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Wataniya Télécom Algérie soutient la LFC 2009

mercredi 14 octobre 2009, par Rédaction

Le patron de l’opérateur de téléphonie mobile Wataniya Télécom Algérie a indiqué que son groupe soutenait les dispositions de la LFC 2009.

Wataniya Télécom Algérie soutient la LFC 2009.

La loi de finances complémentaire (LFC) 2009 ne fait pas que des mécontents parmi les opérateurs économiques. Hier, c’était au tour du directeur général de Wataniya Télécom Algérie, M. Joseph Ged, d’affirmer que Nedjma soutient toutes les mesures économiques prises dans le cadre de la dernière LFC. Au niveau de Wataniya Télécom Algérie (WTA), « nous soutenons pleinement la stratégie économique et commerciale de l’Etat algérien pour préserver le patrimoine économique national et l’économie algérienne en cette période de crise mondiale », a déclaré M. Ged hier au forum d’El-Moudjahid, avant d’ajouter : « Sans aucune hésitation, nous adhérons à toutes les décisions actuelles et futures de l’Etat et, en tant qu’opérateur de téléphonie mobile, nous assumerons la taxe qui est instituée dans la LFC 2009. En fait, tout ce qui préserve l’intérêt national à long terme, nous le soutenons. Notre position est sans ambigüité. »

M. Ged a souligné que Wataniya Télécom Algérie est prête à investir, aujourd’hui comme hier, dans toutes les opportunités qui peuvent se présenter dans le cadre de la nouvelle réglementation sur la création d’entreprises, qu’on appelle communément actuellement la loi des 51 % et 49 %. A propos des transferts de dividendes, il a d’abord affirmé qu’à l’instar d’autres entreprises, un audit fiscal a été effectué pour Nedjma pour l’année 2005 et a démontré que « nous sommes clean » et que « nous sommes presque en égalité puisque la maison-mère, le groupe Qtel, envoie encore de l’argent vers Nedjma pour certains investissements ». Il a ensuite indiqué que si un investisseur est en règle, il peut alors transférer ses dividendes. Le PDG de Wataniya Télécom Algérie estime, néanmoins, que les montants de redressement fiscal ne devraient pas inclure les préjudices financiers subis. Il invite, dans ce sens, le Conseil de la concurrence à revenir sur les années précédentes pour, insiste-t-il, voir les cas de concurrence déloyale dont Nedjma s’est plainte.

Synthèse de Samir, www.algerie-dz.com
D’après le Jeune Indépendant