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Des Califes dis "Râchidûn" (Bien-guidés)

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  • #31
    continue Harrachi , tu nous laisse sur la fain

    Merci beaucoup pour cet effort
    Dernière modification par absent, 19 février 2006, 19h35.

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    • #32
      C'est vraiment trés intérréssant comme sujet ! Merci l'ami

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      • #33
        Ali ibn Abî Tâlib (I)

        C'est donc un funest 18 Dhû al-Hidja de l’an 35 de Hégire que le troisième successeur du Saint Prophète, le calife ‘Uthmân ibn ‘Affân, a été inutilement et injustement tué par d’autres musulmans. Des musulmans qui dans leur folie meurtrière pensaient servir l’Islam et sa Communauté et rendre Justice à Dieu et à la famille de son Prophète.

        Mais très loin du compte, ce meurtre ignoble sera ne sera en fait que le commencement de ce que les historiens appellent « al-Fitna al-Kubrâ » (la Grande Epreuve) car une guerre fratricide allait bientôt diviser les Musulmans durant les dix ans qui vont suivre et créer des dissensions parmi eux jusqu’à nos jours ! La cause pemière fut naturellement le fait qu’une telle injustice commise envers cet homme ne pouvait être tolérée par les siens, autant ceux qui sont sincères que ceux qui aiment surfer sur les vagues de sang ou de colère.
        "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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        • #34
          Ali ibn Abî Tâlib (II)

          Un Califat qui commence dans la confusion :

          Racontant ce qui se passa après l’assassinat du calife Uthmân ibn ‘Affân en Juin 656, l’historien médiéval Chamseddine Dhahabî rapporte : « Quand la nouvelle de l'assassinat du calife ‘Uthmân et de son martyr, arriva dans les provinces de l’Empire elle causa une profonde tristesse à tous les musulmans et en particulier à ceux de Syrie ; la chemise d'Uthman imbibée de son sang arriva par la poste à Damas et elle fut exposée sur la chaire de la mosquée pendant que Mu'âwiya ibn Abî Sufyân prononçait l'éloge funèbre du défunt après quoi un pacte, auquel 60.000 hommes participèrent, fut conclut pour venger la mort du calife … ».

          Pendant ce temps à Médine, les insurgés faisaient la Loi et la situation était tellement catastrophique que la menace d’une guerre civile planait chaque instant sur la deuxième ville Sainte de l’Islam. Comme attendu, les chefs de l'insurrection vinrent dès le soir proposer à Ali le califat, mais outré de la méthode et conscient du danger que représente cette myriade de soi-disant « partisans » celui-ci refuse le poste. Il faudra attendre quelques jours et l’intervention de quelques anciens Compagnons pour le convaincre de devenir calife, pour le bien de la Communauté et pour la sauvegarde de ses intérêts suprêmes. Plus tard il racontera à des hommes venus le questionner sur ce qui s'était passé durant ce jour dramatique : « Des gens ont attaqué cet homme et l'ont tué ; j'étais à l'écart d'eux ; puis ils m'ont nommé dirigeant ; n'était ma crainte pour l'Islam, je n'aurais pas accédé à leur demande ».

          Ainsi, les insurgés présents à Médine firent massivement allégeance à Ali, mais se sachant désormais menacés partout, ils ne plièrent pas bagage et ne rentrèrent pas dans leurs contrées. Désormais incrustés dans l’entourage du nouveau calife l’obligeant ainsi à composer avec eux malgré lui. C’est cette situation ubuesque d’un calife à la fois digne de l’être et en même temps otage d’un « parti » hétéroclite et honni qui fit que beaucoup de Compagnons refusèrent de faire allégeance à Ali et donc à cautionner son élection préférant plutôt attendre car dans le climat insurrectionnel qui régnait à Médine à ce moment il était très difficile de discerner si c'était lui qui dirige réellement les affaires de l’Etat ou s'il n'était qu'un outil entre les mains des insurgés !?

          D’ailleurs son attitude durant les mois qui suivront n’aidera pas à dissiper le doute, bien au contraire, ça fera dire à beaucoup qu’Ali était de mèche avec les meurtriers d’Uthmân. En effet, très vite Mu’awiya calme ses ardeurs et adopte une position plus prudente envers le nouveau pouvoir à Médine. Parlant au nom de la famille du calife assassiné, il exige officiellement ni plus ni moins que d’Ali l’application des lois en vigueur contre les meurtriers de son parent. Mais le nouveau calife n’était vraiment pas en position de livrer qui se soit à la justice car sa propre situation était délicate et lui interdisait toute action qui pourrait mener toute la communauté vers un brasier. Il préféra donc tempérer un moment, le temps que la situation se normalise un tant soit peu et que les passions inondent mois les esprits des uns et des autres ; il n’avait peut être pas de choix, mais c’est une attitude qui va lui coûter très cher par la suite car cette grave ambiguïté aux yeux de l’opinion Ali ne saura jamais l’éliminer et elle demeurera un des principaux atouts pour ses adversaires qui pourront de la sorte contourner le poids de sa légitimité et de sa popularité parmi les Musulmans.
          Dernière modification par Harrachi78, 20 février 2006, 21h36.
          "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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          • #35
            Ali ibn Abî Tâlib (III)

