Une énergie propre en Algérie ?

Plusieurs experts nationaux et étrangers ont pris part l’événement, dont l’ouverture officielle a été annoncée par le secrétaire général du ministère de l’Energie et des Mines, qui soulignera tout au long de son intervention que l’Algérie reste l’un des rares pays producteurs de pétrole à signer tous les traités relatifs à la protection de l’environnement et de la biodiversité.

Il faut savoir que dans la cadre justement de la protection de l’environnement et de la protection des ressources naturelles, Sonatrach, a-t-on expliqué hier, a déployé d’énormes efforts. Ainsi, concernant la réduction des gaz torchés, la compagnie a récupéré, pour la période allant de 1980 à 2005, quelque 411.32 milliards de m3. La part du gaz torché par rapport aux gaz associés, qui était de 62% en 1980, a été ramenée à 12% en 2001, puis à 7% en 2005. Dans sa stratégie, Sonatrach pense déjà à l’avenir dès aujourd’hui.

Ainsi, plusieurs projets sont en maturation dans le cadre de la promotion des énergies propres en Algérie, notamment la promotion des énergies renouvelables. Les projets de réalisation à Tindouf, dans le sud du pays, d’une « ferme éolienne » de production de l’énergie électrique d’une capacité globale de 10 mégawatts, ainsi que le projet de construction d’une centrale hybride de cycle combiné solaire-gaz à Hassi R’mel, d’une capacité de 150 mégawatts, entrent justement dans le cadre de la stratégie des filiales de la compagnie nationale.

Synthèse de Kahina, algerie-dz.com
D’après le Quotidien d’Oran