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Le drap tâché de sang: une tradition?

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  • #31
    je trouve ça navrant qu'un couple n'aie méme pas le droit à son intimité

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    • #32
      la fille sois disant 1er main .

      Je plains d abors les nouveaux mariés, première main ou pas c est leur problèmes……, car si c étais un mariage d affaire ….pour un héritage ou une affaire de papier………………….etc……...ailleurs comme en le sais ….il la prend sans problème car sois disant personne le sais si c est une vierge ou pas .
      Vous vous imaginer le lendemain lors de la fête ou même le soir de la rentrer du marier a la chambre des femmes spécialiste des surveillances mdrrrrr (wekabette sur le nouveau couple)
      Et une fois l homme quitte la chambre court pour faire sortir le drap ou sa chemise pour danser avec et prouver sois disant a l autre famille que leur fille étais première main et que nous somme une bonne famille.
      Mais j ai remarquer aussi que nos jeune de nos jours en fait changer ça et éviter tout ses trucs que je trouve très vulgaire et aussi un manque de respect au couple ,.
      Une location d une chambre dans un hôtel tranquille et d éviter tout c est problème imaginaire.
      En est plus en 1800 ou 1900 en es bien au 2006.

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      • #33
        Je suis d'accord avec toi Monalisa !!!!! les jeunes (comme les vieux ..... ) ont le droit à une vie intime, et je ne voix vraiment l'utilité de montrer ce fuchu....................enfin moi franchement je peux dire qu'à Alger c très très très très rare de voir ça , dans mon entourage ansi que ma famille , voisins , jamais g vu cela!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ça reste à mon humble avis propre aux villages vraiment perdu mais alors perdu , moi je suis originaire de kabylie et même là on a pas ça.
        ça reste mon avis.

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        • #34
          et avec toi aussi !!!

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          • #35
            "une fille première main" bien portante, fertilité garantie, 0,00 Km/h. 50Da. si non satisfait, remboursé.

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            • #36
              nous sommes bien en 2006 , peur de vous décevoir cela existe encore en France ; la nuit de noce déja toute une comédie ; ensuite le septième jour (sbo3) les femmes font le deuxième acte fète avec crêpes ,dances.........
              Mr NOUBAT

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              • #37
                Nanna

                Exact!

                On veut des femmes sous emballage, un objet neuf non entammé, satisfait ou remboursé!
                on consomme un produit....

                Les hommes peuvent être d'occas pas de soucis, on s'en fou du moment qu'ils ont gaché la vie d'une autre femme(et c'est certainement de sa faute d'ailleurs, elle l'a sûrement cherché, tout comme cette pauvre jeune fille violée par son père...).

                Et certains passent leur temps à nous rabbacher que la femme objet est une invention occidentale.

                De qui se moque -t-on?????

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                • #38
                  à l'aube ... du soleil levant

                  Et une fois l homme quitte la chambre court pour faire sortir le drap ou sa chemise pour danser avec et prouver sois disant a l autre famille que leur fille étais première main et que nous somme une bonne famille
                  Ensuite on donne des drapeaux nippons (japonais) à tous les invités.
                  « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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                  • #39
                    Ces dernières années à Alger, je vois que perdre la virginité avant le mariage n’est plus devenu un tabou pour les filles.
                    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                    • #40
                      Tu aurais préféré que ça reste un tabou ?
                      « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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                      • #41
                        Oceane,

                        des drapeaux nippons ni mauvais ?

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                        • #42
                          drap blanc ... tache rouge

                          C'est p'têtre une tradition kamikaze ...
                          « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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                          • #43
                            @Océane

                            Pour ma génération la virginité d’une femme était tabou mais pas pour la génération actuelle.
                            Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

                            Commentaire


                            • #44
                              les us et coutumes sont là , dans les têtes !
                              Mr NOUBAT

                              Commentaire


                              • #45
                                Nuit de noces : du viol à la volupté extrême !

                                Lisez jusqu'au bout cet article si dur sur une réalité qui perdure. Cet article est déja traité dur FA là :

                                http://www.algerie-dz.com/forums/showthread.php?t=26784

                                Qu’en pensez vous de la nuit de noce ? Est la peur et l’angoisse qui l’emporte ? ou la joie de la rencobtre de l’autre enfin ?

