Pour ou contre la grève des enseignants en Algerie ?

[Horizon2030]

C'est le tour des enseignants, c'est cyclique chez nous !

[Iben_roched]

GLP je vais te répondre point par point

1 Les Syndicat
Ahmed Choiki a dit قم للمعلم و فيه التبجيلا كاد المعلم أن يكون رسولا
Ca veut dire que les enseignants ont une taches noble et responsable , si ils regardent un dysfonctionnement ils devront le corriger , je suppose qu'ils savent que l'Etat algérien s'en fichent complètement de l'éducation , moralement parlant ils peuvent intervenir , ils ne devront pas fermer les yx sur un problème grave comme celui là ( le prof du classe fait des cours de soutiens à ses élèves)

Je t'invites à faire un petit sondage de ton entourage et demande aux gens qu'est ce qu'ils pensent des enseignants ( regarde juste le sondage sur le forum , meme si il n'est pas représentatif de la société , mais il donne une petite idée)

Pour la dictateur positive , je dis que l'occident est arrivé à ce qu'il est , grace à la fermeté, mais ce n'est pas le sujet

[mertaw]

Cette race d'enseignants de la nouvelle vague ,des bras cassés qui ne foutent rien (le travail est fait à 90% par les parents ) ,à part pousser les enfants vers les cours de soutien (qui sont assurés par eux ,bien sûr moyennant argent ) et endoctriner les enfants au fondamentalisme

quelque soit le sujet , il faut taper sur l'islam

[elfamilia]

Pour ou contre la grève des enseignants en Algerie ?

Comme dirait quelqu'un : en tant que prof je suis pour ; en tant que parent d'élève je suis contre ; en tant que tutelle elle m'agace ; en tant qu'élève conscient elle m'inquiète ; et en tant qu'élève inconscient elle m'amuse.

[mertaw]

Je ne comprends pas pourquoi les cours de soutien se sont généralisés si l'enseignant fait son travail correctement ?

l'enseigna,nt ne fait pas son travail car le directeur ne le fait , et le directeur ne le fait pas parceque l'academie ne lefait pas ......., et enfin le président ne le fait pas

[mertaw]

Vivement le retour d'une dictature positive en Algérie

ça n'existe que dans la théorie
une dictature est tjs injuste

vivement un Etat de droit en Algerie

[mertaw]

Absolument GLP,je partage totalement ton point de vue ...Sauf que l'enseignement ,et d'ailleurs la médecine aussi ,ne sont pas seulement des métiers mais des vocations ...ça demande des sacrifices et un certain sens de la responsabilité ,sinon il vaut mieux faire autre chose .

le sacrafice se cultive et le meilleur moyen c'est de voir le sacrifice chez les responsable superieur , sinon c'est le principe qui fonctionne de " il ne faut etre plus royaliste que le roi"

[GLP]

Pour la dictateur positive , je dis que l'occident est arrivé à ce qu'il est , grace à la fermeté, mais ce n'est pas le sujet

intéressant et du coup domage que ça ne soit pas le sujet ^^

Ca veut dire que les enseignants ont une taches noble et responsable , si ils regardent un dysfonctionnement ils devront le corriger , je suppose qu'ils savent que l'Etat algérien s'en fichent complètement de l'éducation , moralement parlant ils peuvent intervenir , ils ne devront pas fermer les yx sur un problème grave comme celui là ( le prof du classe fait des cours de soutiens à ses élèves)

les imam ont tout autant une des tache des plus nobles qui est le combat de la fetna (entre autres), pourtant ils n'ont pas pu faire quoique ce soit pour nous éviter la décennie noire.

