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L’Algérie n’attire pas assez d’IDE

mercredi 26 septembre 2007, par Rédaction

L’Algérie peine à séduire les investisseurs et à attirer les IDE malgré la taille importante de son marché, le premier du Maghreb.

L’Algérie veut attirer plus d’IDE.

En effet, selon une étude comparative réalisée par un organisme international spécialisé dans le renseignement économique, l’Algérie occupe la 47e place sur un total de 82 pays en matière d’IDE. Jusqu’à la dernière évaluation, le volume des investissements étrangers transférés vers l’Algérie est estimé à 4,7 milliards de dollars. Toutefois, le rapport en question, intitulé "les prévisions des investissements mondiaux à horizon 2011", fait ressortir que l’économie algérienne a enregistré un progrès relatif en matière d’attractivité en passant ainsi de la 77e place qu’elle occupait pour la période s’étalant entre 2002 et 2006 pour passer à la 47e position pour la période 2007-2011.

Au chapitre des raisons auxquelles l’organisme en question impute la lenteur du processus de promotion des IDE en Algérie, il a été fait état de 12 facteurs de différentes natures. En premier lieu, le rapport estime que les investisseurs étrangers continuent à adopter une attitude sceptique vis-à-vis du marché algérien eu égard au climat des affaires qui y plane. Ce document cite les PME/PMI nationales qui tardent encore à connaître leur essor, les opportunités d’investissement et la position actuelle du produit national sur le marché international et aussi la situation générale sur le plan macroéconomique qui est appelée à connaître des améliorations. Les investisseurs étrangers potentiels sont également attentifs quant à l’aboutissement des différentes mesures prises dans le cadre de la préparation du terrain et des avantages en faveurs des investissements étrangers.

Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com
D’après le Maghreb