La compétitivité des entreprises en Algérie

Cette rencontre a pour thème « Le benchmark des pratiques et des expériences en intelligence économique au service de la performance et de la compétitivité des entreprises en Algérie » avec comme partenaires et sponsors plusieurs entités, dont l’UFC (Université de la formation continue), la CACI (Chambre algérienne de commerce et d’industrie), le Cread (Centre de recherche en économie appliquée pour le développement), Algex (Algérienne des exportations), la télévision algérienne, les quotidiens El Moudjahid et Horizons, le magazine ItMag, pour ne citer que ceux-là.
Une rencontre qui n’est pas l’unique à se tenir autour de la même problématique qu’est l’intelligence économique depuis l’annonce de la nouvelle stratégie industrielle. Et pour cause.

L’Algérie, qui ambitionne d’intégrer l’Organisation mondiale du commerce, n’a pas intérêt à précipiter cette intégration en l’absence d’une adaptation rapide de son économie à un environnement économique mondial désormais des plus rudes et qui ne cesse de mettre en péril des entreprises en Algérie, ceci d’autant plus que, déjà, l’entrée en vigueur de l’accord d’association avec l’Union européenne, en septembre 2005, n’est visiblement avantageux qu’aux produits étrangers qui envahissent le marché national au détriment des entreprises nationales en perte constante de parts de plus en plus importantes du marché, et ce, en l’absence d’une réelle mise à niveau qui leur permettrait de se conformer aux normes internationales de commercialité. Lors de sa première journée, hier, le colloque a vu des interventions ayant pour thème « les apports de l’intelligence économique aux choix du développement industriel » ainsi que « les méthodes, formations, outils pour l’anticipation et l’aide à la décision industrielle des organisations ».

Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com
D’après la Tribune