Dans un cas "normal", voir idéal: on fait ce qui se peut à son niveau, tout en espérant que l'autre fera ce qui est de son essor. dans notre cas, le mou3alim en tant que "class" sociales se lève le matin pour aller enseigner honnêtement (dans le sens dans les moyens dont il dispose), il est en droit d’espérer une rémunération donnée, une valorisation de sa mission et un certain respect et écoute de ses avis. il les trouve (dans la limite du possible, voir au moins l'intention) et ça l'encourage à doubler d'effort pour élargir encore plus les moyens propres dont il dispose...ça dans l'idéal.

dans les faits, le mou3alim d'antan vien de déposer son dossier de retraite: allez houst tu nous libère le logement de fonction dont t'as eu le "privilège" d'en bénéficier entre tous tes semblable, il se retrouve avec deux trois maladies chronique et un risque d’infarctus pour la route: 35 ans de service, 40 000 da de retraite, et aucun toit sur la tête.

le mou3alim tout fraîchement "accepté" après un concours du combattant, se rend le matin pour remplir sa noble tache avec une boule dans la gorge (à cause des injustices dont on a remercié ses prédécesseurs qu'il sait sont à des années lumiere de ce qu'il peut donner lui le bleu) et une autre au ventre (risque permanent d'annulation des résultats du concours après XX jours d'exercice dans ses nouvelles fonctions, risquer permanent de ne pas être du "genre" de l'inspecteur de l'éducation ou de celui du directeur de l’établissement qui va décider du montant de sa prime de rendement du trimestre, prime de rendement sur laquelle il compte pour régler ses crédits vu que son salaire a été absorbé à 150% par le loyer + différentes factures), déjà il est "marfou3 3anhou al kalam" s'il ne croit pas trop, plus, au pere noel, enfin, à son statut de respectable. je disais donc il se rend à son établissement dans cet état moral, chose devenue "normale" et "généralisé" donc y'a pas à pleurnicher, mais on attend de lui qu'il soit un martyre car ceux que ça arrange en ont fait un faux barème de mérite (d'ailleurs ils s'en sont fait un slogan politique), chose tout autant "normale" et "généralisé", MAIS, on lui demande non seulement de baisser les bras devant l’impossibilité d'imposer le respect qu'il devait légitimement espérer, mais en plus, de tuer dans ses neurones toute option de trouver une solution au crédit qui lui met un couteau sur la gorge, ni cours ni tabla doukhan, dans un cas comme dans l'autre, il sera estampillé "honteux" car ayant osé blasphémer dans le d'un point de vu dudit code de mérite, en mélangeant pognon et noblesse.

non soyons réaliste, ce que tu cites d'ahmed chawki est beau, mais tellement irréaliste, la preuve, la tutelle ne donne pas l'exemple du tabdjil, à moins que ça soit la matraque, la diffamation, les basses magouilles... sa façon de l’exprimer ?

pour le sondage, je n'ai pas voté, c'est dire à quel point il me parait peu pertinent.
quant à la méthode d'échantillonnage que tu sembles avoir adopté pour t'en faire l'idée du "la majorité" (je te prie de me corriger si je me trompe), elle est tout simplement trompeuse. un contre exemple serait l'avis d'une trentaine de supporteurs de l'équipe nationale dans un café sur le sélectionneur, un jour de mach perdu, et le même groupe sur le meme sélectionneur de la meme équipe le jour d'un mach gagné, tu l'auras compris, c'est plutôt question d'humeur, de comment ça affecte les votant, plus que question de ce qui en est réellement. dans un cas comme dans l'autre, ce groupe t’alignera une panoplie d'argument qui n'ont que leur contradiction qui vaut leur solidité.

si tu veux une appréciation objective, intéresse toi aux intéressés actifs et non aux intéressés passifs comme "l'entourage proche", ces derniers n'ont pas de raison de chercher activement la réalité des détails qui changent tout (match perdu ou gagné ? et pourquoi), les premiers si, car pour une raison ou une autre, ils ont un intérêt qui dépend directement de leur bonne assimilation du sujet dans toute sa profondeur.

