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Le marché informel à Tizi-Ouzou

jeudi 11 octobre 2007, par Rédaction

L’économie de la ville de Tizi Ouzou est menacée par le marché informel dont le poids de plus en plus grand inquiète les chefs d’entreprises.

La ville de Tizi Ouzou sous le poids du marché informel.

Les marchandise de toutes sortes et de tous genres confondue est anarchiquement étalée, au grand bonheur des ménagères et autres pères de famille à l’assaut des petites affaires sont surtout des affaires à bon prix. Le mois de carême à dû leur coûter les yeux de la tête. L’Aïd achèvera de vider leurs poches. Par les temps qui courent, ce n’est pas tout le monde qui peut faire ses emplttes sur les grands boulevards, où les étiquettes n’affichent pas moins de quatre chiffres, et même plus parfois. Ces grands magasins sont réservés aux plus chanceux. Ceux qui n’ont pas des comptes bien garnis, et ceux qui ne se les différents fripiers, font un tour du côté des différents marchands, venus de toutes parts pour squatter la moindre parcelle exploitable sur les trottoirs de Tizi Ouzou, pour dénicher l’article sésiré. Vêtement afin de hommes, femmes et enfants, chaussures, vaisselle, sous-vêtements, jouets et autre articles majoritairement “made in china” squattent nos trottoirs en cette fin du mois de carême. Aucun centimètre carré n’est épargné.

De véritables vitrines en plein air sont, quotidiennement érigées, depuis le début du mois de carême, sans la moindre réaction des autorités. Les piétons doivent circuler sur la chaussée, au grand des conducteurs de véhicules qui subissent déjà des bouchons infernaux bien propres à la ville de Tizi Ouzou. Ils établent leurs marchandises sur le bord de la route. “Le plus alarmant, c’est qu’aucune mesure n’a été prise jusque, là pour arrêter cette marchandise”, nous dire un conducteur interrogé sur la route qui mène vers l’hôpital. “La situation était déjà infernale en temps ordinaire”, ajoute-il. En effet, depuis le début du mois de carême, Tizi-Ouzou est devenu un véritable dépotoir où toute marchandise est entassée et surtout, ouverts à tout étranger qui veut se faire de l’argent en salissant la ville, en handicapant les commerçants et en entravant la circulation. Un clin d’œil aux autorités concernées.

Synthèse de Rayane, www.algerie-dz.com
D’après La Dépêche de Kabylie