Méduse
Là aussi c’est très juste ton analyse. On peut dire qu’il a une forme de crise du mariage, peut être aussi du couple, on se cherchant entre les influences culturelles de toutes sortes, en particulier, comme tu le dis entre tradition et modernité, entre religiosité-orientalité et occidentalisation, … C’est un problème qui dépassent les rapports hommes femmes et s’étend à l’ensemble de la sphère sociale donc l’économie (étatisme/marché, parallèle/officiel, …), politique (démocratie/dictature, … )…
C’est notre destin comme qui dirait l’autre, déchirés de ne pas avoir une identité claire, une pouvoir stable et clair, … Nous ne sommes que la résultante « remous » au croisement des influences, comme un oued au confluents nombreux, charriant chacun sable du désert, rochers de la montagne, chèvres de la plaine, limon du nord, boues des rives, …
C'est tout à fait cela.. Il ne faut cependant pas se leurrer.. la femme Algérienne a bien le droit de choisir son conjoint, mais ce choix est souvent limité pour des raisons comme justement l'âge, le milieu, la situation financière.
Il faut que je souligne aussi le fait que les Algériens du bled sont généralement perdus entre respect des traditions, et occidentalisation... Du coup certains hommes peuvent utiliser le "deux poids, deux mesures"... d'une part, ils veulent une femme épanouie pour sortir, s'amuser, flirter et tout le reste.. d'une autre, dés qu'ils commencent à parler mariage, ils vont voir une papicha (une jeune fille de 19 à 23 ans) qu'ils n'ont pratiquement jamais fréquentée... Quels schizos
Il faut que je souligne aussi le fait que les Algériens du bled sont généralement perdus entre respect des traditions, et occidentalisation... Du coup certains hommes peuvent utiliser le "deux poids, deux mesures"... d'une part, ils veulent une femme épanouie pour sortir, s'amuser, flirter et tout le reste.. d'une autre, dés qu'ils commencent à parler mariage, ils vont voir une papicha (une jeune fille de 19 à 23 ans) qu'ils n'ont pratiquement jamais fréquentée... Quels schizos
C’est notre destin comme qui dirait l’autre, déchirés de ne pas avoir une identité claire, une pouvoir stable et clair, … Nous ne sommes que la résultante « remous » au croisement des influences, comme un oued au confluents nombreux, charriant chacun sable du désert, rochers de la montagne, chèvres de la plaine, limon du nord, boues des rives, …
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