donc j'en ai conclu, la majorité constituée de "moh lhawat" de la pêcherie (sisi ça en fait partie de mon entourage, et c'est un fervent défenseur de la thèse des enseignants à crucifier pour des raison personnelles remontant à sa dernière année au c.e.m., mais néanmoins un intéressé passif) et de "fringua" (un ex camarade de classe, aujourd'hui grand importateur de renommé) qui a justifié auprès de ses parents ses trois ans de surplace à la 1ere année secondaire par la mauvaise qualité de l'enseignement et par la malhonnêteté des enseignants qui l'auraient discriminé parce qu'il n'avait pas beaucoup d'argent ...ect, ce n'est pas très pertinent. pourtant ça fait déjà un bon paquet d’entourage d’intéressés comparé à ceux qui défendent la cause des enseignants, par principe (entourage plus proche). On ne doit pas remplir avec eux nos statistiques d'appréciation, si on ne veut pas se leurrer consciemment comme seront tentés de le faire ses parents pour avoir bonne conscience devant le voisin dont les enfants de meme age sont déjà à la fac, en se disant pour parfaire la tranquillité de leur sommeil: "eux, ils ont eu les moyens d'assurer de bons cours de soutien, à défaut d'acheter le succes de leurs progénitures", aaarf ces maudits enseignants ! on sait qu'ils ne le pensent pas vraiment, ni que leur enfant soit un Einstein refoulé à tort, et on sait pourtant que ça deviendra la version favorite de tout un paquet de voisins aussi dans le même cas, le tout basé sur la pièce maîtresse de l'ennemi enseignant. c'est le principe même d'une légende populaire.

Enfin, le reste du groupe risque d'être globalement constitué des "Al Nahar TV" fans et différentes variétés... sans trop m'étayer sur l'importance qu'ils donnent à l'avis qu'ils se laissent façonner sur ces maudites mais enviables créatures qu'on appel enseignants, à qui on leur assure, la main sur le cœur avec une larme à l’œil, qu'on a donné monts et merveilles et qu'on leur prépare le nirvana sur terre (et pas qu'au sud tien !) et voilà qu'il en veulent plus, qu'est-ce qu'on peut attendre d'autre que de la haine? en plus, quand c'est le but derrière !

la majeur partie des algériens détestent les enseignants, mais la majeur partie des algériens dont l'avis comptes pour s'y référer dans notre appréciation ici sont pour. ma base est un simple calcul arithmétique. ce n'est pas pour rien que d'autre clans se disputent l'os du thème des "travailleurs" pour s'approprier l'exclusivité comme slogan politique.

Soyons honnête, il est temps de se faire mal et de lâcher ces cocons.

[Néo]

Bonjour

Et avec tous ça Layla l'ancienne ne nous a toujours pas expliqué
le pourquoi la grève ...