            La Bataille du "Chameau" :

            Qu’il ai été au courant ou non des difficultés d’Ali avec ses encombrants alliés on ne le saura probablement jamais, mais le fait est que Mu’awiya va immédiatement interpréter la chose comme un déni de justice de la part d’Ali qu’il accuse donc de couvrir des meurtriers et de les protéger de la justice, ce point de vue sera plus ou moins partagé par d’illustres compagnons à commencer par ‘Amr ibn al-As qui rejoindra corps et âme le camps de son ami Mu’awiya. Mais pour l’heure, les plus urgentes des brouilles sont celles de ‘Aïcha la femme du Prophète, Talha ibn ‘Ubaydallâh et al-Zubayr qui quittent Médine pour la Mecque en guise de protestation dès 657. De là, les trois prennent la tête d’un groupe se dirigent vers Bassora (Irak) en vue d’y rassembler une force capable de faire plier le calife et à l’obliger à châtier les meurtriers qu’ils l’accusent de protéger.

            Pendant ce temps Ali eu vent de ce mouvement qu’il considéra tout de suite comme hostile à son autorité. Il mobilisa lui aussi les troupes disponibles à Médine et marche avec son aîné fils al-Hassan vers l’Irak bien que ce dernier fut retissent et tenta de dissuader son père ; mais Ali voulait apparemment neutraliser le danger à sa source pour ne pas avoir a combattre par la suite. Le gouverneur de l’Irak à ce moment était le compagnon Abû Moussâ al-Ash’arî qui avait été nommé sous ‘Uthmân et qui avait été maintenu par Ali. Quand celui-ci prit la décision de marcher sur l’Irak il envoya au gouverneur l’ordre de mobiliser les troupes staionnées à Kûfa pour encercler Talha et al-Zubayr à Bassora. Mais Abu Mussâ trouve du mal à lever des troupes contres deux autres compagnons qu’il connaissait et demanda au Calife de charger un autre d’une telle mission et Ali envoya son fils al-Hassan avec ‘Ammar ibn Yâsser pour accomplir la tâche.

            Il parait qu'Ali ne voulait pas combattre ses détracteurs mais cherchait plutôt à les intimider en rassemblant un maximum de troupes à même de les obliger à se plier à son autorité. Ainsi, quand les deux camps se retrouvèrent face-à-face Ali s’entretient avec al-Zubayr en aparté et parvient à le convaincre de baisser les armes et de lever le camp dès le lendemain tandis qu’al-Zubayr prend le chemin de Médine le jour même.

            Mais cet arrangement ne fut pas du goût de tous puisque tard dans la nuit, un groupe d’hommes appartenant aux insurgés de Médine –ceux qui tuèrent ‘Uthmân- sort des rangs d’Ali et attaquent sciemment le campement adverse là où était stationné le chameau de Aïcha et les siens. Voulant défendre la femme du Prophète, les troupes de Talha firent immédiatement mouvement tandis que ceux d’Ali se croyant attaqués engagèrent le combat à leur tour. Durant toute la journée qui suit le combat fera rage autour du baldaquin d’Aïcha et le chameau qui la portait (d’où le nom de la bataille) et beaucoup tomberont à commencer par le valeureux Talha qui es touché par une flèche. Comme si cela ne suffisait pas, al-Zubayr qui était en route vers Médine comme on l’a dit rencontre sur son chemin un des alliés de Ali, celui-ci ignorant l’accord conclu entre les deux hommes crois bien faire et tue al-Zubayr de nuit, durant son sommeil, il arrivera le lendemain à la fin de la bataille du Chameau que les troupes d’Ali ont remporté affligeant le calife d’une autre mort inutile et qu’il serait forcé de porter sur les épaules devant les autres Musulmans. Aïcha quant à elle ne subira aucun mal durant la bataille puisque tout le monde se tuais littéralement à la protéger ! Ali la fera conduire par son frère à Médine.
            Dernière modification par Harrachi78, 20 février 2006, 21h39.
            "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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            • #36
              La suite trés bientôt Incha Allah
              "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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              • #37
                Merci Harrachi,
                a noter que c'est la premiere fois depuis la mort du prophete (sas) que deux clans tous deux musulmans se font la guerre !!!

