraient retirer jusqu'à 840 millions d'euros par jour, ce qui est encore beaucoup trop pour les banques grecques. Mais on peut imaginer que cette possibilité ne sera pas utilisée à plein. Le contrôle des capitaux empêchera la fuite de l'épargne des comptes helléniques.

      Les conséquences

      Ces mesures vont sans doute frapper les plus faibles, notamment les retraités qui devaient toucher leurs pensions à la fin de ce mois et qui, souvent, ne disposent guère d'une carte de retrait. Beaucoup de factures sont aussi payables aux guichets des banques en Grèce, même s'il n'y a pas de restrictions pour les virements nationaux. Pour une grande partie de la population, par ailleurs, il faudra peut-être puiser dans les réserves d'argent liquide qui ont été constituées aux cours de ces derniers mois par les retraits. Pas de panique, donc, dans l'immédiat. Concernant les touristes présents en Grèce, leur capacité de retrait pourrait ne pas être impactée. Le conseil de stabilité financière a demandé que les détenteurs de comptes étrangers puissent retirer de l'argent dans les limites fixées par leur banque. Il s'agit de préserver la saison touristique en Grèce et la BCE est tenue de fournir ces liquidités entrant en Grèce via des banques solvables. Néanmoins, les ministères des affaires étrangères britannique, néerlandais et allemand, ont invité dimanche les voyageurs se rendant en Grèce à se munir de « suffisamment d'argent liquide. »

      Le précédent chypriote

      Pour la deuxième fois dans l'histoire de la zone euro, après Chypre en 2013, un pays est donc coupé du reste de l'union monétaire par un système de contrôle des capitaux et de restrictions des comptes bancaires. Un euro déposé dans une banque grec aujourd'hui n'a pas la même valeur qu'un euro déposé dans une autre banque. Son usage est limité et sa détention est risquée. Le précédent chypriote a en effet de quoi inquiéter les Grecs. Dans l'île, les banques avaient été renflouées par les déposants eux-mêmes. Le contrôle des capitaux à Chypre a été entièrement levé après deux ans, en avril dernier.

      Parade provisoire contre le Grexit

      En théorie, ces mesures visent à conserver la Grèce dans la zone euro. La BCE n'a pas levé l'utilisation du programme ELA par les banques grecques et n'a pas rendu plus difficile cet usage en appliquant une décote supplémentaire aux garanties nécessaires pour obtenir ces liquidités. La banque centrale maintient donc une source minimale d'euros qui devraient être provisoirement suffisante aux banques grecques grâce aux mesures de restrictions des retraits mis en place. Mais il ne s'agit que d'une parade provisoire. D'abord parce que les banques ne pourront pas rester fermées indéfiniment. Ensuite, parce que la BCE risque de couper les vannes à tout moment si elle estime que les banques grecques ne sont plus viables.

      Comment sauver les banques grecques ?
      Les banques vont donc devoir être renflouées d'une manière ou d'une autre. Première solution : un accord est trouvé entre Athènes et ses créanciers et la BCE permet de nouveau aux banques grecques d'utiliser la dette publique hellénique pour se refinancer normalement auprès d'elle. Deuxième possibilité : la BCE impose un renflouement des banques par les dépôts, comme à Chypre. Troisième solution : la Grèce sort de la zone euro. On le voit, cette dernière option devient de plus en plus probable.

      Faire tomber le gouvernement grec

      Reste une dernière option, qui est peut-être celle que la BCE a en tête : le gouvernement grec pourrait sous la pression d'une fermeture continuelle des banques ne pas être en mesure d'organiser le référendum du 5 juillet (mais le décret vient d'être publié au journal officiel). Ou, s'il le fait, il pourrait être fortement sanctionné par un « oui » claire aux propositions des créanciers afin d'obtenir la réouverture des banques. Dans ces deux cas, le gouvernement Tsipras devra signer en urgence un accord avec ses créanciers afin d'obtenir un retour rapide à la normale. Politiquement, il serait alors sans doute discrédité et il tomberait. Acculé par la BCE, sa seule parade serait alors un Grexit dont la population ne veut guère. Le Grexit est exclu pour la BCE, mais le maintien de ce gouvernement l'est sans doute tout autant. On le voit : si la BCE n'a pas voulu couper directement l'ELA et pousser la Grèce hors de la zone euro, elle joue clairement le jeu de l'Eurogroupe en poussant le gouvernement grec à nouer la corde qui l'étranglera. Ceci semble fonctionner : un premier sondage estime que deux tiers des électeurs voteront en faveur du "oui." Dimanche soir dans un discours, Alexis Tsipras a, cependant, dénoncé le "chantage" de la BCE contraire, selon lui, aux "traditions démocratiques" de l'Europe. Et il a espéré que cette attitude conduirait les électeurs à voter "non" le 5 juillet prochain.


      la tribune fr

      Commentaire


      • #48
        Tu as tout faux Cell. Ne te sens pas obligé de répondre à des choses que tu ne connais pas.
        Waaaaaaaaa jawz ; tes tellement presse de me contrarier que tu oublie de réfléchir un temps soit peu .