l’Algérien est toujours mécontent

Ces
augmentations marquent incontestablement un bond qualitatif dans les
salaires des enseignants et sont de nature à apaiser le climat dans les
écoles qui sont sous tension ces derniers jours.Une
fois n’est pas coutume, le gouvernement vient de joindre le geste à la
promesse, s’agissant des augmentations de salaires dans le secteur de
l’éducation menacé par la reprise des grèves. Hier, le ministre de
l’éducation a rendu public un communiqué dans lequel il est fait état
de ces augmentations, en application du nouveau régime indemnitaire, la
revendication phare des syndicats autonomes. Ces augmentations,
applicables à partir du 1er janvier 2008, sont véritablement
conséquentes, car se situant dans une moyenne de 60%. Ces majorations,
annoncées hier par le département de Benbouzid dans un communiqué,
viennent en aval du travail fait par la commission ad hoc mandatée par
le gouvernement et mise en place au lendemain de la grève de novembre.
Pour le ministère de l’éducation, “ces décisions viennent démontrer la
bonne foi des pouvoirs publics et leur volonté d’améliorer la condition
salariale de l’ensemble des corps spécifiques de l’éducation”, précise
le communiqué qui ajoute “qu’elles (augmentations) dénotent également
toute la considération que porte l’état envers ce personnel et à sa
noble mission”. C’est là une réponse subliminale aux syndicats qui
nourrissaient des doutes à l’égard des pouvoirs publics. Dans le
détail, ces augmentations se déclinent comme suit. S’agissant de corps
des personnels enseignants ayant une ancienneté moyenne classée à
l’échelon 6, ces augmentations sont ainsi fixées. 8 674 DA pour les
maîtres de l’école primaire, 9 533 DA pour les professeurs de
l’enseignement fondamental, 10 665 DA pour les professeurs
d’enseignement moyen et 10 905 DA pour les professeur du secondaire. Ce
qui correspond à un taux d’augmentation nette du régime indemnitaire
allant de 29% à près de 32% en fonction des différents grades de ces
corps. Pour les autres corps du personnel de l’éducation tels que les
conseillers de l’éducation, l’intendance, l’orientation scolaire et
l’alimentation scolaire, ils sont également concernés par les
augmentations mensuelles nettes allant de 7 013 DA à 10 286 DA pour une
ancienneté moyenne classée à l’échelon 6. Les nouveaux salaires seront
applicables à partir du mois de mars 2010. Ce qui signifie que la
prochaine paie des enseignants sera établie en fonction des nouveaux
paramètres. À ce propos, il faut rappeler que le département de
Benbouzid avait adressé, mercredi dernier, une correspondance aux
académies leur demandant de surseoir à l’exécution de la paie de mars
dans l’attente de nouveaux indices. Ces augmentations, du fait de leur
entrée en vigueur à compter de janvier 2008, conformément aux
engagements pris par le gouvernement, impliquent donc un rappel, tout
aussi substantiel sur deux ans. Ce qui donne les sommes suivantes : 225
524 DA pour les maîtres d’école primaire, 247 858 DA pour les
professeurs de l’enseignement fondamental, 277 290 DA pour les
professeurs d’enseignement moyen et enfin 283 530 DA pour les
professeurs d’enseignement secondaire. Ces rappels seront versés selon
le calendrier suivant. Pour le mois de janvier et février 2010, ils
seront intégrés dans la paie de mars de la même année. Les rappels 2008
seront versés en mai 2010, les rappels de l’année 2009 seront payés
courant de l’année 2010. Pour la mise en application de ces nouveaux
salaires, une circulaire sera adressée à l’ensemble des services
administratifs pour exécution. Le communiqué du ministère insiste sur
“l’effort incontestable” des pouvoirs publics en vue d’“améliorer la
condition salariale des personnels de l’éducation”. Le ministre de
l’éducation rend, par ailleurs, “un vibrant hommage à l’ensemble des
membres de la communauté éducative” pour avoir bien perçu et bien reçu
le sens du message qu’il lui avait adressé la semaine dernière et dans
lequel il s’était engagé à “répondre favorablement aux revendications
des enseignants”. Et dans le même temps, il leur demande “de mesurer,
en toute conscience et objectivité, cet effort de l’État qui, à
l’évidence, illustre de la manière la plus claire l’intérêt accordé à
un secteur aussi stratégique que porteur d’espoir pour l’avenir”. Et de
les convier “à se mobiliser”. Un aspect bien souligné par le conseiller
à la communication dont il faut noter aussi les efforts en matière de
gestion de l’information durant cette période de tension. Avec ces
augmentations, le spectre de la grève qui planait sur l’année scolaire
est a priori éloigné. La balle est désormais dans le camp des syndicats
et surtout des enseignants qui doivent mettre les bouchées doubles pour
rattraper le temps perdu et créer un climat d’apaisement pour que
l’année scolaire s’achève dans la sérénité.

Source : forum d'entraide Enseignant

Bon il est vrai que certains n'ont pas encore toucher ces dit rappel
mais a voir les sommes ....Et imaginez des couples d'enseignants c'est Fois deux ....

Layla L'ancienne

on a poussé les policiers à marcher dans les rues pour les entendre, on a tabasser prof et médecins à coup de matraquer car ils ont voulu marcher eux aussi ..

en somme ne faites pas gréves, ne marchez pas .. bossez et bouclez là .. et ben vive la démocratie ..

Quand aux manif repressif
A chaque Manif en Algerie les hittistes , trabentistes , integristes enfin tous ce qui est en Istes se mêlent a la manif cassent et après la police doit agir .....
Alors au manif des Flics je vois mal un filc tapez sur un flic et aussi des voyous se mêlant a la manif des policiers ...

Chacun cite des exemples de vécu ou de sa famille enseignants
Ah bon je pensais qu'il y avait que Néo pour écrire ça ....