                                ------------------
                                Il n’y a presque plus de tam tam qui résonne sur la porte renfermant l’intimité des mariés. La société renonce -du moins publiquement- à son rôle de garde des sceaux ; et la fête finie, famille, belle-famille, voisins et amis rentrent illico chez eux pour laisser le nouveau couple se retrouver... sans obligation de résultat. Il n’y a pas longtemps, toutes les mariées étaient sacrifiées sur l’autel de l’honneur. Séroual, linge imbibé de sang, devait “sortir” très rapidement, pour être jeté à une foule impatiente de vérifier la virginité de la mariée. Le mari devait prouver sa virilité et il fallait qu’il fasse très vite. Sinon les mauvaises langues se déliaient : il est impuissant ou la mariée n’est pas vierge. La foule attendait à la porte de la chambre nuptiale et pouvait même manifester des signes d’impatience en tapant sur la porte. Des chansons de circonstance remplissent notre répertoire musical traditionnel : “Donnez-nous notre dû pour que nous partions !” Le séroual était chanté : “Ainsi doivent être les filles des hommes bien surveillées. Ainsi doivent être les filles à la chachya rouge”. Le séroual partait en grande cérémonie chez les parents de la mariée pour que le voisinage en soit informé, puis il retournait au foyer conjugal pour y être exposé. Tout visiteur qui le regardait devait déposer dessus un présent : sucre, argent, étoffe, bijou... Des visiteurs ? Non, des visiteuses. Le séroual est une affaire de femmes. Les hommes se contentent d’écouter les youyous qui annoncent que l’honneur est sauf ! Les mariées ne profitaient nullement de leur nuit de noces. C’était un calvaire. La crainte de cette nuit les angoissait dès l’acceptation de la demande en mariage. La nuit de noces a toujours été présentée aux jeunes mariées comme une nuit atroce où la souffrance est insupportable. La douleur était immense puisqu’elles étaient prises sans leur consentement, sans y être préparées sexuellement, sans désir. Des viols légitimés ! Mais la crainte de la douleur n’est rien, comparée à celle de ne pas saigner, même quand la mariée se sait intacte. Situation aggravée par le fait que les femmes épousaient des hommes qu’elles ne connaissaient pas, bien plus âgés qu’elles. Souvent, les mariées, encore fillettes, voyaient les maris pour la première fois dans la chambre nuptiale. Elles étaient dévêtues par les femmes qui les chaperonnaient et les livraient nues aux maris. La frayeur de ces fillettes était si grande, qu’il n’était ni rare ni inconvenant de ligoter les fillettes pour qu’elles ne se sauvent pas, ou après les vaines tentatives des maris. Alors qu’une nuit de noces doit être vécue dans l’amour, l’affection et l’échange du plaisir, ces femmes la subissaient sauvagement. Nombreuses sont celles qui en ont gardé un traumatisme pour le restant de leur vie. En effet, quel plaisir une femme peut-elle ressentir quand elle est livrée à un homme donnant libre cours à ses instincts bestiaux et à un entourage assoiffé de sang ? “Le plaisir ? Non ! Ce que j’en garde comme souvenir, c’est la brutalité de la défloration. Une douleur insupportable, semblable à celle de l’accouchement. Une déchirure ! Comment apprécier un homme qui se jette sur vous alors que vous ne savez même pas ce qui doit se passer lors de la nuit de noces !” La nuit de noces est censée rapprocher deux êtres dans la joie et le délice de la sensualité. Mais trop souvent, elle marque une rupture, une fissure dans le couple ! “C’est le premier homme que j’ai connu. Ma nuit de noces m’a dégoûtée définitivement de la sexualité. La brutalité de mon mari, l’intervention des femmes de ma famille et ma belle-famille m’ont mise dans une situation de honte que je ressens à chaque fois que mon mari m’approche. Je n’ai pas oublié, 35 ans plus tard.” La situation est pénible quand elle se déroule normalement, cruelle quand elle se complique : “Il s’est jeté sur moi comme un lion sur sa proie. Je n’ai pas saigné. Ma tante m’a frappée pour que j’avoue avoir été déflorée au préalable. Ma belle-mère m’a fait tenir les jambes écartées pour m’examiner. Plusieurs femmes m’ont triturée violemment, sans que je puisse me défendre. Une qabla a attesté que j’étais encore vierge. On m’a ligotée et j’ai saigné ! Je n’ai jamais ressenti le plaisir dont parlent certaines femmes. L’acte sexuel est pour moi une honte !” Ces scénarios sont-ils dépassés ? Font-ils partie d’un passé révolu ? Non ! Ils continuent à se répéter, surtout en milieu rural. De nombreuses filles continuent à se faire ligoter, quoiqu’en quantité moindre par rapport à leurs aînées. D’où le témoignage de cette grand-mère rurale : “De notre temps, oui. Aujourd’hui, il n’y a que les fillettes naïves qui continuent à se faire ligoter, celles qui vivent dans des douars isolés, au fin fond de la campagne. Les autres ont les yeux ouverts, elles regardent les films égyptiens, chantent les chansons d’amour. Elles sont plus dégourdies. Si on doit les ligoter, c’est pour qu’elles se tiennent tranquilles lors de leur nuit de noces et ne se jettent pas les premières sur les maris. Regarde ma petite-fille. Elle a 16 ans et ne baisse même pas les yeux en nous entendant parler de ces choses honteuses.” Et en s’adressant à sa petite-fille : “Toi, tu vas sauter la première sur ton mari. Les filles d’aujourd’hui dévorent par leurs yeux. Elles ont le feu aux fesses. Que Dieu protège nos fils