La rencontre organisée les 15 et 16 septembre derniers à Annaba dans le cadre de l’université d’été de la Confédération des cadres de la finance et de la comptabilité (CCFC) n’a valu que par quelques sujets directement liés à l’actualité des banques algériennes et de la finance nationale.
Ces sujets ont mis à nu un grand nombre d’imperfections à l’origine de la faillite de plusieurs banques privées et du rôle de tiroir caisse joué par celles publiques. Dans ce chapitre, le dossier d’El (...)
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Algérie- Secteur Bancaire
Articles
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Faillite des banques privées algériennes
19 septembre 2004, par Hassiba -
Philip Merril (Exim-Bank) : "Nous comptons investir encore plus en Algérie"
24 juillet 2004, par HassibaPour sa première visite en Algérie, le président de la banque Américaine Exim-Bank, Philip Merrill, est plutôt très satisfait. Une satisfaction qu’attestent ses propos tenus lors de la conférence de presse qu’il a animée jeudi dernier au siège de l’Ambassade des Etats-Unis à Alger.
Qu’avez-vous obtenu et offert à l’issue de votre visite en Algérie ? L’objectif de ma visite n’était pas d’offrir ou d’obtenir quelque chose, mais il s’agit beaucoup plus de s’enquérir des opportunités (...) -
Réforme bancaire en Algérie : Une urgence
30 août 2004, par HassibaCette mutation, qui doit absolument se concrétiser, à la veille de grands bouleversements (transition économique, ouvertures d’es marchés, accord d’association avec l’union européenne, négociations pour l’accession de l’Algérie à l’OMC, adhésion à la zone arabe de libre échange, UMA, etc), ne peut que confirmer, aux yeux de tous, que le passage d’une économie dirigiste à une économie de marché est une réalité qui se traduit, justement sur le terrain économique, par un train de réformes (...)
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L’atonie des crédits à l’économie en Algérie
9 juin 2004, par HassibaParmis les facteurs qui expliquent l’atonie des crédits à l’économie en Algérie : La prudence des banques à s’engager en faveur des crédits à l’économie, prudence qui peut avoir pour origine trois facteurs essentiels : Le cadre contraignant de l’activité bancaire, la déficience de l’environnement économique, la volatilité de leurs ressources.
Le cadre contraignant de l’activité bancaire Le marché du crédit en Algérie est animé exclusivement par les banques et les établissements (...) -
Les réserves de changes atteindront 39 à 40 milliards de dollars en Algérie
20 mai 2004, par HassibaL’augmentation du prix du pétrole aura des répercussions bénéfiques pour l’Algérie, du moins sur le plan financier. En effet, de par cette hausse, « les réserves de changes atteindront 39 à 40 milliards de dollars d’ici la fin de l’année ».
C’est ce que nous a déclaré le ministre des Finances, en marge des débats sur le programme du gouvernement entamés hier à l’Assemblée nationale. Le premier argentier du pays se voudra cependant très prudent par rapport à cette euphorie de la hausse (...) -
Rapports Algérie - Banque mondiale
25 avril 2004, par HassibaA lire les derniers rapports de la Banque mondiale sur l’Algérie, une principale conclusion se dégage de cette lecture. Les relations Algérie - Banque mondiale (BM) ont évolué significativement.
Des relations qui remontent aux premières années de l’indépendance nationale. L’intervention, dès lors, de cette institution financière internationale portait essentiellement sur l’assistance et l’accompagnement d’Etats en phase de construction. Formation de cadres de différents secteurs (...) -
Rapport de la Banque mondiale sur l’investissement en Algérie
9 septembre 2004, par HassibaLe nouveau rapport de la Banque mondiale, “La pratique des affaires en 2005 : éliminer les obstacles à la croissance”, rendu public, hier, note que l’Algérie a, certes, réduit le nombre de jours nécessaires pour démarrer une affaire mais les contraintes qui bloquent l’investissement demeurent toujours.
Le nombre de procédures reste élevé et ces dernières exigent beaucoup de temps et d’argent. Le rapport de la Banque mondiale, “La pratique des affaires en 2005 : éliminer les obstacles à (...) -
Banques : pour dynamiser l’investissement en Algérie
13 janvier 2005, par HassibaUne nouvelle fois, la Badr vient de créer l’événement en annonçant un taux d’intérêt de 5,25% pour les crédits d’investissement.
Soit le crédit le moins cher et le plus attractif sur la place bancaire dans la mesure où l’effort de réduction consenti est de l’ordre de 0,75 point, c’est-à-dire passant d’un taux de 6 à 5,25%. M. Farouk Bouyacoub, que nous avons joint, hier, nous a confirmé l’information en soulignant que ce bénéfice aura un effet rétroactif à compter du 1er janvier de (...) -
Le chèque sécurisé dès janvier en Algérie
3 septembre 2005, par KahinaDans le cadre de la réforme bancaire en Algérie, Karim Djoudi, le ministre délégué à la Réforme financière a annoncé l’introduction du chèque sécurisé dès janvier 2006.
La déclaration de M. Karim Djoudi a eu lieu lors de la cérémonie de signature des conventions relatives à la mise en place de ce nouveau système par les PDG des six banques publiques (BNA, BADR, BDL, CPA, CNEP-Banque, BEA), des directeurs généraux du Trésor et d’Algérie Poste d’une part, et le directeur général de (...) -
Carte bancaire : L’Algérie à la traine
22 juin 2004, par HassibaConstituant aujourd’hui le premier mode de paiement et de retrait de par le monde, la carte bancaire n’est toujours pas une réalité palpable en Algérie.
Les Algériens devront prendre leur mal en patience pour quelque temps encore avant de voir cette prestation bancaire, si banale ailleurs, se généraliser chez eux. Pourtant, l’intention d’introduire ce mode de paiement ne date pas d’aujourd’hui.
L’initiative remonte à 1997, l’année du lancement du premier projet monétique interbancaire (...)