        La dette réclamée à l’Allemagne concernant l’avant-guerre s’élève à 22,6 milliards de marks si on comptabilise les intérêts. La dette de l’après-guerre est estimée à 16,2 milliards.
        Justement et cette "DETTE D'AVANT GUERRE " ; elle provenait d'où justement .....??

        Ben des dommages et réparations exigées par les alliés .........APRÈS ....... la première guerre mondiale ; lors du traite de versailles ; et qui avaient rendus l'allemagne tellement exsangue que le nazisme à pu facilement s'installer ......

        Dois je développer encore plus ..... voir mettre des couleurs ou encore mieux ....des graphiques .?
        " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

        Commentaire


        • #49
          @Cell

          Je te conseille de relire après le ftour les deux citations. . Il n'y à qu'un esprit troublé par Ramdane qui passerait a côté des deux passages pourtant limpides.

          Premier passage : Dettes d'avant et apres guerre.

          Deuxième passage : Dettes dues à la 1er et 2eme GM.

          Commentaire


          • #50
            ............
            Dernière modification par absente, 10 septembre 2015, 20h05.

            Commentaire


            • #51
              @Cell

              Je te conseille de relire après le ftour les deux citations. . Il n'y à qu'un esprit troublé par Ramdane qui passerait a côté des deux passages pourtant limpides.

              Ta gymnastique est drôle en temps normal ...... en plein ramadan ;elle est éreintante ...

              Premier passage : Dettes d'avant et apres guerre.
              Exactement et par guerre ; ils entendaient seconde guerre mondiale ..... la dette d'avant la seconde guerre mondiale étant les réparation demandées après la première guerre mondiale. .... ....... généralement 1 précéde 2 .....mais ça tu me sais déjà hein

              Deuxième passage : Dettes dues à la 1er et 2eme GM.
              Ben voilà ; tu comprend enfin .....l'allemagne avait aucunement emprunté de l'argent à quelconque organisme coMme la fait la grèce ; cete dette provenait principalement de l'arbitraire du que les gagnants des deux guerres avaient imposés au perdant ....

              Capice. .......
              " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

              Commentaire


              • #52


                Qu'est ce qui te prend celles. Pas capable de comprendre deux petits paragraphes?

                Commentaire


                • #53
                  Commence par celui là
                  Une faveur d’une valeur économique énorme est offerte par les puissances occidentales à l’Allemagne de l’Ouest : l’article 5 de l’accord conclu à Londres renvoie à plus tard le règlement des réparations et des dettes de guerre (tant celles de la première que de la deuxième guerre mondiale) que pourraient réclamer à la RFA les pays occupés, annexés ou agressés (ainsi qu’à leurs ressortissants).
                  Plus clair avec le coloriage?
                  Dernière modification par jawzia, 29 juin 2015, 11h16.

                  Commentaire


                  • #54
                    Alors, tu as digéré le premier? Passe au second :
                    La dette réclamée à l’Allemagne concernant l’avant-guerre s’élève à 22,6 milliards de marks si on comptabilise les intérêts. La dette de l’après-guerre est estimée à 16,2 milliards. Lors d’un accord conclu à Londres le 27 février 1953 |2|, ces montants sont ramenés à 7,5 milliards de marks pour la première et à 7 milliards de marks pour la seconde |3|. En pourcentage, cela représente une réduction de 62,6 %.

                    Triciti, je t'avais conseillé!!!
                    Dernière modification par jawzia, 29 juin 2015, 11h17.

                    Commentaire


                    • #55
                      Tsipras est un voyou communiste

                      On a beau s’y attendre, cela pique toujours un peu les yeux: le traitement de l’affaire grecque par la presse française de ce week-end relève dans son immense majorité du parti-pris le plus éhonté. Tsipras est un « braqueur de banque » pour les Echos, un « maître chanteur » pour le JDD qui nous explique que c’est normal car il était communiste dans sa jeunesse et il l’est encore un peu maintenant. En effet, c’est bien connu, comme le disait une affiche de propagande des heures les plus sombres de notre histoire : « Si tous les voyous ne sont pas communistes, tous les communistes sont des voyous ». Le JDD précise d’ailleurs en Une : « La Grèce, c’est fini ! » comme Capri sans doute bien que Capri se trouve en Italie, Italie elle-même qui n’est pas à l’abri d’une secousse un peu forte en cas de Grexit, mais c’est une autre histoire. »