de ces filles !” Dans les villes, si des pratiques modernes sont de plus en plus courantes, de nombreuses nuits de noces continuent à laisser un goût amer chez les mariées. Cependant, de plus en plus de mariées citadines vivent leurs nuits de noces au lieu de la subir. La brutalité des maris tend à s’estomper. Maria, 24 ans, dentiste, mariée depuis 8 mois : “Un très beau souvenir. Il m’arrive souvent de fermer les yeux et d’en revoir le scénario avec joie. Quand j’y pense, je ressens beaucoup d’affection pour mon mari et je l’aime davantage. J’ai envie d’être dans ses bras ! Cela a duré toute une nuit. J’y ai trouvé du plaisir !” Le mari de Maria, 31 ans, dentiste : “J’ai attendu ce moment plus de deux ans. Pourquoi je ne patienterais quelques minutes pour mettre ma femme à l’aise, la couvrir d’amour ? L’acte sexuel sans amour ne vaut pas la peine, surtout avec une femme qui va partager ma vie.” Aujourd’hui, toutes les jeunes filles rencontrent leurs fiancés. Une grande révolution dans les mœurs a eu lieu en l’espace de ces vingt dernières années. La pratique qui consistait à cacher la mariée aux yeux de son fiancé est révolue. Ce qui facilite le contact entre les futurs époux et intensifie leur désir. Que la mariée soit vierge ou non, l’exhibition du séroual est de plus en plus rejetée. Mais dans la majorité des cas, le séroual est fêté à l’intérieur des foyers. On considère que c’est honteux de lui faire faire le tour du quartier. Certaines familles ont été influencées par le discours de quelques Imams de mosquées qui ont eu le bon sens de décréter cette habitude indécente ! Alors qu’il y a quelques années à peine la mariée était obligée de se garder intacte jusqu’à la nuit de noces, aujourd’hui, en milieu citadin et en proportion moindre en milieu rural, la tradition se perd, comme nous le dit cette femme de 55 ans : “De mon temps, les filles se gardaient vierges jusqu’au mariage. Aujourd’hui, il nous est impossible de les retenir. Il y a beaucoup de séroual qui sont imbibés du sang de coq ! Elles sont tellement impatientes, les filles d’aujourd’hui ! Cela ne me plaît pas. Mais tant mieux pour elles. Elles profitent de leurs fiancés et les empêchent d’aller chercher la “saleté” auprès des prostituées pendant la période des fiançailles.” Si les aînées se lamentent de cette situation, elles sont prêtes à la tolérer : “Ma fille qui vient de se marier n’était plus vierge. J’ai été très déçue. Pas pour moi, mais pour ma famille et surtout ma belle-famille qui a jasé. Les filles d’aujourd’hui savent se défendre et c’est peut-être mieux ainsi !” Les femmes les plus traditionnelles parlent de ce changement sans en être choquées. Elles constatent, se disent dépassées. Elles en parlent avec une certaine complicité. Alors qu’il y a dix ans à peine, pareille situation aurait causé des drames et la condamnation de la mère de la mariée par le père et par l’entourage. Les jeunes filles font un travail remarquable, au quotidien, pour faire évoluer les traditions. Elles imposent aux mères de nouveaux modèles de conduite. Les jeunes filles prennent de plus en plus conscience de leur corps : “C’est mon corps, il m’appartient ; alors que ma mère a été élevée dans l’esprit que le corps appartient au mari et à la maternité !” La relation avec le fiancé est de plus en plus considérée comme intime et privée, concernant exclusivement le couple : “Si j’ai envie de me donner à mon fiancé avant la nuit de noces, cela ne regarde que moi. J’ai lutté fort pour que ma mère arrête de me demander de rester vierge jusqu’à la nuit de noces. J’ai eu de grandes bagarres avec elle. J’ai réussi m’imposer !”. Les jeunes hommes sont eux-mêmes moins soumis aux mères quant à la recommandation de fêter la défloration lors de la nuit de noces. Ce qui était une valeur intrinsèque hier, est considérée de plus en plus aujourd’hui comme relevant de l’obscène et du vulgaire : “A quoi ça rime cette avalanche de grossièreté ? On me met dans la chambre et on me demande de b... ma femme pendant que la famille attend une preuve. Quelle honte !” Si les jeunes filles luttent férocement pour ne plus être manipulées au nom de l’honneur, les jeunes hommes font un travail, quoique timide, dans le même sens, quitte à entrer en conflit avec la mère : “J’ai refusé. Ma mère s’est fâchée et m’a boudé pendant toute la cérémonie. Elle n’a pas cessé de m’envoyer ses émissaires négocier le séroual. J’ai tenu bon. Désespérée, le lendemain elle a raconté aux invitées qu’elle a vu le séroual et que je lui ai interdit de l’exhiber ! " La nuit de noces a tendance à se dérouler sans pression et sans exigences de prouver quoi que ce soit. Ce qui permet au couple de vivre librement son intimité, dans la sensualité et l’érotisme. L’homme n’étant plus obligé de faire dans l’urgence et le stress, peut prendre son temps. La mariée, libérée du poids de l’honneur, se donne plus sereinement. La nuit de noces devient agréable. C’est pour profiter pleinement de cette nuit que des couples passent précocement à la défloration. Ceci dans le cas où la mariée est encore vierge : “J’ai préféré vivre ma première vraie relation sexuelle avec ma femme, avant la cérémonie.

                                Source : Femme du Maroc
                                Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                                L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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