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                • #38
                  Salut mon ami,

                  Justement, avec l'assassinat d'Uthân c'est un tabou qui venait d'être brisé en quelque sorte ! Jusque là les premiers califes et parvinrent à mettre de l'ordre dans les rangs et a impose un minimum de discipline. Uthmâne en jouant a fond la carte de la gentillesse pariait sur la gravité extrême de voir un musulman porter la main sur un autre musulman. Il a perdu son paris car les temps avaient quelque peu changés à ce moment et les Musulmans n'étaient plus ce groupe compacte que l'adversité de Quraysh et la solidarité inspirée du Prophète soudait les membres entre eux.

                  Je crois que ce fut là une mutation douloureuse mais cetrainement inévitable car c'était un peu le passage de l'Etat primitif tel que voulu par le Saint Prophète à celui d'Etat impérial tel qu'imposé par les événements.
                  "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                  • #39
                    un minimum de discipline

                    C'est vrai, car en faite si on veut resumer un peu le comportement social de la socité musulmane au temps du Porphete (sas) et meme en partie le message de l'Islam on ne trouverait mieux que discipline.

                    La discipline dans l'odoration de dieux: adorer sans exagerer
                    La discipline dans les plaisir: deguster sans tomber dans la debauche
                    La discipline dans le pouvoir: gouverner sans en abuser
                    ...

                    Othmane etait un peu liberal (dirait on aujourdhui) ce qui est tout a fait contraire a la rigueur dont sont habitués les bedouins qui formaient le noyaux de la communauté musulmane.
                    Ca a ete interpreté par eux comme une impuissance (surtout vu son age) et a donné lieux a plusieurs speculations avant d'aboutir a l'assasinat repugnante.

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                    • #40
                      @tizinissa

                      Si partage en garnde partie ce que tu dis quant au terme discipline dans le maintient de la Communauté de l'Islam, du moins en principe, je suis moins chaud pour ce qui de la deuxième partie.

                      D'abord 'idée que l'Islam ai été à la base une religion de bédoui reste trés discutable puisque on remarquera que c'est dans une ville qu'il a vu le jour (La Mecque) puis dans une autre ville qu'il a grandi (Médine) et une fois le Prophète mort c'est à la conquête des villes que les Arabes devenus Musulmans iront. Ils fonderont aussi trés tôt des villes (Fustât, Bassora, Kûfa, Qayrawân ...) et c'est depuis ces villes là que l'Islam se répandra aux quatre coins du Monde !

                      Moi je dirais que le déphasage d'Uthmaân se situe non pas par rapport à une certaine "bédouinité" de ceux qui le tuèrent mais bien au contraire à leur au fait que les musulmans de cette génartion devinrent trés "sophistiqués" et comprenaient moins l'esprit simple de l'Islam tel que connu par les anciens comme Uthmân !
                      "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                      • #41
                        non non je suis pas un sympatisant de la theorie sur la beduinité de l'Islam !! mais ce que je veux dire par là la mentalité des bedouins plus strictes est autoritaires. Ces bedouins, il faut pas l'oublier, sont eux qui formaient la grande partie de l'armée musulmane et de al communauté musulmane. Les "citadins" etait par contre des minorités.

                        Othmane a ete plus liberal dans son regne, en plus de plusieurs chose qu'on lui reprocha il a eu vite, chez les tribus bedouins, la reputation d'etre trop indulgeant et de se laisser manipuler par Mou3awiya et autres oumayades du Cham.

                        Et c'est ca qui a nourit les speculations.

                        La supramatie des bedouins est tres clairs quand on voit que ce sont eux qui ont encerclés la maison de Othmane et que meme les Talhas, Zoubeir et autres ne pouvaient se frayer chemin vers lui !!!

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                        • #42
                          @tizinissa

                          Salut Tizinissa,

                          Oui oui j'avais trés bien compris ce que tu voulais dire, t'inquiètes ! J'éstime quand même que l'Islam fut avant tout une religion citadine. Dire que les premiers musulmans furent en majorité bédouins reste à prouver à mon avis puisque déja à au moment de l'assassinat d'Uthman (35 ans après l'Hégire) ils sont essentiellement concentrés dans les villes d'Irak, de Syrie et d'Arabie !

