Ait Menguellet Ansi d tekkid ay agu
D’où viens-tu, brouillard ?
Emporté par le vent
Tu emmènes les vraies nouvelles
Mon frère, est-il toujours (un despote)
Lorsqu’il tombe, il devient amnésique
Et gratifie même l’aveugle d’une danse
Quand s’achève l’ère du bourreau
Une autre se profile à l’horizon
A peine remis, le cœur est blessé de nouveau
Mon cœur, la situation finira par s’arranger !
(ce sera désormais) le printemps et l’été
Et ce sera ton tour d’être heureux
Notre destination est lointaine
Le chemin que nous scrutons
Nous ne savons où il mène
S’il l’époque a décidé d’aller
A l’encontre de tes désirs
Tu ne feras que lui dire ‘’attends-moi’’
Si ton tour est passé
(Et que) tu as hérité de tourments
Quel que soit le cours que tu donnes aux choses, elles finiront par avorter
Cesse de te tracasser !
Cette engeance, tu ne peux la braver
Même si, boy-scout tu es !
Le pauvre malchanceux lance un appel
Aucune réponse ne lui parvient
‘’cheh !’’ diront-ils à son sujet ?
Ils lui ont dit : ‘’espèce d’aveugle !
Avec une ombre, tu te bats
Et il n’y a que toi qui la vois !’’
Il a perdu le procès (face à son adversaire)
Il jette un coup d’œil autour de lui
(Aperçoit) la fosse qu’ils lui préparent
Son burnous glissa
Son arme, on la lui confisqua
Tombé à terre, on le recouvrit de dalles
Le jour de l’assemblée réunit
Le sage et le sot
(Cela) nous l’avons observé dans les villages
Celui dont le cœur est aveugle
Ne voit qu’avec les yeux
Le regard de la vérité, il le méconnaît
Vas-y ! Prends une plume
Je te raconte (rai), et écris
Mes colères dans des missives
Tu les arrangeras en poème
Qui s’élancera comme une tresse de laine
Vers les cœurs ‘’voyants’’
(traduction de Tassadit Yacine)
D’où viens-tu, brouillard ?
Emporté par le vent
Tu emmènes les vraies nouvelles
Mon frère, est-il toujours (un despote)
Lorsqu’il tombe, il devient amnésique
Et gratifie même l’aveugle d’une danse
Quand s’achève l’ère du bourreau
Une autre se profile à l’horizon
A peine remis, le cœur est blessé de nouveau
Mon cœur, la situation finira par s’arranger !
(ce sera désormais) le printemps et l’été
Et ce sera ton tour d’être heureux
Notre destination est lointaine
Le chemin que nous scrutons
Nous ne savons où il mène
S’il l’époque a décidé d’aller
A l’encontre de tes désirs
Tu ne feras que lui dire ‘’attends-moi’’
Si ton tour est passé
(Et que) tu as hérité de tourments
Quel que soit le cours que tu donnes aux choses, elles finiront par avorter
Cesse de te tracasser !
Cette engeance, tu ne peux la braver
Même si, boy-scout tu es !
Le pauvre malchanceux lance un appel
Aucune réponse ne lui parvient
‘’cheh !’’ diront-ils à son sujet ?
Ils lui ont dit : ‘’espèce d’aveugle !
Avec une ombre, tu te bats
Et il n’y a que toi qui la vois !’’
Il a perdu le procès (face à son adversaire)
Il jette un coup d’œil autour de lui
(Aperçoit) la fosse qu’ils lui préparent
Son burnous glissa
Son arme, on la lui confisqua
Tombé à terre, on le recouvrit de dalles
Le jour de l’assemblée réunit
Le sage et le sot
(Cela) nous l’avons observé dans les villages
Celui dont le cœur est aveugle
Ne voit qu’avec les yeux
Le regard de la vérité, il le méconnaît
Vas-y ! Prends une plume
Je te raconte (rai), et écris
Mes colères dans des missives
Tu les arrangeras en poème
Qui s’élancera comme une tresse de laine
Vers les cœurs ‘’voyants’’
(traduction de Tassadit Yacine)
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