                      Le JDD toujours, en pages intérieures : « L’Europe lâche la Grèce ». C’est tout de même drôle ces questions de perspective : nous avions absurdement eu le sentiment qu’il s’agissait exactement du contraire. De même, il a paru au JDD utile de s’indigner du passé de Tsipras mais bizarrement il ne s’est pas intéressé au passé des autres protagonistes de cette histoire : pourquoi ne pas signaler par exemple, par souci d’équité, que Mme Lagarde, présidente du FMI qui brigue un deuxième mandat, est mise en examen depuis août 2014 dans l’affaire de l’arbitrage entre Tapie et le Crédit Lyonnais alors qu’elle était ministre des Finances, pourquoi ne pas rappeler que Jean-Claude Junker, président de la Commission Européenne, est l’ancien Premier ministre du Luxembourg qui a fermé les yeux sur le paradis fiscal qu’était son pays et connaissait forcément les accords fiscaux secrets entre le Luxembourg et 340 multinationales – dont Apple, Amazon, Ikea, Pepsi ou Axa – passés entre 2002 et 2010 comme l’ont révélé près de quarante médias internationaux.

                      Le même homme, aujourd’hui, demande aux Grecs d’avoir un système fiscal… mais un système fiscal qui ne s’en prenne pas trop aux riches tout de même. On est en droit de sourire, mais on ne sait plus si ce sourire doit être amer ou amusé. Quant à Mario Draghi, président de la BCE, pourquoi le JDD ne rappelle-t-il pas aussi que c’est un ancien de chez Goldman Sachs, vous savez, la banque à l’origine de la crise des subprimes de 2008 et surtout, pour ce qui nous intéresse, la banque qui conseilla à la Grèce l’utilisation de produits financiers dérivés pour masquer ses déficits. Bref, aujourd’hui, quand nos chers médias reprennent complaisamment l’image d’une Grèce shootée aux emprunts comme la dernière des droguées, pourquoi ne précise-t-on pas, à l’occasion, que c’est son ancien dealer qui est chargé de la cure de désintox ?

                      Mais qu’avait donc fait Tsipras, ce rouge sectaire, pour mériter une telle haine froide de la part de nos médias ? Il avait décapité des chefs d’entreprises au nom de l’islam ? Il avait fait fusiller les oligarques de Potamia, ce parti soi-disant de centre-gauche à qui l’UE fait les yeux de Chimène ? Il avait mis en prison Antonis Samaras, l’ancien chef de la droite conservatrice de Nouvelle Démocratie, reçu à Bruxelles comme un chef d’Etat alors que sa patrie est en danger?

                      Même pas. Tsipras a juste dit qu’il allait soumettre à referendum les propositions des « Européens » (je mets des guillemets par facilité : je suis moi-même européen mais je n’ai rien de commun avec ces technocrates non élus). C’est affreux, un communiste qui demande au peuple son avis ! Les bons esprits objectent que Tsipras devrait poser la question du maintien dans l’Euro : oui, c’est comme ça dans le Disneyland post-démocratique de l’UE, on explique à un chef d’état ce qu’il doit poser comme question puisque cette idée absurde de consulter directement son peuple lui est venue. On imagine, au passage, un Jeroen Dijsselbloem expliquer au Général de Gaulle : « Dites donc, mon petit vieux, votre referendum sur l’élection du président au suffrage universel, ça nous plaît pas trop, c’est du césarisme, ça… » Tsipras, lui, veut poser la question de l’acceptation ou non par le peuple grec des propositions de la Troïka. Si celles-ci supposent que la Grèce doive continuer sa tiers-mondisation pour rester dans l’euro, c’est à la Troïka de bouger, pas à la Grèce. Ou alors on finirait par croire que l’ « Europe » veut surtout faire un exemple, parce qu’il s’agit d’un gouvernement de gauche et qu’il faut montrer aux autres (Podemos, par exemple) ce qui arrive quand on ne courbe plus assez l’échine…

                      La seule relative bonne surprise est venue de… DSK ! Eh oui, les voies de la raison, comme celles du Seigneur, sont impénétrables. Il a appelé les créanciers à prendre leurs pertes, comme on dit, à rééchelonner une partie de la dette et à supprimer l’autre qu’il reconnaît lui-même comme illégitime. Il sait de quoi il parle, il est à l’origine du premier plan de 2010 qui a uniquement servi à ce que les banques étrangères récupèrent leurs emprunts, et certainement pas à relancer l’économie grecque. En échange, la Grèce ne recevrait plus d’aide et redeviendrait maîtresse des méthodes et des choix budgétaires pour se tirer d’affaire. Au sein de l’UE ou pas.