                          Bon, on pourrait bien considérer qu'Uthmâne se montra plus libéral ou du moins moins strict que ces deux prédécésseurs mais ca chute n'eut rien avoir avec les tribus bédouines ! La troupe des insurgées vint d'Egypte comme tu le sais or en Egypte il n'y avait point de bedouins musulmans à cette date ! Les reproches dont tu as fait état sont été éffectivement formulées contre Uthmâne, mais pas par les tribus bédouines car elles ne comptaient pas politiquement à ce moment, mais par des cercles d'opposition établis à Koufa, à Bassora ou à Fustât. En réalité, ce ne furent pas les bédouins arabes qui constituaient l'essentiel de ces opposants mais plutôt une masse de convertis non arabes (mawâlis) qui se sentaient exclus du pouvoir et qui n'ont jamais connus le prophète ou ses compagnons du temps ou l'Islam n'était encore rien ou presque rien !

                          Cependant, parmi eux il y avait auissi certains "nobles" musulmans qui s'opposaient à Uthmâne pour diverses raisons puisque parmi les trois hommes qui purent entrere dans sa maison il y'a Mohammad ibn Abî Bakr, le fils du calife Abu Bakr et le frère de Aïcha ! Comment expliquer cela si ce n'est par un relâchement de la discipline communautaire, non pas popur cause de "bedouinisme" mais tout bonement par excés de richesses et de "civilisation" ?!
                          "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                          • #43
                            Moi je dirais que le déphasage d'Uthmaân se situe non pas par rapport à une certaine "bédouinité" de ceux qui le tuèrent mais bien au contraire à leur au fait que les musulmans de cette génartion devinrent trés "sophistiqués" et comprenaient moins l'esprit simple de l'Islam tel que connu par les anciens comme Uthmân !
                            je crois plutôt que c'est la déviation de othman de la ligne du prophète(saws) et des califes qui ont causé son assassinat, en effet le calife est connu par ses largesses sans limites envers ses cousins, pour la plupart des toulakas: convertis après la prise de la mecque, et qu'il a pris soin de placer dans les postes clès de l'état. Ainsi Marwan ibn al Hakam etait son conseiller personnel, Muawia wali ou plutôt roi de la riche province d'El Cham, Al Walid ibn Okba ibn abi mait (son père exécuté à Badr)wali de kouffa. Il a offert à abdallah ibn abi sarh (taliq) et wali de Ifrikia (tunisie actuelle) tout le kharaj (impôt) de la province.... etc.
                            A quoi ça sert de chercher des excuses a des gens qui ont commis des fautes graves, ne serait ce que des compagnons du porphète (saws)?. l'histoire ne pardonne pas. Othman (ra) a inauguré sa khilafa par une faute lourde, en pardonnant à oubaidallah ibn omar un crime odieux qui etait l'assassinat de la fillette de abou lu'lu'a meurtrier de omar (ra) par vengeance, malgré l'hostilité de la plupart des compagnons. Mais apparemment Allah lui a tout pardonné puisqu'il est parmi les dix moubacharin bil janna. ça prouve aussi que la miséricorde d'Allah est sans limite.
                            Dernière modification par soussi, 21 février 2006, 21h06.

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                            • #44
                              Okba ibn abi mait EST celui qui a été executé a BARD !! révise tes source !!
                              Dernière modification par karimalia, 21 février 2006, 21h06.
                              2.7. et Dieu a scellé leur cœur et leur entendement. De même qu’un voile leur barre la vue, et ils sont voués à un terrible châtiment. (Al Baqâra)

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                              • #45
                                @soussi

                                En réalité tu ne fait que répeter ce que les Chiites reprochent dans leurs écrits à 'Uthmân et rien de plus ! Mais a suppososn que tout ce que tu as dis soit vrai, quel est donc le texte coranique qui condamen à mort ce vieil homme ? Premier parmi les premiers des musulmans et calife légitimioement désigné par la communauté ? 'est la la question et non pas si Utmâne fut parfait ou non !

                                Uthmâne était le chef de l'Etat et il avait donc droit à un minimum de respect, quel que sioit ses choix politiques. Autant tu nous reproche de lui chercher des "alibis" et des excuses autant toi tu fait de même pour justifier l'acte ignoble de ses assassins !

                                Quand à Abdallah ibn Omar, il n'a pas tué la "filette" d'Abu Lu'lu'a mais a tué Abu Lu'lu'a lui même ! ce qui me dégoute chez les chiites c'est justement qu'ils verssent plus de larmes pour ce maudit tueur que pour sa victime, le Calife Omar en l'occurence ! C'est vraiment abbérant comme raisonement !

                                QSuant à celui dont le père à été "éxécuté" à Badr comme tu le dis je te rapelle que : primo il n'a pas aporter sur le dos les choix de son père et secondo étant lui-même musulmans nul n'a le droit de lui reprocher des cates faits avant l'Islam !
                                Dernière modification par Harrachi78, 21 février 2006, 21h16.
                                "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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