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Les viols ne sont pas sévèrement punis en Algérie
mardi 28 septembre 2010, par
La justice algérienne se fait clémente avec les violeurs et ne punit pas sévèrement les viols y compris de mineurs en Algérie.

Le procureur auprès du tribunal criminel de Mostaganem (Ouest de l’Algérie) a requis 6 ans de prison ferme contre T. Brahim, né en 1983 poursuivi pour attentat à la pudeur sur mineure, B. Aïcha, âgée de 17 ans. Les faits remontent au 16 mai dernier quand l’accusé accosta sa petite voisine pour lui dire que sa sœur aînée avait besoin d’elle. Profitant de l’absence de ses parents, il l’introduit dans sa chambre, la déshabilla et la photographia à l’aide de son portable, avant de commettre sur elle un acte bestial. Il a été condamné à seulement 3 ans de prison ferme.
Dans une seconde affaire, le procès de O. Y. Bendehiba âgé de 36 ans, un repris de justice multirécidiviste condamné souvent à des peines de prison ferme, accusé d’avoir sauvagement agressé et violé M. Fatma âgée de 21 ans, originaire de Laghouat et demeurant à Tiaret, étudiante en 3e année à la Faculté des langues étrangères Abdelhamid- Benbaddis. Le serial violeur a été condamné à seulement 7 ans de prison ferme.
Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com
D’après le Soir d’Algérie