Parmis les facteurs qui expliquent l’atonie des crédits à l’économie en Algérie : La prudence des banques à s’engager en faveur des crédits à l’économie, prudence qui peut avoir pour origine trois facteurs essentiels : Le cadre contraignant de l’activité bancaire, la déficience de l’environnement économique, la volatilité de leurs ressources.
Le cadre contraignant de l’activité bancaire Le marché du crédit en Algérie est animé exclusivement par les banques et les établissements (...)
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Algérie- Secteur Bancaire
Articles
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L’atonie des crédits à l’économie en Algérie
9 juin 2004, par Hassiba -
Les réserves de changes atteindront 39 à 40 milliards de dollars en Algérie
20 mai 2004, par HassibaL’augmentation du prix du pétrole aura des répercussions bénéfiques pour l’Algérie, du moins sur le plan financier. En effet, de par cette hausse, « les réserves de changes atteindront 39 à 40 milliards de dollars d’ici la fin de l’année ».
C’est ce que nous a déclaré le ministre des Finances, en marge des débats sur le programme du gouvernement entamés hier à l’Assemblée nationale. Le premier argentier du pays se voudra cependant très prudent par rapport à cette euphorie de la hausse (...) -
Rapport de la Banque mondiale sur l’investissement en Algérie
9 septembre 2004, par HassibaLe nouveau rapport de la Banque mondiale, “La pratique des affaires en 2005 : éliminer les obstacles à la croissance”, rendu public, hier, note que l’Algérie a, certes, réduit le nombre de jours nécessaires pour démarrer une affaire mais les contraintes qui bloquent l’investissement demeurent toujours.
Le nombre de procédures reste élevé et ces dernières exigent beaucoup de temps et d’argent. Le rapport de la Banque mondiale, “La pratique des affaires en 2005 : éliminer les obstacles à (...) -
Inflation des infractions bancaires en Algérie
25 octobre 2004, par nassimL’institut d’émission enregistre 3 497 dossiers concernés par des irrégularités et 33 dépôts de plainte, selon une étude de la Banque d’Algérie.
La faillite d’El-Khalifa Bank et la liquidation de la Banque commerciale et industrielle d’Algérie (Bcia) ont eu des répercussions négatives sur les autres banques privées. C’est ce qui ressort du rapport sur l’évolution économique et monétaire pour l’année 2003 présenté, hier, par le gouverneur de la Banque d’Algérie à l’Assemblée populaire (...) -
Réforme bancaire en Algérie : Une urgence
30 août 2004, par HassibaCette mutation, qui doit absolument se concrétiser, à la veille de grands bouleversements (transition économique, ouvertures d’es marchés, accord d’association avec l’union européenne, négociations pour l’accession de l’Algérie à l’OMC, adhésion à la zone arabe de libre échange, UMA, etc), ne peut que confirmer, aux yeux de tous, que le passage d’une économie dirigiste à une économie de marché est une réalité qui se traduit, justement sur le terrain économique, par un train de réformes (...)
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Carte bancaire : L’Algérie à la traine
22 juin 2004, par HassibaConstituant aujourd’hui le premier mode de paiement et de retrait de par le monde, la carte bancaire n’est toujours pas une réalité palpable en Algérie.
Les Algériens devront prendre leur mal en patience pour quelque temps encore avant de voir cette prestation bancaire, si banale ailleurs, se généraliser chez eux. Pourtant, l’intention d’introduire ce mode de paiement ne date pas d’aujourd’hui.
L’initiative remonte à 1997, l’année du lancement du premier projet monétique interbancaire (...) -
Les bons points du FMI
21 novembre 2004, par HassibaLe Fonds monétaire international (FMI) recommande des actions décisives pour accroître le rôle des banques privées algériennes et souligne la nécessité d’améliorer sensiblement la supervision des banques.
Aussi, l’engagement du secteur privé dans la croissance économique nécessite-t-il l’accélération des réformes structurelles dont celle du secteur bancaire et la nécessité de renforcer les efforts d’assainissement des relations financières entre les banques et les entreprises publiques, (...) -
Faillite des banques privées algériennes
19 septembre 2004, par HassibaLa rencontre organisée les 15 et 16 septembre derniers à Annaba dans le cadre de l’université d’été de la Confédération des cadres de la finance et de la comptabilité (CCFC) n’a valu que par quelques sujets directement liés à l’actualité des banques algériennes et de la finance nationale.
Ces sujets ont mis à nu un grand nombre d’imperfections à l’origine de la faillite de plusieurs banques privées et du rôle de tiroir caisse joué par celles publiques. Dans ce chapitre, le dossier d’El (...) -
Les actions de Khalifa Bank rachetées par la Société Générale
12 mai 2004, par HassibaConsidéré comme l’un des pôles phares du paysage financier français, la Société Générale se serait adjugé les 29% que détenait la défunte Khalifa Bank dans le capital social de la Société Générale Algérie. Le Groupe bancaire vient d’asseoir ses positions au sein de sa filiale algérienne.
C’est le très sérieux journal économique français Les Echos qui a rapporté l’information dans son édition de lundi. Aucune indication confirmant ou infirmant l’information n’a pu être obtenue, hier, de (...) -
L’Union Bank se dit injustement condamnée
30 août 2004, par HassibaNous portons à la connaissance de tous, particulièrement des clients d’Union Bank, qu’ils soient ses créanciers ou ses débiteurs, de ses confrères et de ses institutions de contrôle que nous relevons un appel ferme et indigné à l’encontre du jugement rendu par le tribunal d’Alger le 13 juillet 2004 qui a converti le règlement judiciaire d’Union Bank en liquidation.
Nous portons le débat sur la place publique parce que la procédure de règlement judiciaire d’Union Bank a pris un cours (...)