                      C’est tout de même un peu plus digne, comme idée, que ce coup d’Etat au ralenti qui donne l’impression de voir s’écrire sous nos yeux un nouveau chapitre de la Stratégie du Choc de Naomi Klein, où il est expliqué que capitalisme et démocratie n’ont plus rien à voir dès que la démocratie contrarie le capitalisme.

                      Et nous en sommes-là, aujourd’hui, en Europe.

                      le causeur

                      Commentaire


                      • #56
                        Pour plus d'information sur le traitement des dettes ,voici un article très intéressant






                        http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=352992

                        Commentaire


                        • #57
                          Plus clair avec le coloriage?
                          Triciti, je t'avais conseillé!!!
                          Waaaaaaaaa nari c plus plus wjeh lkazdir. ...mais wjeh titane traite au molybdène. .....

                          Regarde ce que moi je t'ai écrit et qui a lancé cette " discussion "


                          Une dette illusoire puisqu'elle n'était pas le fait d'un prêt contracté par les Allemands ; mais de dommages de guerres imposés par les gagnants au perdant ...... Très mauvais exemple .
                          La question maintenant étant : est ce que tu vas continuer à vouloir faire croire sans pour autant avoir le courage de l'affirmer que la dette allemande en 1953 était le résultat de prêts contractés comme l'est la dette de la grèce aujourd'hui ??


                          Puéril ta gymnastique .!!!!
                          " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

                          Commentaire


                          • #58
                            @Cell

                            Les incivilités verbales n'avanceront rien à la discussion. Elle trahissent juste une gêne. Bref ...



                            Justement et cette "DETTE D'AVANT GUERRE " ; elle provenait d'où justement .....??

                            Ben des dommages et réparations exigées par les alliés .........APRÈS ....... la première guerre mondiale ; lors du traite de versailles ; et qui avaient rendus l'allemagne tellement exsangue que le nazisme à pu facilement s'installer ......
                            Justement, les dommages et réparations sont exclues de l'accord contracté entre l'Allemagne et ses créanciers.

                            Peut être que l'article 5 de l'accord de Londres fera son effet :

                            Art. 5 Créances exclues du présent Accord

                            1. L’examen des créances gouvernementales à l’encontre de l’Allemagne issues de la première guerre mondiale sera différé jusqu’à un règlement général définitif de cette question.

                            2. L’examen des créances issues de la deuxième guerre mondiale des pays qui ont été en guerre avec l’Allemagne ou ont été occupés par elle au cours de cette guerre, et des ressortissants de ces pays, à l’encontre du Reich et des agences du Reich, y compris le coût de l’occupation allemande, les avoirs en compte de clearing acquis pendant l’occupation et les créances sur les Reichskreditkassen, sera différé jusqu’au règlement définitif du problème des Réparations.



                            Si ça ne passe toujours pas, j'essayerai autre chose !
                            Dernière modification par jawzia, 29 juin 2015, 18h45.

                            Commentaire


                            • #59
                              Les incivilités verbales n'avanceront rien à la discussion. Elle trahissent juste une gêne....
                              Ou un agacement du à une mauvaise foi évidente ...... sincerement même tout ce que ta poste abonde dans mon sens et tu ne veux pas l'admettre t tu persiste à vouloir voir un parallèle entre l'annulation de la dette de guerre allemande et la dette financière grecque

                              Soit ; puisque tu seme le vouloir essayer autre chose ; dit moi auprès de qui l'allemagne a contracté cette dette ......?? Pays ; organisme et montants et surtout sous quel forme et à quel taux.
                              " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

                              Commentaire


                              • #60
                                Ce n'est pas la partie sur tes incivilités qui était l'essentiel du message et qui méritait réponse. Révélateur.



                                Et tu veux juste :
                                "Pays ; organisme et montants et surtout sous quel forme et à quel taux"
                                Tu veux pas savoir si les dettes ont été consignées sur du papier A4 ou A3 par hasard ?



                                • La dette réclamée à l’Allemagne concernant l’avant-guerre s’élève à 22,6 milliards de marks si on comptabilise les intérêts.
                                • La dette de l’après-guerre est estimée à 16,2 milliards.
                                • Lors d’un accord conclu à Londres le 27 février 1953, ces montants sont ramenés à 7,5 milliards de marks pour la première et à 7 milliards de marks pour la seconde |3|.
                                • En pourcentage, cela représente une réduction de 62,6 %.


                                Gallou versailles

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X