[Pomaria]

De tout ce que j'ai dis auparavant, ca vient de tomber dans le journal TSA

Grève dans les lycées :
LES EXAMENS BOYCOTTES, DES GRÉVISTES DONNENT DES COURS PARTICULIERS
==========================================
TSA

Les enseignants de l’enseignement secondaire ont entamé ce dimanche 1er mars leur troisième semaine consécutive de grève. La Coordination nationale des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Cnapest) a décidé de boycotter les examens du deuxième trimestre qui ont commencé aujourd’hui. «Le syndicat est en grève. Les enseignants sont en dehors de leurs classes, donc les examens n’auront pas lieu», affirme Messaoud Boudiba, chargé de communication de ce syndicat.

60 heures de cours perdus
===================
La grève enclenchée par le Cnapest a fait perdre aux élèves pas moins de 60 heures de cours. Un volume horaire conséquent dont la récupération est difficile, selon M. Boudiba qui précise que « plus le volume horaire perdu est important, plus la récupération devient une tâche très difficile».

Boudiba ajoute que le Cnapest « ne sera pas responsable » d’une éventuelle année blanche et que la tutelle est « la seule responsable. »

« Les représentants du ministère poursuivent toujours leur politique de fuite en avant. Ils ne veulent pas résoudre les problèmes du secteur, en répondant favorablement aux doléances des travailleurs de l’éducation», estime M. Boudiba.

Les grévistes donnent des cours particuliers
=============================
Les élèves qui passeront cette année le baccalauréat sont particulièrement inquiets.

« Il ne reste pas beaucoup de temps pour le baccalauréat et nous sommes bloqués par des enseignants qui ne cherchent que l’argent », dénonce un élève en classe de terminale.

Les parents aussi sont inquiets. « Mon fils va chaque jour au lycée et sur place on lui demande de rentrer chez lui. Il passe la journée à tourner en rond à la maison. Le Bac approche. Franchement on est perdu », dit une maman.

De nombreux enseignants profitent de la grève pour donner des cours particuliers aux élèves.
«Je prends des cours particuliers chez mes enseignants du lycée qui sont en grève », affirme l’élève en classe de terminale.

La grève ne fait pas l’unanimité par les enseignants. Messaoud Boudiba dénonce cette pratique. « C’est un acte dont nous ne sommes pas responsables », a-t-il expliqué. Le porte-parole de Cnapest dénonce : « l’enseignants gréviste n’a pas le droit de tirer profit de la grève», a-t-il dit.

Anissa, jeune enseignante dans un CEM à Alger, se dit choquée :
« L’enseignant est devenu commerçant. Il vend l’avenir de toute une génération rien que pour l’argent ».

« Je ne dirais pas que notre situation est confortable, mais il ne faut pas non plus exagérer. Pourquoi faire grève ? Que veulent-ils ? Je suis enseignante et je n’arrive pas à les comprendre », ajoute-t-elle.

ET ainsi va l'individualisme et la gabegie !

[WorldCitizen]

Bonjour,

On est dans l'excès, une grève c'est pour se faire entendre, non pas pour se radicaliser et pénaliser les otages de la grève. Le gourvernement n'a rien à foutre de l'éducation de nos enfants.
J'ai vécu les grèves en Algérie/kabylie et c'était vraiment pénible. Entre grève d'étudiants et celles des enseignants, j'en avais marre.

Je me souviens être devenu délégué de ma section pour ne pas suivre les grévistes et j'y suis partiellement arrivé. Sinon, c'était 3 mois/an au minimum.

J'allais dire et il me semble que que ce n'est trop loin de la vérité, la génération actuelle a hérité la culture de la grève de leur profs du temps qu'ils étaient étudiants pour généraliser cela dans le secondaire et dans le moyen. La grève dans le moyen ou le secondaire jusqu'à la fin des années 90 n'existait pas ou alors très rare. Perso j'avais découvert la grève à la FAC.

[Planete]

Troisième semaine ? quelle audace! :22:

[absente]

Quel courage

[Nessie]

Layla !

[absente]

Nessie