Une honte pour notre révolution que d'avoir un officier écrire une telle histoire si ce n'était que pour se mette à plat ventre devant les sionistes et faire leur bonheur en dépictant le palestinien comme étant lui le terroriste et non l'entité sioniste.
Khadra serait donc une honte pour L'Algérie !
Dire que c'est l'un des rares Algériens à avoir mis l'Algérie sur une carte: celle de la littérature.
« Le drame de certaines bonnes intentions est qu'elles n'ont ni le courage de leurs engagements ni de suite dans les idées. »
« Vos papiers !
Je les lui tends. Il les vérifie, reporte sa torche sur mon visage. Mon nom arabe le chiffonne. C'est toujours ainsi après un attentat. Les flics sont sur les nerfs, et les faciès suspects exacerbent leurs susceptibilités.
Sortez, me somme le premier agent, et mettez- vous face à la voiture.
Je m'exécute. Il me pousse brutalement contre la toiture de mon véhicule, m'écarte les jambes avec son pied et me soumet à une fouille méthodique.
L'autre flic va voir ce qu'il y a dans le coffre de la voiture.
D'où est-ce que vous venez ? ; De l’hôpital. Je suis le docteur Amine Jaafari ; j'exerce en qualité de chirurgien à Ichilov. Je sors à l'instant du bloc opératoire. Je suis crevé et je veux rentrer chez moi.
Ça vas dit l'autre policier en rabattant le couvercle du coffre. Rien à signaler de ce côté.
L'autre refuse de me laisser partir comme ça. Il s'éloigne un peu et communique au central ma filiation et les renseignements contenus sur mon permis de conduire et ma carte professionnelle.
« C'est un Arabe naturalisé israélien. Il dit qu'il sort à l'instant de l'hôpital où il est chirurgien ... Jaafari, avec deux a . . . Vérifie avec ichilov. . . » Cinq minutes après, il revient, me rend mes papiers et, sur un ton péremptoire, me somme de rebrousser chemin sans me retourner.
J'arrive à la maison vers 23 heures. Soûl de fatigue et de dépit. Quatre patrouilles m'ont intercepté en cours de route, me passant au peigne fin j'avais beau présenter mes papiers et décliner ma profession, les flics n'avaient d'yeux que pour mon faciès. Un moment, un jeune agent ne supportant pas mes protestations a braqué son arme sur moi et a menacé de me brûler la cervelle si je ne la bouclais pas. Il a fallu l’intervention musclée de l’officier pour le remettre à sa place. »
Je les lui tends. Il les vérifie, reporte sa torche sur mon visage. Mon nom arabe le chiffonne. C'est toujours ainsi après un attentat. Les flics sont sur les nerfs, et les faciès suspects exacerbent leurs susceptibilités.
Sortez, me somme le premier agent, et mettez- vous face à la voiture.
Je m'exécute. Il me pousse brutalement contre la toiture de mon véhicule, m'écarte les jambes avec son pied et me soumet à une fouille méthodique.
L'autre flic va voir ce qu'il y a dans le coffre de la voiture.
D'où est-ce que vous venez ? ; De l’hôpital. Je suis le docteur Amine Jaafari ; j'exerce en qualité de chirurgien à Ichilov. Je sors à l'instant du bloc opératoire. Je suis crevé et je veux rentrer chez moi.
Ça vas dit l'autre policier en rabattant le couvercle du coffre. Rien à signaler de ce côté.
L'autre refuse de me laisser partir comme ça. Il s'éloigne un peu et communique au central ma filiation et les renseignements contenus sur mon permis de conduire et ma carte professionnelle.
« C'est un Arabe naturalisé israélien. Il dit qu'il sort à l'instant de l'hôpital où il est chirurgien ... Jaafari, avec deux a . . . Vérifie avec ichilov. . . » Cinq minutes après, il revient, me rend mes papiers et, sur un ton péremptoire, me somme de rebrousser chemin sans me retourner.
J'arrive à la maison vers 23 heures. Soûl de fatigue et de dépit. Quatre patrouilles m'ont intercepté en cours de route, me passant au peigne fin j'avais beau présenter mes papiers et décliner ma profession, les flics n'avaient d'yeux que pour mon faciès. Un moment, un jeune agent ne supportant pas mes protestations a braqué son arme sur moi et a menacé de me brûler la cervelle si je ne la bouclais pas. Il a fallu l’intervention musclée de l’officier pour le remettre à sa place. »
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